Sommes Nous Ce Que Nous Pensons être

présentes dans notre Commission. Heureusement, Madame Ludivine Cabit nous a été d’une aide précieuse dans la réalisation du projet. En effet, elle nous a fourni les bases de données des précédents stages déjà mises-à-jour, elles étaient ainsi prêtes à être transmises directement aux étudiants. Pour commencer, nous avons donc défini nos objectifs : *Tout d’abord, nous avons souhaité avoir un rôle d’information auprès des étudiants du Master 2, c’est-à-dire les informer sur les différents forums

musique, qui bien que présent en toile de fond dans de nombreux sujets développés en classe, n'a pas de partie spécifiquement consacrée. Le thème de cet essai rentre alors dans le thème général du soft-power, en explorant une piste que nous n'aurons peut être pas l'occasion de suivre autrement. Le soft-power, rappelons le, est un concept développé par Joseph Nye en 1990, qui définit le soft-power comme "la capacité d'obtenir ce qu'on veut par l'attraction plutôt que par coercition ou récompense". Le véritable

reçu de l’aide de quelqu’un lorsque le besoin s’est fait sentir, nous sommes naturellement enclins à rendre la pareille aux autres, c’est cela « donner au suivant » qui rend un monde meilleur. De plus, la vertu élève la conviction au-delà de l’individu car c’est un oubli de soi pour l’humanité. On veut dire par conviction une idée ou une opinion que l’on tient pour vraie et à laquelle on est fortement attaché. Ici nous pensons à Mahomed Ali qui a refusé de participer à la guerre du Viêt Nam ou

instrumental. La société traditionnelle, particulièrement vive au sein des franges rurales et paysannes de la population, est considérée comme le principal frein au développement économique (comme le sera plus tard le secteur informel urbain) et doit être détruite. Cela implique un Etat fort, capable d'imposer ces transformation à l'ensemble de la société, capable aussi d'endiguer les résistances. II/ L'ÉCOLE DE LA DÉPENDANCE ET LA DOCTRINE DE L'INTERDÉPENDANCE Une construction dialectique Dans les

ailleurs que dans l'esprit de l'artiste : ainsi de Homère narrant les aventures d'Ulysse et ses rencontres avec des créatures imaginaires. b. Le langage n'est pas non plus absolument limité par notre pensée Nous pouvons dire aussi ce que nous ne pensons pas. Autrement dit, le langage permet de dire le vrai tout autant que le faux, d'être sincère ou de mentir. En ce sens, la puissance du langage est tout à fait ambiguë : elle est puissance de dévoiler le vrai autant que de le masquer, d'enseigner

des propositions non fondées rationnellement qui se présentent avec l'apparence du savoir, peuvent-elles être hiérarchisées en fonction des critères du vrai, du bien et du juste ? Nous pouvons conjecturer que oui elles se valent toutes car tous les hommes sont égaux donc leurs propositions le seraient et non elles ne se valent pas toutes parce que certaines sont immorales et n'ont pas à être respectées. Pour cela, nous établirons dans un premier temps que toutes les opinions se valent, dans un deuxième

l'entreprise. Cet exercice constitue à nos yeux un bon moyen d'enrichir nos connaissances dans certains domaines, la nature même du travail demandé, recherche théorique, analyse, synthèse et réflexion générale sur la problématique, donnent, nous pensons, les éléments nécessaires à une maitrise assez complète du sujet traité. A partir de la, le thème de recherche que nous allons aborder dans le cadre de préparation de notre mémoire de fin d'étude porte essentiellement sur « la veille stratégique

toujours des rapports infernaux. Or, c'est tout autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l'autre ne peut être que l'enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont, au fond, ce qu'il y a de plus important en nous-mêmes, pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître, au fond nous usons des connaissances que les autres ont déjà sur nous, nous nous jugeons avec les moyens que les autres

toujours des rapports infernaux. Or, c’est tout autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l’autre ne peut être que l’enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont au fond ce qu’il y a de plus important en nous-mêmes pour notre propre connaissance de nous-même. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître, au fond nous usons des connaissances que les autres ont déjà sur nous. Nous nous jugeons avec les moyens que les autres

il faut être optimiste et se dire que l’on atteindra ce but, qu’on réussira. Si vous n’osez pas, vous n’y arriverez pas, c’est facile de se dire que ça ne sert à rien d’essayer car on n’y arrivera pas, mais si vous n’essayez pas vous ne réussirez pas. Il faut tout le temps oser dans la vie, ne pas avoir peur de ne pas réussir, de mal faire ou même de se tromper. Cette citation fait beaucoup réfléchir sur notre manière d’agir, de vivre, et même de la manière dont nous pensons. Par exemple