Solutions De La Crise De 1929

mondiale. Cette crise traverse le monde et se déroule après la crise de 1929. Cette dernière est un krach boursier qui provoque la déchéance d’importants actionnaires. Cette crise parvient en Europe au début des années 30. Elle est moins importante en France car les entreprises sont moins formées par des capitaux boursiers que par des capitaux familiaux d’où une atténuation des répercussions de la crise. Par conséquent quelle est la situation de la France avant la guerre ? 1) La crise économique

: - l'appel des marchés - capitalisme - libéralisme La croissance n'est pas toujours régulière, elle avance par à-coups A/ Les moteurs de la croissance 1) Les marchés Mots-clés : crise/croissance, capitalisme, dépression, libéralisme Dates-clés : 1873-1896 : Grande dépression 24 octobre 1929 : Krach de Wall Street 1933 : Début du New Deal aux USA Personnages-clés : Keynes, Roosevelt Deux types de marchés : Intérieur : La croissance s'appuie dessus, en constante augmentation 1850-1939

acheter la production (les ouvriers, les gens modestes) n’ont pas les moyens de l’acheter, et ceux qui pourraient acheter la production (les capitalistes) préfèrent épargner. Défense de l’économie de marché comme étant la solution optimale à toutes les questions politiques. Sont la solution pour aboutir non seulement à l’efficacité économique. Privilégient l’entrepreneur et sont des théoriciens de l’offre, pour eux ils priment l’offre, c’est l’offre qui crée la demande. C’est une pensée de l’harmonie économique

profit, pour maintenir son profit diminution du salaire de l'ouvrier en dessous de la reproduction de la force de L Les crises liées à cette doctrine : crise d'efficacité, crise de rentabilité, crise de surproduction 1929 crise de surproduction au lieu d'une crise boursière à wall street L'idéologie marxiste : ultime solution le rôle de la monnaie M-A-M=vision classique A-M-A= vision marxiste du capitalisme la monnaie n'est pas neutre L'armée de réserve devient armée révolutionnaire

Wendel, Krupp : entreprises de sidérurgies).L’ère de l’acier débute en 1856. Le goût pour l’innovation et la rationalisation naissent ce sont des facteurs primordiaux pour le développement des modes d’organisations. Entre 1847-1852 : une nouvelle crise entraine la faillite d’entreprise de chemins de fer, libre échange, prêt des banques et politique d’une baisse des prix (Wendel). On peut donc voir deux courants de pensée : le Libre échange et le protectionnisme.   Chapitre 6 La naissance des structures

Le prélude à la crise A de nombreuses reprises des acteurs du système financier ont voulu mettre en place une banque centrale. Le risque d'une panique bancaire était souvent le motif invoqué. En 1913, un conglomérat de 12 banques réussit finalement à obtenir du congrès américain l'autorisation d'instaurer la Federal Reserve, qui est la seule institution autorisée à imprimer de l'argent et a fixer un taux d'intérêt de base pour les banques auxquelles elle prête. Si le gouvernement américain d'aujourd'hui

Ottoman (= Empire Turc) qui va perdurer jusqu'au XIX ème siècle. L'Empire Ottoman comprend la Roumanie, la Serbie, Bosnie, l'Albanie, la Bulgarie, la Grèce. En présence de nationalisme à l'intérieur de l'Empire Ottoman, ce dernier va s'effondrer. En 1929, l'Empire Ottoman perd de nombreux territoires, la Serbie, la Roumanie et une partie de la Grèce. En 1878, l'Empire perd encore la Bulgarie et une autre partie de la Grèce. La situation de l'Empire Ottoman avant la première guerre mondiale : L'Empire

Mais, cette découverte ne sera démontrée mathématiquement que dans les années 1960, par deux prix Nobel d’économie (John Kenneth Arrow et Gerard Debreu). On prend un certain nombre de marchés (de biens), on les fait interagir librement : il y a une solution à ce problème, c’est-à-dire que l’équilibre existe. De telle sorte que si l’on veut augmenter la satisfaction d’un agent économique donné, il va falloir diminuer celle d’un autre. On dit que le marché est efficace. Il donne la meilleure répartition

dispositifs sur des normes prudentiels qui permettent de rattraper le problème d’aléa moral et permettent de constituer à la banque un coussin de fonds propres et de plus un dispositif macro prudentiel. Il faut prévenir le risque systémique. Avant la crise financière, il existait déjà un dispositif prudentiel qui était essentiellement micro prudentiel. On ne cherchait pas à prévenir le risque systémique. Les régulateurs avaient une vision très cartésienne des choses. Ils voyaient le risque systémique

dépression et de phases de croissance. Deux économistes ont analysé cette évolution et en ont tiré une théorie des cycles économiques. Juglar s'est intéressé aux cycles courts : il a ainsi repéré des cycles de 6 à 12 ans composés d'une phase de crise, chute momentanée et localisée dans le temps de la production qui peut parfois devenir négative, puis d'une période de reprise de la production, une fois la situation assainie. De manière plus générale, Kondratiev a étudié des périodes plus longues