Sommes Nous Maitres De Nos Croyances

Russell ; Bachelard ; Heidegger ; Wittgenstein ; Popper ; Sartre ; Arendt ; Merleau-Ponty ; Levinas ; Foucault. Fiches de révision 1. La culture Nature et culture L'art et la technique Les échanges 2. La vérité La vérité La raison et la croyance La religion L'expérience 3. La liberté La liberté La justice et la loi Le bonheur 1. La culture Nature et culture La culture s'entend d'abord par opposition à la nature : est naturel, ce qui se fait toutseul ; est culturel ce qui

Que la beauté l’orne Que la beauté l’orne… c’est le souhait que formule le Vénérable Maître à l’ouverture des travaux en loge maçonnique. J’avoue que ce souhait m’a toujours un peu dérangé. Que la beauté orne nos travaux, qu’elle soit la cerise sur le gâteau, pourquoi pas ? Mais je pensais que des recommandations plus essentielles auraient pu être faites, comme par exemple des recommandations de rigueur dans la recherche du bien et du vrai. C’est mon travail sur la Divine Comédie de Dante qui

proclame l'égalité avec le nègre (il l'écoute et est compatissant) - Le "on" est un indéfini qui désigne les maîtres et insiste sur le collectif de cette dénonciation (il est en relation avec le "nous" ) - Le constat n'est pas seulement de sa situation personnelle mais il établit l'histoire de tous les esclaves. B. Les marques de l'esclavage 1) Modestie et soumission : j'attends, maître, fameux négociant... Déférence par rapport à Candide ; poids des colons (il est allongé sur le sol): habit

sont des attitudes que nous savons rattacher au sursaut identitaire des religions organisées. Ils ont peu à voir avec un éveil du spirituel et beaucoup à voir avec les luttes des identités culturelles de communautés soudées autour d’un credo. Nous sommes tout à fait préparé à reconnaître que la spiritualité vivante transcende les dogmes, les credo et ne se laisse enfermer dans aucune organisation. La critique sévère de la religion chez Krishnamurti ou encore chez Aurobindo ou Mère ne nous empêche

cette faculté n'atteint que des phénomènes et laisse de côté les choses en soi qui, bien que réelles en elles-mêmes, nous restent inconnues. » En d'autres termes, s'il existe des vérités qui dépassent le savoir, nous ne sommes pas en mesure de les connaître. Pour Kant, nous ne sommes capables que de connaître des phénomènes et les noumènes restent à nos yeux un mystère. Dans son Cours de philosophie positive, Comte admet des théories de l'esprit qui permettraient de retenir des phénomènes et qui sont

puis-je considérer comme véritablement à moi ? » Ce que je suis, c’est une existence, une conscience, et une âme qui pense nous dirait Descartes. En effet, la connaissance de soi est la préoccupation de chaque individu. Nous sommes tous amenés à nous définir par des qualités, des défauts, des désirs : c'est ce qui constitue notre caractère, ce qui forge notre personnalité. Ce que je possède correspond à tout ce qui m’appartient et tout ce qui me caractérise. Le moi est le sujet

propre destruction. La lumière dans le rituel Lors de l'ouverture de la Loge, le rituel définit les fonctions nécessaires pour que la loge soit éclairée : "Trois la dirigent, cinq l'éclairent, sept la rendent juste et parfaite" Le Vénérable maître et les Frères Surveillants dirigent la loge, les Frères Secrétaire et Orateur sont nécessaires pour que la loge soit éclairée. C'est à dire qu'à la force, à la beauté et à la sagesse, il est nécessaire de rajouter la mémoire et la parole pour que

pas un individu: Un individu qui a de la culture possède des connaissances nombreuses. C'est dans ce sens qu'on parle de culture générale. → En un 2eme sens, la culture est quelque chose dans lequel l'individu vit: Une culture est un ensemble de croyances, de coutumes, et d'institutions propres à une société, une portion de société, ou plusieurs sociétés. On parle aussi, dans le cas d'une vaste échelle spatiale ou temporelle de civilisation.→ En un 3ème sens, la culture n'est plus une notion statique

elle-même, c'est encore le temps de la tragédie, le temps des morales et des religions. Que signifie cette apparition toujours nouvelle de ces fondateurs de morales et de religions, de ces instigateurs à la lutte pour les évaluations morales, de ces maîtres du remords et des guerres de religion ? Que signifient ces héros sur de pareilles planches ? Car jusqu'à présent, ce furent bien des héros ; et tout le reste qui, par moments, était seul visible et très proche de nous, n'a jamais fait que servir à

pourrait-il réellement servir de remède aux plaies béantes de nos âmes? Que pense donc notre cœur de cela? Avons-nous pris le temps de l'interroger, de lui demander son avis? Ou bien, l’avons-nous négligé telle une vieille guenille, perdus que nous sommes dans ces petits plaisirs de la vie? Selon notre humble avis, toutes ces questions ne prennent racines que dans une seule: avons-nous besoin de la religion dans nos vies? Au risque d'être taxer de fou de dieu, je criai au haut et fort que oui. Il nous