Solution hydro-alcoolique

des serviettes et du savon. Je suis donc allée chercher ce qu’il me manquer soit des gants à utilisation unique, une bassine et des gants en latex. En entrant dans la chambre, j’ai mis ma présence, je me suis désinfectée les mains avec une solution Hydro-alcoolique (SHA). J’ai commencée à discuter avec Mr B en lui demandant si sa nuit s’était bien passé, et si sa fille allait venir lui rendre visite. Tout en faisant la conversation, j’ai libéré de l’espace sur l’adaptable puis je suis allée remplir

son hôte. Il est précisé que la structure est ancienne. Elle n’est pas forcément adaptée pour tous les soins. Par exemple, il est difficile de se laver les mains, avant, pendant et après le soin car les emplacements disposant de SHA (solution hydro alcoolique) sont rares. De plus, une seule salle d’eau pour le personnel est installée à l’entrée de la structure. Il existe donc risque de contamination par non respect des précautions « standard ». Madame G est certes installée dans une chambre

avec le nécessaire à la toilette de madame N. (bassine, gant à usage unique afin de me protéger d’un éventuelle contact avec du liquide biologique, gant de toilette à usage unique pour assurer l’hygiène et le confort de la personne soignée, solution hydro-alcoolique pour respecter les règles d’hygiènes préconiser par le comités nationales des infections nosocomiales, un sac poubelle pour ne pas sortir les déchet de la chambre sans protection et diminuer la propagation de bactéries et des draps propre

résidente se trouvent dans la salle de bain de Mme M. Une fois le matériel préparé, l'aide soignante fait son entrée dans la chambre en frappant, elle la salue et prévient la résidente de la toilette. J'effectue un lavage de main avec une solution hydro-alcoolique qui se situait à l'extérieure à côté de la chambre, puis, je rentre, une odeur d'urine se répandait dans la chambre de Mme M. 
Je regarde l’environnement de la chambre, qui me parut spacieuse et bien installée avec une vue sur le jardin de

(transmission croisée). » et dans le cas d’un soin à risque de piqûre « il est impératif de porter des gants à chaque fois qu’il y a un risque de contact avec du sang ou tout autre liquide biologique. » L'infirmière me dit que l’usage d’une solution hydro-alcoolique est suffisante car il n’y a pas de risque d’exposition au sang lorsqu’une sous cutanée est correctement réalisée. Je lui réponds qu’il s’agit tout de même d’un acte invasif et que j’ai appris qu’il est obligatoire de porter des gants surtout

Déroulement de l’encadrement : Lecture de la prescription médicale par l’étudiant (art 4311-7 du CSP) Signal les anomalies de la prescription médicale Vérifie que la prescription est destinée au bon patient Friction des mains avec la solution hydro alcoolique Prise de connaissances du matériel proposé Désinfection du plan de travail Vérification des dates de péremption, de l’intégrité des emballages des produits utilisés Les produits utilisés correspondent à la prescription médicale (Augmentin

que cette dame est atteinte d’une Bactérie Multi-Résistante ( BMR ) depuis un mois ce qui entraîne de prendre des précautions complémentaires. Après m’avoir donnée toutes ces informations, l’IDE, effectue un lavage simple des mains à la Solution Hydro-Alcoolique (SHA), toque à la porte de la chambre et entre avec le matériel nécessaire à poser sa perfusion. Elle pose son plateau sur la table de nuit de la patiente. Elle commence à m’expliquer ce qu’elle fait. Elle ouvre la compresse stérile, puis

résultat, ainsi que la communication du résultat au prescripteur. PRECAUTIONS STANDARD AVANT PRELEVEMENT Lavage ou désinfection des mains : Lavage simple au savon doux pendant secondes ou désinfection des mains par friction avec une solution hydro-alcoolique. Rappel : enlever les bijoux, montre et bracelets, manches courtes. L’hygiène des mains est un devoir professionnel pour tout soignant. Port de gant : Le port de gant ne dispense pas d’une hygiène des mains. Pour éviter tous risques

l'établissement, un protocole pour le sondage urinaire a été établi par le CLIN (Comité de Lutte contre les Infections Nosocomiales). Dans ce protocole il est noté qu'il faut d'abord faire un lavage simple des mains ou frictions avec une solution hydro-alcoolique et mettre des gants non stériles afin d'effectuer la toilette génito-urinaire. Le lavage des mains et le port de gants font partis des précautions « standard ». Ce sont des précautions à appliquer pour tout patient dès lors qu'il existe un

du poste d’après midi de voir ce qui a été fait, et où en est l’administration du traitement. C’est une question d’organisation et de traçabilité. Elle peut maintenant préparer le matériel lui étant nécessaire sur son chariot : une solution hydro-alcoolique ; des tampons imbibés d’alcool ; un trocart rose ; un mini flacon de NaCl 0.9% ; une seringue à pousse seringue de 50ml ; un bouchon rouge; un prolongateur ; des compresses stériles imbibées d’alcool ; une étiquette à coller sur la