Société savante

encore péjorativement aujourd'hui. Il faut bien comprendre, en abordant Molière, que ses œuvres ont un but critique . En effet, le célèbre auteur de comédies, à l'époque de l'âge d'or du théâtre, voulait critiquer les excès et les défauts de la société. Rien n'était épargné ; La noblesse, la bourgeoisie, le clergé ; Il critique aussi bien les pseudos auteurs que la populace ignorante. Et, bien évidemment, le mouvement précieux n'échappe pas à la règle. . En effet, Sur la préciosité Molière ne veut

pièce par l’affrontement entre Mme Pernelle et les autres membres de la famille d’Orgon. En effet, souvent le conflit reste récurrent, il montre un désaccord qui peut se régler aussi bien au début qu’à la fin de la pièce comme dans « Les femmes savantes ». Ainsi, le théâtre expose, par différentes mises en scènes, des personnages qui ont des avis différents afin de traduire les idées et l’opinion de l’auteur. 2) Le théâtre est un lieu clos où les personnages sont obligés de se rencontrer

outrées font toujours rire. Parfois c'est la communication elle-même qui ne se fait plus. Exemple : Bélise (à la bonne). — Veux-tu toute ta vie offenser la grammaire?
Martine.— Qui parle d'offenser grand-mère ni grand-père? Molière, Les Femmes savantes, Acte II, scène 6, 1672. Les deux mots de prononciation presque identique créent un malentendu, un quiproquo, qui ridiculise les prétentions pédagogiques de Bélise.    IV- Le comique de caractère : La comédie met en scène des personnages

cynisme vis-à-vis de la société. 1666 Le Misanthrope – opposition entre la sincérité de la vie mondaine, l’énergie d’un honnête homme et sa faiblesse devant la femme qu’il aime. Le Médecin malgré lui – farce- Amphitryon – référence mythologique- 1668 L’Avare – comédie- 1670 Le Bourgeois Gentilhomme - comédie-ballet – moquerie du snobisme de la noblesse. 1671 Les fourberies de Scapin – farce – Les femmes savantes – comédie de mœurs et de caractère

sociologie contemporaine. Il a fait des études supérieures de droit, mais il était intéressé par l’histoire, l’économie, la philosophie et la théologie. Inspiré par ces intérêt, il a écrit “Le savant et le politique”, ”L’étique protestante et l’esprit du capitalisme”, ”Essai sur la théorie de la science”, ”Economie et société” etc. Weber a aussi repris des idées de certains philosophes. Il s’intéresse plus particulièrement à la thèse selon laquelle les sciences sociales dépendent de la science de la culture

L’objet du politique : La préservation de la société : Il possède une finalité qu’il ne partage avec aucune autre forme de liens sociaux. Le politique c’est la forme de lien qui englobe la totalité des individus. Il englobe la multitude d’individus. Il y a une société avec des buts et des valeurs différentes (différence et contradictions). Pour qu’il fonctionne, il faut qu’il y est une valeur commune à tous. Cette valeur c’est l’existence de la société elle-même. Le politique permet de donner forme

livre, WEBER met en place une certaine méthode dont l’outil principal est l’idéal-type* * 1919 : Le savant et le politique Dans cette œuvre, il distingue clairement les fonctions de chercheur et d’homme politique. Le premier devant se contenter de faire des propositions là où le second décide de les appliquer ou non. Mais le chercheurs est essentiel à la sociologie. * 1922 : Economie et société (Posthume). Dans cette œuvre finale, il construit le projet d’une sociologie compréhensive : le sociologue

que l’Etat ?”. Suivant la définition classique de Max Weber, l’état est “une communauté humaine, qui, dans les limites d’un territoire déterminé, revendique, avec succès, pour son propre compte, le monopole de la violence physique légitime”, Le Savant et le Politique (1919). Cette définition recoupe assez largement la définition juridique de l’Etat : l’Etat aurait trois éléments constitutifs, à savoir un territoire, la population et une autorité politique souveraine sur ce même territoire et cette

raison de son apparence abominable. Il lui explique aussi comment il a appris tout seul à lire et à écrire. Le monstre condamne l’incapacité de l’humanité à percevoir sa bonté intérieure et la cruauté avec laquelle il a été totalement mis au ban de la société. Sa solitude lui est insupportable, c’est pourquoi il demande à Victor de créer un monstre femelle pour lui apporter l’amour qu’un être humain ne saurait lui donner. D’abord, Victor refuse, puis il change d’avis et accepte. De retour à Genève

écrits par des femmes. Après une introduction qui permettra de comprendre ce qu’a pu être la condition féminine dans les siècles passés, cinq textes vous seront proposés en lecture analytique, montrant des personnages féminins aux prises avec la société, l’opinion publique, les hommes... et tentant d’affirmer leur liberté. Chacune de ces lectures analytiques sera mise en perspective avec d’autres textes ou documents, qui pourront donner lieu à des ouvertures ou des comparaisons. Enfin, la lecture