Socrate Thrasymaque

Ménon Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et comment ? L'interrogation sur la vertu

La comparaison entre ces deux matrices de la philosophie occidentale s'impose à cause de leurs traces laissées après leurs morts, encore aujourd'hui nous continuons à comprendre et apprendre leurs manières de penser ,qui sont tout à fait différentes .Platon,en quelques mots ,est l'utopiste fasciné par les idéaux ,c'est un rêveur qui recherche quelque chose d'irréel:un monde plus parfait. Il invente la figure du BIEN tellement bonne et indescriptible qu'elle devient abstraite .c'est à cause de cela

un idéal de société et non d'individu. Il existe pour chacun de nous une version de la justice, tout comme le bien. Je crois que tout homme à le droit à sa chance et ne devrait être contraint de vivre selon ces propres convictions. Contrairement à Socrate, qui lui pense qu'il ne faut jamais répondre au mal par le mal , je crois que la justice ne devrait être appliquée qu'en cas de nuisance à la société.

La guignolée des Cégeps : un acte nécessaire Dans la Grèce antique, avant Socrate, Athènes n’avait jamais donnée naissance à des penseurs. La cité avait favorisé la venue des sophistes de tous les coins du monde grec, apportant des idées nouvelles éveillant la conscience philosophique. Le premier philosophe athénien, fût Socrate. Cependant, les sophistes ont probablement permis à Socrate d’être ce qu’il fut. Socrate a su avec succès développer un esprit critique en recherchant la vérité et c’est

? 2. La réminiscence Introduction Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l'essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore : la connaissance est-elle seulement possible ? Et

fut réel en l’an zéro. Si l’on affirmait que nos connaissance sont déterminé par une structure de notre esprit Kant avait indiqué à l’époque qu’au delà reste ouvert le domaine de la pensée. Il y a aussi la vérité d’après Socrate qui était un être qui pensait beaucoup. Pour Socrate, la Vérité n'est pas un simple savoir que l'on apprend tous les jours, en effet il pensait que la Vérité était une partie de nous et que seul l'Homme détient le pouvoir de la réveiller, cette Vérité brûle de se manifester

 convention.   Cratyle  :  il  estime  au  contraire  que  les  noms  sont  justes  en   ce   sens   qu’ils   expriment   naturellement   les   choses   qu’ils   désignent.   • Socrate  :   il   montre   d’abord   contre   Hermogène   que   les   mots   ont   un   lien   avec   la   réalité   qu’ils   désignent  :   le   législateur   qui   les   a   institués

savoir distinguer l'essentiel et l'accessoire. Ne pas laisser couler l'existence et perdre sa vie pour des futilités. Socrate lors de sa condamnation à mort, en prison, décide d'apprendre à jouer de la flûte. Le gardien lui demande pourquoi il veut apprendre à jouer de la flûte puisqu'il va mourir. Socrate répond « pour savoir jouer de la flûte avant de mourir ». Ainsi pour Socrate, l'angoisse de la mort ôte toute envie de vivre. Elle plonge l'homme dans une vie déraisonnable, une vie de pluvier

est constamment en quête de soi-même et doit examiner les conditions de son existence. C’est cet examen minutieux, cette attitude critique envers la vie, qui lui confère sa vraie valeur. « Une vie sans examen ne mérite pas d’être vécue », disait Socrate dans son Apologie. Conclusion: la philosophie est une recherche qui a l’homme pour objet, mais qui ne recherche pas à avoir de l’homme le type de savoir que les sciences en ont. La conscience, en effet, ne se décrit pas comme on décrit une chose

personnage principal Syllogisme : C’est un raisonnement logique qui comprend une majeure, une mineure et une conclusion. Il est toujours tautologique car ce qui est annoncé dans la conclusion est déjà compris dans la majeur. Socrate est un homme or les hommes sont mortels donc Socrate est mortel. Périphrase verbale : Ils vont jouer Apologie : défendre une thèse . Dénonciation : c’est le contraire de l’apologie : Dire non à la peine de mort. L’analèpse : C’est un retour en arrière Prolèpse :