Socrate

n’endémordent pas : la vérité est bel et bien la même pour tous. Il n’y aurait donc aucune distinction entre la vérité de l’un et la vérité de l’autre puisque la vérité serait unique. Le célèbre syllogisme,«Tous les hommes sont mortels, or Socrate est un homme donc, Socrate est mortel » montre une forme de vérité universelle. En effet, ce syllogisme affirme que tous les hommes, sans exception, sontmortels. Cette affirmation est la même pour tous. Il est vrai que cela relève avant tout de la logique mais

dans le Lysis. La première est le semblable et le semblable. Socrate à considéré cette définition car il a reconnue que la discussion s'était engagée sur de mauvaise base. Il a donc décidé de quitter le chemin et de fournir une nouvelle thèse en se fiant sur la citation : «Un Dieu conduit toujours le semblable vers son semblable». Cette définition propose que le semblable est ami avec son sembable. Par contre après reflexion, Socrate réalise qu'il est difficile de concevoir qu'un homme méchant puisse

l’unité passe par une théorie alors que Socrate, élève de Protagoras, énonce qu’il faut aborder la réalité à l’aide d’une théorie. Il mentionne aussi que c’est la raison qui articule la vérité, et il utilise une vision mathématique des choses ce qui est très courant dans une théorie. La théorie de Socrate défend l’idée d’une société juste et gouvernée par une élite qui possède des droits philosophes. Une société juste amène automatiquement du bonheur selon Socrate, et c’est l’objectif que chaque individu

 L'origine de la philosophie Socrate, pour la philosophie occidentale, symbolise la naissance de la philosophie. Il est notamment le premier à se détacher des mythes, qui sont des récits, des histoires à travers lesquels on pouvait comprendre le monde. Socrate introduit la notion de logos qui représente la Raison, le langage ordonné. Toutefois, Socrate, dans les Dialogues de Platon, a souvent recours aux mythes – ce qui peut sembler paradoxal. Nous rappelons que Socrate n’a laissé aucun écrit. C’est

Menon de Platon est essentielement un dialogue dans lequel Menon et Socrate s'exprime afin de trouver une définition portant sur la vertue. Autrement dit ils cherchent a savoir de quelle maniere elle peut etre obtenue ou bien expliquée . Il tentent de trouver sa nature veritable pour savoir si elle peut être enseignée ou non. Le dialogue est dans un premier temps l'interrogation même de l'essence de la vertue. Par la suite Socrate et Menon examinent la question de fond en comble , c'est a dire d'une

allons observer les enjeux du texte. Tous d'abord, le locuteur qui est le démon du jeune homme se nomme Socrate "J'en demandais la cause à mon démon" (l 4-5). Celui-ci est le fondateur de la pensée philosophique en Europe. C'est donc un argument d'autorité car personne n'oserait contester ce qu'il dit. Cela confère du poids à ses propos et les rend donc plus difficiles à réfuter. De plus, Socrate rabaisse son interlocuteur "mon fils" (l 45). Par conséquent, dans cet extrait, c'est le philosophe qui

en -428 dans la grande aristocratie athénienne et mort en -348, Platon semble promis dans ses jeunes années à une carrière politique, ce qui est alors la plus digne et la plus respectable fonction au sein de la cité. Mais après sa rencontre avec Socrate, il se détourne de ses premières inclinations pour se consacrer à la philosophie. Il est généralement considéré comme l'un des premiers philosophes occidentaux, sinon comme l’inventeur de la philosophie. Platon est idéaliste. C’est-à-dire qu’il

Émile Chambry PERSONNAGES DU DIALOGUE : d’abord UN AMI DE SOCRATE ET SOCRATE ; ensuite HIPPOCRATE, PROTAGORAS, ALCIBIADE, CRITIAS, PRODICOS, HIPPIAS L’AMI DE SOCRATE I. — D’où viens-tu, Socrate ? sans doute de la chasse, de la chasse à la beauté d’Alcibiade ? A dire vrai, je l’ai vu il n’y a pas longtemps, et je trouve que c’est toujours un bel homme, mais un homme pourtant, soit dit entre nous, Socrate, et déjà bien barbu. SOCRATE Eh bien ! qu’est-ce que cela fait ? n’es-tu pas de l’avis

état nous ne sommes plus totalement ignorant. Nous avons déjà déchiré le voile de l’inconscience derrière lequel se tient le mental ordinaire, car nous avons reconnu notre ignorance. Et c’est ici que se trouve le second sens de la docte ignorance. Socrate a compris en profondeur, (en anglais on dirait que c’est son insight), que ce que nous appelons communément savoir est très limité. Aucune de nos définitions ne parvient à capturer entièrement ce qu’est la Beauté, ce qu’est l’Amour, ce qu’est la Justice

personnages qui y prennent part Platon, dans ce dialogue, raconte les derniers instants de Socrate, et expose sa propre doctrine sur l'immortalité de l'âme ; il unit, avec un art merveilleux, le récit des derniers instants du sage, et la discussion philosophique entreprise et achevée en un tel moment avec tant de calme sérénité. Le philosophe pythagoricien Echécrate interroge Plié-don, fidèle disciple de Socrate, sur la mort de l'illustre condamné. Phédon se rend à ce désir, et reproduit l'entretien