Sommes Nous Maitres De Nos Croyances

que d’embryon de tout plan de communication : Who, What, Whom, What channel, When. Cette formule « qui dit quoi, à qui, quand et comment » laisse peu de place à l’écoute et à l’interactivité. L’émetteur serait actif et le récepteur passif, nous sommes dans un unilatéralisme de communication, une approche purement linéaire. 2 - Une approche quantitative La vision quantitative de la communication repose sur une définition de celle-ci en termes de flux. Elle est à la base de nombreuses stratégies

dans lesquelles intervient le désir. Pour faire naître un désir, une envie, il faut qu’il y ait la représentation d’un manque. L’individu qui désire doit avoir en lui la croyance que l’objet de son désir est l’incarnation de ses attentes. L’objet de ses désirs, ici boire, doit avoir pour fin d’épancher sa soif. Plus la croyance est vive et plus le désir est vif, ce qui paraît logique : plus il a soif et plus il veut boire. Le manque apparaît comme l’élan du désir. A première vue, il semblerait difficile

principalement du droit à la vie, à la liberté et à la dignité. Le tout est conditionné par ce principe fondamental bien connu et qui paraît aujourd’hui tellement galvaudé, celui de « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Lévitique XIX, 18). Nous ne sommes guère surpris d’ailleurs, de lire dans le préambule de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789, que « Tous les hommes naissent libres et égaux en droits. » C’est ce que nous apprendrons à partir du Livre de la Genèse, chapitre I, versets 26 et

d'animaux au nom de Satan, à la profanation de sépulture ou tout autres actes hystériques. Le satanisme prône le respect et n'est donc pas une religion qui encourage l'irrespect... Les Satanistes sont des hommes et des femmes fatigués des mensonges et croyances insensées qui sont véhiculées par la chrétienté et les autres religions soit disant révélées. Le christianisme, tout comme le Judaïsme et l'Islam, sont « malsains » : ils ont tué, détourné des ressources, retardé le progrès scientifique et sociaux

pour les sens physiques, mais visible pour ce que les Orientaux appellent le « Troisième Oeil » ou clairvoyance. Ce monde intérieur est beaucoup plus vaste et contient bien plus de choses intéressantes que l'environnement physique, vers lequel nous sommes toujours portés, utilisant pour cela les fenêtres des cinq sens. Les pensées, ainsi que les émotions, les aspirations, les espoirs, la peur, les jalousies, les frustrations, etc., sont intérieurs, psychologiques. Ils ne sont pas visibles pour les

richesse de la pensée individuelle. Toutefois, les fréquentes publications de sondages d’opinion tendent à montrer qu’il n’existe pas ou très peu d’originalité de la pensée mais qu’au contraire quel que soit le sujet c’est la pensée commune qui règne en maître. Est-il alors possible de penser par soi-même ? Avons-nous la capacité d’élaborer des idées, des réflexions sans avoir besoin d’aide ni subir l’influence d’autrui ? Le problème porte sur la nature de la pensée et sur les conditions de son élaboration

est une illusion, nous sommes en fait possédés par la crainte que nous croyant libres, c'est-à-dire indépendants d'une volonté étrangère, agissant et nous mouvant sans restrictions, en vérité, nous ne le soyons pas, mais il est alors nécessaire d'abord de nous demander ce qui déclenche ces peurs étonnantes. N'étant ni esclave, ni prisonnier, pourquoi craindrions-nous encore de nous croire libres, sans l'être ? Nous sommes pris de ce doute car paradoxalement, nous ne sommes pas sûrs que ce que nous

sait que cette connaissance lui fait défaut. Le franc-maçon est, par conséquent, celui qui prend conscience de son ignorance et désire en sortir. Mais l’ignorance n’est pas seulement une absence de connaissance, elle est aussi surabondance de croyances, d’idées reçues et de préjugés. Le pire ignorant est donc celui qui croit savoir. C’est la situation que symbolise la pierre brute. C’est pourquoi, le premier acte maçonnique consiste non pas à apprendre quelque chose, mais à mesurer l’étendue

relativisme culturel {text:list-item} {text:list-item} Culture et éducation {text:list-item} {text:list-item} LA RELIGION Notions annexes : la culture, la démonstration, la société et l’état. La religion = ensemble de croyance + pratique reliant les hô à Dieu dans le cadre d’1 communauté. Y’a-t-il des preuves qui pourrait me conduire à croire, quel rôle social joue la religion ? Preuve = énoncé impliquant l’existence d’un objet qui peut être matérielle ou logique

problème du sujet. La question peut surprendre ici car nous disons rarement que nous sommes des « moi ». Cependant, nous disons « moi » pour nous désigner et c’est bien ainsi que nous faisons la différence entre nous et les autres personnes voire les objets. « Moi » désigne donc qui je suis, mon identité. Dès lors, même si formulée ainsi la question peut surprendre, on voit bien que nous considérons communément que nous sommes chacun un « moi ». Mais que devons-nous entendre par là ? Quelle est la nature