Sommes Nous Ce Que Nous Pensons être

Témoignage de Madame DEMORON du Comité Des Foires Comment vous situez-vous ? Nous sommes une association qui a pour but le développement de l’activité économique sur Chalon Sur Saône, tout en organisant des actions, foires, salons, conventions. Pourquoi fonctionnez-vous comme une entreprise alors que vous êtes une association ? Car je vais chercher les exposants pour qu’ils soient présents sur diverses manifestions mais sans pour autant leurs garantir un chiffre d’affaire. Plus le nombre

La « cloison brique HG » a donc réussit à s’imposer sur le marché, le produit connait une bonne image auprès des prescripteurs et des intermédiaires ; et impose ainsi une forte notoriété sur le marché de la construction. Cependant ce produit ne peut être commercialisé que dans un rayon de 500 km car les frais de transports deviennent trop importants au-delà de cette distance ce qui contraint l’entreprise à se restreindre à la région PACA. Cas GELY situation interne : L’entreprise GELY connait une

L’identité, qui vient du latin « le même », et la manière de qualifier quelque chose ou quelqu’un comme une entité unique et permanente. Nous nous demandons, si nous sommes réellement les acteurs de la construction de notre identité personnelle. Dans un premier temps, nous observerons la façon dont nous nous construisons nous même, et dans un deuxième temps nous verrons comment nous nous construisons avec les gens qui nous entourent. Notre identité personnelle se construit au fil du temps.

particulière à agir sur leur environnement, à l’adapter à leurs besoins. Ils se sont vite distingués des autres animaux, par leur évolution progressive, au cours de laquelle leur manière de vivre prit diverses allures. Pendant ce temps, les autres être vivants de la planète continuaient leur route sur le même chemin, comme si quelque chose d’automatique les guidait. C’est alors que cette distinction prit le nom de raison, et d’instinct. Nous les Hommes, seriont dotés de cette capacité particulière

générations futures dans le but ne pas les revivre. Par le moyen des cérémonies mémoriales, des monuments tels que la croix de Lorraine, les plaques commémoratives dans toutes les communes. Cette mémoire renvoie à un passé, qui ne se veut pas tout à fait être passé. Cette mémoire a en effet été un support essentiel, un moteur puissant de la lutte contre le racisme et l’oppression des états rivaux. Cependant, il ne faut pas confondre le devoir de mémoire avec le travail d’histoire. En effet, l’Histoire est

nos rêveries en sont la preuve évidente. C'est d'ailleurs ce que nous reproche Pascal.On néglige le présent en se refugiant dans son passé ou dans le futur. L'homme est-il prisonnier de son passé et condamné à perdre l'instant présent ? Pourquoi sommes nous incapable de vivre dans l'instant ? La réponse est simple, l'homme est blessé du temps qui passe. Sûrement parce que réaliser que le temps passe nous prouve que tout ce qu'on a vécu auparavant ne sont plus que des souvenirs, insaisissables.

par le plus facile : les minéraux. Une pierre ne se meut pas elle-même et ne change pas. Elle peut se casser, mais sa rupture n’est pas une blessure ou une lésion : une pierre ne guérit pas parce qu’elle ne peut pas être altérée ; elle n’a pas de sensibilité et ne peut par conséquent être modifiée, ne peut évoluer, moins encore se modifier soi-même. Une pierre existe « immédiatement » : il n’y a pas d’intermédiaire entre elle et son existence, il n’y a pas d’attente, il n’y a pas d’écoulement du temps

plutôt de nature enthousiaste et curieuse, j’ai voulu en savoir plus sur ce sujet, même si au début, cela ne correspondait en rien a ce a quoi je m’étais attendue. Et puis, après quelques recherches, la problématique est venue d’elle-même. Nous nous sommes concentrées sur la Première Guerre Mondiale, dévastatrice par tous les aspects : des dégâts matériels certes, mais aussi humains et moraux. Il y a des blessures qui ne guérissent pas, des souvenirs qui restent à vie. Et ça, il est certain que les

Savoir, c'est savoir pourquoi on sait. C’est-à-dire l’ensemble de connaissances acquises par l'apprentissage ou l'expérience. Est-ce que voir est suffisant pour savoir ? Souvent, nous sommes trompés par nos sens, ce sont des illusions d’optique. Par exemple, on voit le soleil se lever et se coucher. Nous pensons donc qu’il tourne alors qu’en fait c’est nous qui tournons sans nous en apercevoir… Nous tirons de nos sensations des choses erronées, fausses. Il ne suffit donc pas de voir pour savoir

sur l’homme de la société, de parler de ses énergies mentales et physiques qui conditionnent la morale de la vie et la spiritualité. Enfin il n’est périlleux d’abandonner les éléments du corps physique d’un homme concernant les améliorations pour être en santé, car il n’est pas sans ignore que la douleur physique affecte conséquemment l’esprit. Un esprit physiquement malade, n’est pas prompt à penser, à ce concentré spirituellement ou moralement. C’est la santé qui confère le bon état d’un esprit