Sommes Nous Conscients De Nos Désirs

exprimer ses "pensées", de façon déguisée, pour ne pas se faire censurer par la conscience. Cf. lapsus, rêves, actes manqués, hystérie, etc. Exemple : aller au bar du coin au lieu d'aller à l'école. Or, n'est-ce pas de l'ordre du symbolique? Ne sommes-nous pas en présence de signes? Définition du signe : quelque chose ayant une manifestation sensible, qui renvoie à autre chose (une idée), et ne sert qu'à désigner cette autre chose. Un signe veut dire/signifie quelque chose. On peut développer

INTRODUCTION L'homme, dans la mesure où il est conscient, c'est-à-dire capable de se prendre lui-même pour objet de pensée, n'est plus simplement dans le monde comme une chose ou un simple être vivant, mais il est au contraire devant le monde : la conscience, c'est ladistance qui existe entre moi et moi-même et entre moi et le monde. Le cerveau humain est l'étage le plus élevé dans la hiérarchie fonctionnelle du système nerveux central. C'est une masse blanche et grise composée de milliards de

atteindre le bonheur ? 18 A. Satisfaire nos désirs : l’hédonisme 18 1. Le bonheur est dans la satisfaction de tous nos désirs (Calliclès) 19 2. Le bonheur est la satisfaction de certains désirs seulement (Epicure) 20 B. Modifier nos désirs : le stoïcisme 20 1. Modifier nos désirs 20 2. Se satisfaire de son action : que notre vertu fasse notre bonheur ! 21 3. Être conscient des maux qui nous guettent 21 C. Supprimer nos désirs : le pessimisme 22 D. Transformer nos désirs : la sublimation 22 1. Platon 22 2

? A. Satisfaire nos désirs : l'hédonisme A.1. Satisfaire tous nos désirs (Calliclès) A.2. Satisfaire certains désirs seulement (Epicure) B. Modifier nos désirs : le stoïcisme B.1. Modifier nos désirs B.2. Se satisfaire de notre action B.3. Etre prêt au malheur C. Supprimer nos désirs : le pessimisme D. Transformer nos désirs : la sublimation D.1. L'analyse de la sublimation (Freud) D.2. L'éloge de la sublimation (Platon, Nietzsche) V. Comment maîtriser les désirs ? A. Les métaphores

l'inconscient est bien une partie de soi. Emmanuel Kant nous met sur la piste en développant le fait que le « je pense » doit pouvoir avoir conscience. Ce « doit pouvoir » nous invite à songer qu'il doit y avoir autre chose que la conscience propre. Nous sommes douteux face aux théories contradictoires ou parfois complémentaires des philosophes de l'inconscient. L'inconscient n'est-il qu'un mythe ? La négation réduit le phénomène d'inconscient. On a donc plusieurs possibilités. Notre vision nous replongera

découvrons que nous jouons un “jeu” sans le savoir, et nous mentons à nous même mais aussi aux autres. Il nous faudra alors souvent de médiation d’autrui ou de certaines épreuves pour nous faire ouvrir les yeux et nous faire comprendre que nous ne sommes pas ce que nous avions l’habitude de croire être, que ce n’était qu’une illusion d’être. Mais qui permet donc de nous ammener à nous exposer à l’illusion et et exposer la conscience de soi comme une méconnaissance de soi ? Qu’est-ce que nous apprend

secret et inaccessible. Avec Freud, l’inconscient adopte un caractère psychologique à part entière. Il lui confère une réalité bâtie et mue par des intentions et des désirs imperceptibles. En fixant les notions de moi, de subconscient et d’inconscient, Freud décrit un fonctionnement psychologique marqué par l’expression de désirs inconscients et par leur censure puis leur refoulement. Pour Freud, des souvenirs seraient oubliés et il faut les faire sortir de l’inconscient que le savoir, où la mémoire

nous en venons à nous demander si nous sommes vraiment tout ce que nous pensons avoir conscience d’être, et si cela et plus ou moins le cas. Ou encore si je suis tout a fait autre que cette conscience que j’ai de mon être. Nous pouvons présupposer que la conscience pourrait être un obstacle à la connaissance de soi-même, surtout dans le cas où celle-ci serait une source d’illusion. Elle serait alors trompeuse, et nous amènerait à douter de ce que nous sommes, somme nous tout autre que ce que nous

indépendants tant qu’ils se sentent ne pas dépendre de quoi que ce soit. Le raisonnement que Nietzsche qualifie de sophisme est le suivant : c’est le sentiment que nous avons de ne pas dépendre de quoi que ce soit qui nous amène à déduire que nous sommes indépendants. Nietzsche le présente comme étant le raisonnement que tous les hommes font, ce qui revient à dire que les philosophes qui défendent la thèse du libre arbitre ne font rien d’autre que reprendre un mode populaire de raisonnement. Cette

aux choses impossibles que raisonnables, contrairement au besoin, et de ce fait, il se condamne lui-même semble t-il à l’échec. Que de rêves, de projets déçus, chez les hommes ! Que de mirages ! Il semble bien qu’une vie réussie est une vie où nos désirs s’en tiendraient strictement au possible et banniraient le plus possible les rêves éveillés, les projets insensés, bref, on peut penser qu’il ne faut surtout pas désirer l’impossible, en tout cas pour notre bonheur. Cependant, la distinction entre