Sommes Nous Prisonniers De Nos Croyances

philosophiques » -Aristote, Métaphysique Les mythes et la philosophie ont une origine commune qui est le but de comprendre. La philosophie est la naissance du discours rationnel reconnu comme norme du vrai. Elle se constitue face aux mythes et aux croyances. b) La figure de Socrate. (470-399 av. JC) Il a été condamné à mort pour corruption (Platon le raconte dans Phédon). Il n’a jamais rien écrit, ce qui est paradoxal car c’est le fondateur de la philosophie. La philosophie est un exercice oral

liberté extérieure : pouvoir de faire ou d’exécuter sans contrainte venant de l’extérieur EX : On parle d’une chute libre. On dit que les animaux sauvages sont libres . la liberté politique et la liberté civile sont des libertés extérieures. Un prisonnier n’est pas libre de cette liberté là . b) la liberté intérieure : pouvoir de se décider et de choisir sans y être déterminé par des forces intérieures . C’est le pouvoir de se déterminer indépendamment de forces irrationnelles, impulsions, émotions

nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir l’homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. » Pascal, Pensées. D’autre part, cette pensée comprend, toujours selon la définition cartésienne, « tout ce qui est tellement en nous que nous en sommes immédiatement connaissants.» Cela signifie que la pensée n’est rien autre chose que la conscience que l’homme prend de lui-même, autrement dit la conscience de soi. En effet, il n’est de pensée véritable que consciente d’elle-même. Sans ce retour

philosophique proposée par Platon dans "La République". Elle décrit un groupe de personnes enchaînées dans une caverne, ne percevant que des ombres projetées sur un mur. Ces ombres sont considérées comme la réalité par les prisonniers, qui ignorent tout du monde extérieur. Lorsqu'un prisonnier est libéré et découvre la lumière du soleil, il réalise que les ombres ne sont que des illusions et que la réalité est bien plus complexe. L'allégorie soulève des questions sur la nature de la réalité, la perception

d'informations concernant des millions d’ événements qui se produisent dans le monde ; nous sommes contraints d'avoir un avis sur tous ces événements, alors même que les information:; reçues se révèlent en définitive peu fiables, voire mensongères, et à tout le moins parcellaires. Nous commettons donc des erreurs, et en un sens, beaucoup plus que nos ancêtres qui, n'étant pas informés comme nous le sommes, avaient moins souvent l’occasion de formuler un jugement, donc moins souvent l'occasion de

discipline, la philosophie vise d'abord a connaître . La connaissance qui est sa visée propre est celle qui procure l'unité systématique au corps des sciences, et qui résulte d'un examen critique des fondements de nos convictions , préjugés, et croyances .. Mais il faut bien reconnaître que dans son effort pour apporter des réponses précises a ces questions, la philosophie n'a pas rencontré un succès considérable . Un mathématicien, un minéralogiste ou un historien, comme n'importe quel homme de

Considérons le dilemme du prisonnier suivant (chaque joueur cherche à minimiser le temps qu’ passe en prison, ou, ce qui revient au même, à maximiser la valeur il négative de ce temps)1 Joueur 2 N 0 avoue pas Joueur 1 N 0 avoue pas 2; 2 Avoue 1; 10 Avoue 10; 1 5; 5 La solution de ce jeu sera (Avoue ; Avoue) car avouer maximise l’ utilité de chaque joueur, quelle que soit la stratégie de l’ autre joueur : “Avouer” est une stratégie strictement dominante. Le dilemme du prisonnier est un exemple simple

demander s'il est possible de bien penser. Néanmoins, vous pouvez remarquer que bien souvent, lorsque nous jugeons, nous sommes prisonniers d'une culture, d'une manière de voir le monde. Ici, vous pouvez vous reporter à la critique que Lévi Strauss fait de l'ethnocentrisme à propos de la barbarie. Penser sans préjuger consisterait alors à penser en mettant entre parenthèse nos croyances, nos habitudes, nos certitudes. Ici, vous pouvez penser à la figure de Socrate qui commence par affirmer qu'il ne sait

succession d'instants ? 46. Les instruments de mesure du temps nous font-ils connaître ce qu'il est ? 47. Le temps se réduit-il à la conscience que nous en avons ? 48. Faut-il opposer la durée vécue et le temps des choses ? 49. L'homme est-il prisonnier du temps ? 50. Le temps est-il essentiellement destructeur ? 51. Pour la liberté, le temps est-il un obstacle ou un moyen ? 52. N'y a-t-il que le présent qui soit digne d'estime ? 53. Est-il possible de vivre au présent ? 54. Le passé est-il

temps : la pierre a une utilité instrumental, symbolique, ou sacrée. Elle fut utiliser par les hommes de la préhistoire pour chasser, puis, par la suite pour les constructions d’édifices pour l'art ou encore pour l'industrie. Dans de nombreuses croyance et religions elle a une importance capital a la foi de manière métaphorique et salvatrice. Voici quelques exemples : Dans la religion musulman: la kaaba est une pierre noir qui celons la tradition musulman a été offerte a Abraham et Ismaël par