Socrate

Arthur Hoffmann Commentaire de texte - Méthodologie Faisant suite à l’allégorie de la caverne, au livre VII de La République, Platon s’attache désormais à définir, par l’intermédiaire de Socrate, la méthode dialectique. Laquelle se révèle être la méthode employée par Socrate, au travers de la maïeutique à laquelle il soumet son interlocuteur, pour sortir de l’aporie et approcher le savoir véritable. Se pose cependant un problème majeur quant à la définition de cette méthode : comment produire

d’Aristodéme et la confirmation de Socrate. Les deux personnages sont présentés comme amoureux de la philosophie et de Socrate, au point de s’en faire des imitations et de s’opposer à toute autre affaire humaine. Aristodéme n’est au départ pas invité car il n’est pas un proche d’Agathon, qui vit au milieu des rhéteurs et des sophistes. Socrate l’invite donc à venir en renfort avec lui, mais le laisse seul à la porte, Aristodéme entre donc seul dans la maison d’Agathon. Socrate arrive à la fin du repas, après

1. a)Qui était Socrate?--il est considéré comme le père fondateur de la philosophie morale et politique, philosophie axée sur l’homme, de la dialectique. C’était un philosophe de la Grèce antique, il a sauvé alcibiade et ne s’interesse pas aux biens matériels.     b)A quelle époque a t-il vécu? Il a vecu au 5 ieme siecle avant jesus-christ (-470 à -399)     c)Qu'a t-il fait pour s'assurer une telle renommée à travers les siècles ?-- c’est de son enseignement et de sa mort que va naitre la philosophie

politique. Tout d’abord, Calliclès affirme Socrate que Gorgias peut répondre à toutes les questions qu’on lui demande. Socrate lui demande alors «qui es-tu?» car la connaissance de soi-même est nécessaire à la connaissance de quelque chose. Gorgias affirme à Socrate qu’il exerce un type d’art suprême. Ce type d’art est la rhétorique. Selon Gorgias, l’objet que la rhétorique fait connaître est le discours et chaque forme d’art se rapporte à un discours. Socrate lui répond alors que si chaque forme d’art

par les affaires publiques pour prendre soin de leur développement intellectuel et moral. Ils décident donc d’aller voir leur amis Socrate, Nicias et Lachès pour leur demander conseil sur la nécessité ou non d’apprendre l’escrime en armes. Après l’exposition des points de vue de Nicias et Lachès, Lysimaque conclut qu’ils ont besoin d’un arbitre pour délibérer : Socrate. Ce qu’il refuse de faire, car selon lui : « Un bon arbitrage, c’est en effet le savoir qui doit être arbitre, et non le nombre. »

l’huître dans sa coquille » : Après avoir exposé dans le commentaire d’avant les trois formes de délire inspirées par les Dieux (délire prophétique inspiré par Apollon, délire cathartique inspiré par Dionysos, délire poétique inspiré par les Muses), Socrate en ajoute une quatrième. Platon nous parle ici de la réminiscence et de la 4e forme de délire. Réminiscence signifie ressouvenir, se remémorer, avant de naître, notre âme a séjourné dans d’autres mondes où elle a contemplé les Idées : Idée de

Qu'est-ce que la vertu ? La vertu s'enseigne-t-elle ou non ? N'est-elle pas naturelle ? Tels sont les problèmes du Ménon; Ménon est un noble Thessalien, ami de Gorgias, qui tient, avec Socrate, un rôle essentiel dans le dialogue. S'ajoutent deux autres personnages: un esclave de Ménon et Anytos, l'accusateur de Socrate. Dialogue aporétique, c'est-à-dire n'apportant pas de réponse aux problèmes posés dès le début, le Ménon conduit surtout à l'idée qu'apprendre n'est que se ressouvenir. D'où l'importance

a réplique de Socrate après la tirade de Calliclès qui défend l’option d’une vie « libre » – mais que Socrate lui qualifie de « déréglée »- se fonde sur deux arguments distincts et successivement énoncés : Le premier s’attache à la nature des désirs : ils sont insatiables et à l’instar d’un tonneau percé, impossibles à satisfaire car ils renaissent sans cesse sous la même ou d’autres formes. Le propos de Socrate est sans équivoque puisqu’il dit que qu’un sicilien a nommé la partie de l’âme où

en action la philosophie de Socrate, d’Hermogène et de Cratyle sur la rectitude des noms. Hermogène, lui, est philosophe et disciple de Socrate. Cratyle est aussi un philosophe, mais disciple d’Héraclite. Cratyle prétend comme Protagoras qu’ « on ne peut soutenir un discours faux ». Dans le Cratyle, Socrate examine avec Hermogène les mots et les noms pour essayer d’arriver à une thèse concernant la rectitude des noms, comme mentionnée plus haut. Pendant le débat, Socrate, grand philosophe et professeur

en soit ; elles ont une existence à part. La première possibilité est la participation du partage( = la totalité de la forme serait prst dans la chose )Le tout serait entièrement répandu. Si c’est le cas, on arrive à une chose totalement absurde. Socrate propose la métaphore du jours( sauvetage de sa théorie) et Parménide va utiliser la métaphore du tissu qui recouvre les choses et reste un dans sa totalité. Il y a une partie de la forme qui serait en a et l’autre en b. Pour platon , la pensée ne