Soldats clones

ce drapeau coloré. J’étais fier ! J’étais endoctriné en bon soldat et étais prêt à mourir si nécessaire. Pour ce drapeau, pour ce qu’il représente. En quelques jours, j’avais mon uniforme, mes bottes noires brillantes tant j’avais craché dessus pour les nettoyer. Puis ils m’ont coupé les cheveux. Malgré une mine affreuse et un mauvais pressentiment, tout allait bien. Je me trouvais bien. A ma place, parmi tous ces soldats. Des clones pour ainsi dire. Presque chauves, toujours la même tenue. Chantant

Allemands. En effet, la masse de soldats semble suivre Hitler où il veut aller pour montrer l'adhésion sans restriction (ou l'aveuglement?) de la population à la personne d'Hitler. Ils sont prêts à se battre pour leur chef. De plus, la population est uniformisée dans tous les sens du terme : tous revêtent l'uniforme des SA et ils semblent former une masse compacte derrière Hitler ; on ne distingue plus les uns des autres comme une armée de « clones ». Ces soldats représentent l'homme aryen, grand

pantalons, les grandes études, l'égalité des chances, le choix de vie, sans être empêchées par des formations inadéquates ou des idées sexistes. Montrer néanmoins sa permanence : Le modèle masculin ne convient pas à toutes, elles ne sont pas des clones, continuer de combattre l'inégalité des sexes. Activité 2 1°) Quand l'homme dit : "tu ne travailles pas aujourd'hui ?" à la dame qui passe l'aspirateur, pour l'homme, faire le ménage apparement, n'est pas du travail pour ce Monsieur.

puisque sa race aryenne est suprieure aux autres peuples. Il doit protger la puret de sa race (lois antismites de 1938/ nuit de cristal) pour assurer sa mission celle de dominer le monde. Cette population est uniformise, faisant penser une arme de clones prts se battre pour leur chef. Ils reprsentent lhomme nouveau, symbole de la race des seigneurs ou race aryenne, grand projet dHitler, prt se battre aveuglment pour son Fhrer (culte de la personnalit). Dans cette idologie, il ny a pas dindividualits

gauche serré, visage dur et déterminé, brandissant de la main droite le drapeau nazi (frappé de la croix gammée). Ce sont les symboles du parti nazi, un parti politique antisémite et raciste. Hitler porte la Croix de fer, distinction reçue à certains soldats et officiers pendant la Première Guerre mondiale pour faire croire qu'il a eut un rôle important lors de cette guerre. Hitler donne l’impression qu’il va de l’avant soutenu par le peuple. -Deuxième plan, en bas : Un slogan nationaliste « Vive l’Allemagne

13 ; " personne d’autre [n’y] touchera ", l. 22), invalidé à défaut de l’héritier présumé ; ce qui laisse deviner, outre sa haine pour sa sœur, quelles idées il a de la filiation, comme un simple prolongement de soimême, et des enfants, comme des clones à maintenir soumis. C’est à propos de leur éducation (l. 14-17) qu’Adrien révèle toute sa vulgarité haineuse ; après cette explosion de fiel, il n’exprime qu’une grossièreté résiduelle (" je m’en fous ", l. 19 ; " tu fermes ta gueule ", l. 24).

partir vers Jérusalem ? Il ne faut pas voir les croisades comme neuf blocs clairement délimités. Les dates officielles des croisades ne recouvrent que des périodes particulières, d’afflux massifs de soldats depuis l’Occident à la demande du pape. Mais le reste du temps, rien n’empêche pélerins et soldats de partir vers Jérusalem, ou d’en revenir. Y’avait-il effectivement une trêve à cette époque entre le royaume de Jérusalem et Saladin ? Oui. En 1185, Saladin et Baudouin IV ont conclu une trêve

dirigeant du Parti Nazi. Ce chef sait où il va, trace la route, guide des milliers de personnages de plus petite taille, qui représentent le peuple allemand, vers un avenir rayonnant. Cette population est uniformisée, faisant penser à une armée de clones prêts à se battre pour leur chef. Ils représentent l’homme nouveau, symbole de la « race des seigneurs » ou race aryenne, grand projet d’Hitler. Dans cette idéologie, il n’y a pas d’individualités. La foule

instant, ce rapprochement pourrait se solder par une liesse d’embrassade mais le passif est trop lourd, les coeurs chargés d’affects négatifs et ne trouverons leur libération que dans décompensation violente. Nous assisterons alors à une danse de clones mécaniques dans une symétrie parfaite des coups qui ne s’appartiendront plus. Ils seront la propriété du groupe à cet instant précis. Nous pensons qu’ils ne savent pas que la rivalité est mimétique. Ils vont alors se rapprocher dangereusement et

«race aryenne» est supérieure aux autres peuples. Il doit protéger la pureté de sa «race» (lois antisémites de 1938/ nuit de cristal) pour assurer sa mission: celle de dominer le monde. Cette population est uniformisée, faisant penser à une armée de clones prêts à se battre pour leur chef. Ils représentent l’homme nouveau, symbole de la « race des seigneurs » ou race aryenne, grand projet d’Hitler, prêt à se battre aveuglément pour son Führer (culte de la personnalité). Dans cette idéologie, il n’y