Sommes Nous Prisonnier De Notre Culture

chercher à combler son ignorance. Cela fait parti de notre quotidien , de chercher la vérité sur tout , et cela vient naturellement sans aucun sacrifice à faire car il vaudrait pas le coup de faire des sacrifices pour combler son ignorance. Nous ne sommes pas obliger de faire de sacrifices pour partager ceci 2) la vérité, un outil présentant des avantages la vérité peut avoir des intérêts , économique comme le fait de constater un besoin chez les gens , dans ce cas là, nous ne cherchons

d’autres de mes infortunés camarades, j’ai connu les heures dures de la captivité, en France d’abord, puis en Allemagne. Fait prisonnier le 16 juin 1940, à Gas, quelque part aux environs de Chartres, je fus détenu tout à tour au camp de Bel-Ebat, près de la Celle-Saint-Cloud, puis à Beaumont-sur-Oise, à Drancy enfin, où, dans ce qui était alors le Front-Stalag n° 111, les prisonniers de guerre inaugurèrent un camp de souffrances qui devait voir passer par la suite des milliers de malheureux, dont le seul

faire de nous des sujets. En effet elle permet de mieux se connaître, devenir moins étranger à soi et donc permet par suite une désaliénation en libérant notre conscience. Pour maîtriser ses actes, ses pensées il est nécessaire d'étudier sa culture, son comportement en société et leurs origines, c'est ce que ces deux sciences réunies nous aident à faire. La conscience de soi est un fait qui une fois acquis ne peut se défaire de nous. Descartes nous le prouve simplement dans cette contradiction

- Ah, mais je plaisante beaucoup, moi, je suis très amateur de jeux de mots, de plaisanteries. Dans ma famille, avec mes petits-enfants, j'ai toujours joué le rôle du clown, et pas celui du vieux prof (rires). 2) Pacifiste avant-guerre puis prisonnier de guerre - Bon, venons-en à votre pacifisme dans les années trente. Là aussi, un sentiment de remords? - Oui. La déroute de 1940 a été pour moi un choc terrible. Quand j'ai vu sur les routes tous ces soldats fuyards... J'ai eu l'impression d'avoir

problèmes quotidiens dans le langage psychologique, et particulièrement dans celui de la dépression, alors qu'ils étaient énoncés, il y a encore peu, dans le langage social ou politique de la revendication, de la lutte, de l'inégalité". Nous sommes donc sommés d'être responsables de nous-mêmes à un point jamais atteint dans l'histoire humaine. Cette augmentation de responsabilité nous rend plus vulnérables. Pour alléger ce poids et faciliter la capacité d'agir, nos sociétés offrent toutes sortes

n’est pas la philosophie mais le monde qu’elle veut comprendre. Pour prendre du recul par rapport à nos opinions personnelles nous devons parvenir à nous libérer de nos penchants naturels, de nos désirs de la vie matérielle dont nous sommes trop souvent prisonniers. Le discours philosophique ne peut pas être seulement subjectif, il vise l’universel. Repère : universel/général/particulier/singulier -Universel : reconnu et compris par tous les hommes -Singulier : Ne vaut que pour un seul individu

correctement, nous permet, grâce à la réduction de ce conflit intérieur de nous «unifier », tandis que la justice garantira le cadre favorable à la mise en oeuvre de ce que à quoi nous sommes par nature le mieux disposés. Son système philosophique s'explique par son fameux « Mythe de la Caverne ». Aveuglés par leur manque de culture, les hommes depuis leur enfance sont enchaînés au fond d'une caverne. Ils ne voient que la paroi opposée à l'entrée et ne perçoivent donc que les ombres portées sur cette paroi

relatif. En dernier lieu, on arrive à l’intelligible. On n’est plus dans le sensible. On n’est plus enchaines. Nous ne sommes plus dans les formes changeantes. On est dans la vision globale de la beaute. On peut tous atteindre cette etape de l’allegorie. Le beau peut etre en chacun de nous. Cependant, il faut de l’amour et il ne faut plus etre passif. Les prisonniers de la caverne ne sont pas actifs. Il faut etre actif d’esprit. Le beau intelligible nous amene au bonheur. A cette etape, on

la sagesse et le bonheur envisagés comme ataraxie, but ultime de l’existence de l’homme. Ce bonheur qui se traduit par une absence de passions qui prend la forme d’une absence de souffrance. Pour incarner cette thèse dans un personnage ou dans une culture nous pouvons dire qu’elle se rattache aux théories spartiates qui sont des théories guerrières. Les spartiates fut longtemps les meilleurs guerriers de Grèce, mais également les guerriers les plus réputés au niveau mondial. Nous comprenons pourquoi

l’assimilation d’un chrétien à l’islam au XVIe siècle. El Euldj prénom pris par ce chrétien converti, signifie « renégat ». Le roman fait le procès du discours assimilationniste. En fait, il inverse les rôles. Bernard Ledieux , chrétien fait prisonnier par les corsaires de la Régence, se convertit à l’Islam pour échapper à sa condition d’esclave. Omar Lediousse, El-Euldj (le renégat), épouse Zineb, la fille de son ancien maître Baba Hadji, mais il trouve des difficultés à s’assimiler ; alors