Soleil Couchant Corpus

Question préalable « Recueillement » Baudelaire sujet des S du 28 février 2012 Analyse du corpus Le corpus est composé de trois textes. Le premier que l’on peut considérer comme le texte d’inspiration, est un sonnet de Baudelaire ( 1821- 1867), extrait des Fleurs du mal ( 1868). Ce recueil fut condamné comme immoral à sa publication en 1857, ce qui n’empêcha pas le poète de continuer à y travailler toute sa vie. Le deuxième poème est un sonnet de Philippe Jaccottet ( né en 1925), poète et traducteur

de bien-être dans un cadre naturel apaisant A. Description d’un moment particulier d’une chaude journée estivale 1. Le titre du sonnet, «Midi » repris dans le poème : v 5 : « Midi splendide » 2. L’omniprésence du soleil et de sa chaleur: v:2 « accablés de soleil » ; v8 : « l’ombre chaude » ; « les rayons » ; v11 : « la lumière » ; utilisation de métaphores pour évoquer l’astre solaire : v9 : «  la gaze de feu » ; v13 « les mailles d’or de ce filet subtil» 3. Création d’un tableau

Le corpus que nous allons étudier est composé de quatre poèmes qui abordent tous le thème de l'enfance et les malheurs que celle ci comporte. Tout d'abord Victor Hugo qui ici nous dénonce l'injustice social de son époque a travers des enfants qui des leurs plus jeune age commence a travailler «  ils s'en vont travailler quinze heures », ils dénonce aussi les conséquences de se travail des enfants comme lorsqu'il insiste sur leurs mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leurs

Corpus : Paul Scarron, Alfred de Musset, Paul Verlaine, Jules Supervielle Texte 1 Un amas confus de maisons, Des crottes dans toutes les rues, Ponts, Églises, Palais, Prisons, Boutiques bien ou mal pourvues, Forces gens noirs, blancs, roux, grisons, Des prudes, des filles perdues, Des meurtres et des trahisons, Des gens de plume aux mains crochues Maint poudré qui n'a pas d'argent, Maint homme qui craint le Sergent, Maint Fanfaron qui toujours tremble, Pages, Laquais, Voleurs de nuit, Carrosses

Le corpus qui nous est donné à étudier est diachronique et est composé de quatre poésies. Nous avons tout  d’abord la poésie de Pierre de Ronsard du recueil Continuation des Amours intitulée « Je vous envoie un  bouquet de ma main... » datant de 1555, la seconde poésie est « Soleils couchants » du recueil Les Feuilles  d’automne de Victor Hugo, celle­ci date de 1831. La troisième poésie est « Après trois ans » du recueil  Poèmes saturniens publiée en 1866 par Paul Verlaine. Enfin la dernière poésie est « Le Pont Mirabeau » de 

dans le grenier, tentée par le suicide après l'abandon de Rodolphe, est prête à se jeter dans le vide Comparez les ébauches du folio [4_189] avec le texte édité : « Le soleil couchant s'allongeait, en face sur les javelles inclinées qui la rayaient dans toute sa longueur, comme des zébrures blondes. / Le soleil couchant s'allongeant sur les blés semblait répandre avec sa couleur d'or une immense désolation. On n'entendait rien. on ne personne. tout était vide. Le terrain sec était éblouissant

I. La musique et les couleurs dans les poèmes 1. Allusions musicales et musicalité du vers. Dans les deux poèmes composant le corpus, on peut remarquer de fréquentes allusions à la musique. En effet, dans le poème de Nerval, Fantaisie, le choix même du titre nous éclaire sur les intentions de l´auteur. En musique, le terme ¨fantaisie¨, désigne une courte pièce de forme libre. Ce genre privilégie la liberté de composition et l’imagination. On peut aussi constater qu´il fait allusion

vers un avenir radieux. Le regard de l’observateur est aussitôt attiré par son chapeau sur lequel se dessinent en surimpression des scènes figurant un voyage idyllique : une chambre d’hôtel de grand standing, la silhouette d’un joueur de golf au soleil couchant, une famille modèle de blanc vêtue courant avec entrain sur une plage de sable blanc et fin, et enfin un petit îlot constitué de bungalows sur pilotis auquel mène un simple ponton au cœur d’un océan turquoise. Le nom de l’annonceur, Club Med

sentiment de fuite tient donc au constat d'un changement incessant dont les êtres et les choses sont les victimes non consentantes. Pourtant, le temps s'écoule toujours à la même vitesse et est d'ailleurs objectivement mesurable par le mouvement du soleil ou par les horloges. Le temps présente donc une ambiguïté fondamentale. D'une part, il y a des traces objectives de sa fuite puisque l'enfant que j'étais hier est aujourd'hui un vieillard. Mais d'un autre côté, la métaphore de la fuite renvoie à notre

1° ES 3 Séquence n° 1, la poésie au service de l’engagement ; corpus de textes autour des Feuillets d’Hypnos Septembre 2009 1 Texte 1 : “DEMAIN” ANNEXE : Lettre de Michel Manouchian à sa femme Mélinée Agé de cent mille ans, j'aurais encor la force De t'attendre, ô demain pressenti par l'espoir. Le 21 février 1944 Le temps, vieillard souffrant de multiples entorses, Peut gémir : le matin est neuf, neuf est le soir. Ma chère Mélinée, ma petite orpheline bien aimée, 5 Mais depuis trop