Socrate Je Sais Que Je Ne Sais Pas

explique l'hostilité vis à vis de la philosophie c'est l'ignorance : on rejette ce qu'on ne connaît pas. De plus cette ignorance s'exprime par le refus du dialogue, le rejet de ce qui met en cause sa compétence. Cela peut aller jusqu'à la violence (Socrate, Bruno en 1600). Ainsi la philosophie a plusieurs adversaires dans l'Histoire : ■Les sophistes (5ème siècle -JC) > sophos (le sage) il possède la connaissance et l'exprime à travers la rhétorique, l'art/technique de persuader. Ce qui les différencie

Un philosophe est quelqu’un qui s’interroge sans cesse. Socrate Socrate (philosophe grec) se moque de nous lorsqu’il dit « Tout ce que je sais c’est que je ne sais rien » , il se moque de nous car paradoxalement il sait bien quelque chose c’est qu’il sait qu’il ne sait rien. C’est quelqu’un de très sage. La Pythie dit que s’est l’homme le plus sage de Grèce. Toute la sagesse de Socrate est la conscience des limites de son savoir. Pour Socrate, l’ignorance n’est pas le plus grand des défauts (parce

maintenant ont surtout eu des professeurs de sport et petits maitres d’école vont avoir des professeurs équivalent aux professeurs de l’enseignement supérieur d’aujourd’hui. Passage au haut niveau ! Ces sophistes seront les victimes de Platon et Socrate. Insulte de « sophiste » = celui qui veut convaincre les autres avec des mauvais arguments, avec du faux. C’est quelqu’un qui utilise des raisonnements faux aux mépris de la vérité. On doit cette image à Platon = sophiste est quelqu’un de moralement

DANS LA GRECE ANTIQUE : LE DIALOGUE SOCRATIQUE. Ainsi, tournons-nous vers l'inauguration du discours philosophique, dans l'Athènes du Ve av. J.C. Celui avec qui nous allons parler, ou plutôt, dialoguer, c'est Socrate. A- Socrate ou l'invention du concept Historique rapide : Socrate est né en 470 av. JC et mort en 399 (condamné par sa cité à boire la ciguë, sous prétexte qu'il porte atteinte aux fondements de la cité, qu'il est corrupteur de la jeunesse, etc.). Fils d'une sage-femme et d'un

ses préoccupations. Socrate et Platon Platon est le disciple de Socrate. Platon adopte les mêmes idées que Socrate, ils sont d’accord et s’entendent bien. Platon approfondit les idées de Socrate et transmet sa philosophie par écrit. Il développe le concept du monde des Idées. Platon sera subversif suite à la condamnation injuste de Socrate et souhaite une cité au philosophe roi pour la Justice. Socrate est ni-subversif ni conformiste. Ils ont tout les deux foi en l’au-delà. Socrate et Epicure Epicure

met en scène Socrate et Hippias qui discute d’une question. Pour présenter brièvement le contexte, quelqu’un a demandé à Socrate comment définir la beauté. Ne sachant pas quoi répondre, il alla se référer à son ami Hippias. Par contre, il voit bien que Hippias change d’idée à chaque définition et qu’il ne le sait pas plus que lui. Dans cette analyse, nous allons parler des insatisfactions des définitions proposées par Hippias, nous allons chercher sur quel type de jugement se base Socrate pour rejeter

qui est. Il (Benvenniste, troisième personne) Antiquité grecque Socrate : -470 à 399 (Vème siècle avant JC) Socrate est considéré comme l’inventeur de la philosophie. Bien qu’il ait eu d’autres philosophes avant Socrate : que l’on nomme philosophe pré socratique, il incarne une figure essentielle dans cette recherche de la vérité, sagesse (philo sophie). Deux de ces préceptes les plus célèbres sont : « Je sais que je ne sais pas » et « connais toi toi même ». Le premier signifie qu’il faut

pas comme les autres quand ils s'intéressent à moi obligé de deviner la signification de mes comportements en formulant sur eux des hypothèses plus ou moins complexes. Ainsi peuvent-ils se méprendre sur mon attitude lorsque je ris jaune, alors que je sais d'un savoir immédiat ce que mon rire dissimule. La présence d'autrui ne semble donc pas pouvoir apporter quelque chose d'essentiel relativement a la conscience que j'ai de moi-même. Pourtant, en certaines circonstances, autrui parait plus clairvoyant

fuite de Socrate, et comment le persuader de s’enfuir. Pour Socrate le problème est tout autre : il n’est pas « Comment s’enfuir ? », mais « Faut-il s’enfuir ? », ou plus précisément « Est-il juste de s’enfuir ? ». La réponse à une telle question suppose que l’on définisse l’attitude à suivre par rapport à des principes eux-mêmes définis de manière permanente et nécessaire, valables quelles que soient les circonstances, et non inventés sur le moment, en fonction des intérêts du moment. Socrate pose

Je ne sais ni lire, ni écrire, je ne sais qu’épeler « Je ne sais ni lire, ni écrire, je ne sais qu’épeler ». Oui mais pour épeler, je dois pouvoir écrire, orthographier. Et avant d’avoir été capable d’écrire, j’ai été capable de lire. « Ouille, un mystère de plus », voilà ce que je me suis dit lorsque j’ai entendu cette phrase prononcée lors de mon initiation. Elle fut complétée d’un « donnez-moi la première lettre et je vous donnerai la suivante ». Bon, sur ce point, le franc tombe assez rapidement: