Sociologie des organisations

1. Notion d’organisation Le mot “organisation” est ambivalent. Il désigne tout à la fois une entité créée pour conduire une action collective (par exemple : une entreprise, une association à but non lucratif, un hôpital, un parti politique…), la façon selon laquelle cette entité est agencée (notamment: la définition et la répartition des tâches entre les acteurs participant a l’action collective) et les processus qui produisent à la fois l’entité et son agencement. C’est la première acception

l’étude des organisations 1. Qu’est-ce qu’une organisation ? 1.1. Définition générique 1.2. Organisation et management 1.3. Questions managériales 2. L’étude des organisations 2.1. Principales perspectives théoriques 2.2. Les courants classiques - Le taylorisme - L’école des relations humaines 2.3. Les différentes écoles et leur développement dans le temps - Différences entre une approche formelle et informelle des organisations Première partie : structure et organisation. L’analyse

RENSIS LIKERT (1903 – 1981) Psychologue et auteur américain, il a prolongé les travaux de MAYO et LEWIN. Il a développé le principe de la relation intégré comme principe majeur d'organisation (théorie des années 50). Il a préconisé une organisation du travail par groupe, car il considérait que cela créait de meilleures relations entre chacun. Selon LIKERT, le principe de relations intégrées est un principe majeur de l'organisation: chacun doit se sentir important et nécessaire au sein

mentales. Il existe donc des disparités sociales entre les classes favorables et défavorables qui s'expliquent par des conditions de travail différentes. Le travail constitue un déterminant majeur de la santé et du bien être social. Une nouvelle organisation du travail est considérée au court des années mais un mal-vivre et des pénibilités de travail sont toujours à prévoir et des inégalités de condition de travail sont à voir. L'état de santé des individus dépend des catégories sociales. Avoir une

Types d'organisations en fonction de leurs structures Suivant la recherche opérationnelle, la plupart des organisations humaines tombent grossièrement, au niveau de leurs structures de fonctionnement (souvent traduites par un organigramme), en plusieurs types. Ces types de structures font l'objet de cette section ; en revanche, les méthodes d'organisation font l'objet de l'article Organisation du travail. Pyramides ou hiérarchies Une hiérarchie est une structure verticale avec un meneur ou chef

stress, savoir améliorer les relations interpersonnelles, |prévenir et gérer le stress par | | | |savoir travailler la reconnaissance, savoir organiser le travail et gérer |une meilleure organisation du | | | |le temps. |travail, une meilleure | | | |

L'analyse stratégique est un paradigme de la théorie des organisations proposé par Michel Crozier et Erhard Friedberg. D'un point de vue théorique, on peut dire qu'il prend la suite des analyses structuro-fonctionnaliste. L'acteur au sens de Crozier-Friedberg est « celui dont le comportement (ie. l'action) contribue à structurer un champ, c'est-à-dire à construire [des] régulations. On cherche à expliquer la construction des règles (le construit social) à partir du jeu des acteurs empiriques,

compétences, on peut en déduire que c’est une personne qui s’investit dans son travail. Exercice 2 : 1et2/ Les fonctions d’un groupe : Production, réaliser des taches pour travailler -> chaque membres du groupe présente un service. Facilitation, organisation du travail -> créer des ateliers de travail. Régulation, réunion dans le but de régler les conflits -> Les réunions n’empêchent pas les divergences d’opinion, qui apaisent les tensions au sein du groupe. Exercice 3 : 1/ Le groupe d’appartenance

l'application des méthodes tayloristes. Or, on assiste à l'essor de ce qu’on peut appeler le « taylorisme des services ». En effet, Oliver Cousin, dans son étude « Les ambivalences au travail. Les salariés peu qualifiés dans les centres d’appel » (Sociologie du travail, 2002, № 44) se penche sur la question des ouvriés spécialisés du tertiaire. Ses recherches ont porté sur l’expérience des salariés peu qualifiés dans deux centres d’appel. L’observation des situations de travail et les entretiens menés

la typologie établie par Mintzberg, la structure de l’entreprise IMPRIMATUR, avant la prise de participation dans l’entreprise NetEdit, est à la structure mécaniste. En effet, IMPRIMATUR a bâti, depuis 1949, un environnement stable et une bonne organisation du travail. La structure mécaniste, consiste en un travail fortement divisé tant sur la division verticale qu’horizontale et concerne les vieille s entreprises de grandes tailles, ce qui correspond à la société IMPRIMATUR créée en 1949 et composée