Sommes Nous Prisonniers De Nos Croyances

Le mercredi après-midi précèdent Noel, quelque chose d’inattendu va arriver a la dinde , qui va l’emmener à réviser ses croyances : ses humains qui la nourrissait on finit par la tuer.Ce qui nous emmène a nous poser les questions suivantes : comment pouvons nous connaitre l’avenir en nous fondant sur ce que nous savons du passe ? Ou, plus généralement, comment pouvons nous

notre liberté est légitime par rapport à des lois, cela ferait d’elle une liberté limitée. Pourtant, même si la liberté nous paraît comme étant déjà acquise, nous luttons sans cesse pour elle car nous sommes exposés aux contraintes de la vie qui vont à l’encontre de notre liberté. Si être libre c’est faire ce que l’on veut, comment pouvons nous vivre en société et respecter celle

fruit de nos sens. De ce fait, il paraîtrait évident que la science connaît le réel car nous avons l’impression que ce que nous percevons est réel. Or c’est une illusion de considérer comme seul réalité celle que l’on voit par les sens. Nous sommes prisonniers de nos perceptions puisque nous n’avons pas la capacité d’aller au-delà. Ce qui fait de nous des ignorants. Et l’ignorance n’est pas compatible avec la science. Par exemple, nous pensions avoir la connaissance de la géométrie. Seulement il a

l’expérience, nos proches ne les partagent pas forcément. La vérité serait qu’un parti-pris, un point de vue isolé et partiel. Exemple : Toute fois l’histoire nous prouve qu’un seul peut avoir raison contre tous. Galilée a établi une vérité contraire aux croyances de son temps. Un scientifique peut provisoirement proposer seulement une vérité objective qui s’oppose à l’opinion unanime. La vérité ne vient pas toujours de soi, elle n’est pas évidence. Lorsqu’une vérité est enfin admise elle s’impose de manière

gros, l’existentialisme promeut la responsabilité personnelle, la croyance que nous sommes et nous devenons ce qu’on est à travers nos actions et nos comportements. L’existentialisme sartrien prétend se dissocier des vérités révélées (religion, foi, mysticisme etc…). C’est dans cet aspect là que Sartre envisonne l’existentialisme. Il passera ainsi presque toute sa vie adulte engagé politiquement à gauche. Résistant puis prisonnier puis résistant encore, Sartre n’a de cesse de militer pour la paix

celle qui n'est ni esclave ni prisonnier ; être esclave, c'est devoir obéir à ce que quelqu'un qui n'est pas moi veut, c'est dépendre d'une volonté étrangère à la mienne ; être prisonnier, c'est encore dépendre d'une volonté qui m'est extérieure, et c'est surtout être contraint dans mes mouvements. Celui que l'on dit libre, est donc celui qui n'agit que selon sa volonté, et qui se meut sans contraintes. Lorsque nous nous demandons si la liberté est une illusion, nous sommes en fait possédés par la crainte

refus systématique qui pourrait être le signe d’un esprit borné. La pensée doit d’abord dire non à elle-même. Penser c’est donc déjà combattre contre ses propres opinions, contre ses propres croyances, contre ses propres désirs. La tentation est grande de céder aux délices de l’opinion et à sa facilité. Le prisonnier qu’on détache commence d’ailleurs par souffrir. Il doit lutter contre lui-même. La célèbre formule de Socrate dit que s’il ne sait qu’une chose c’est qu’il ne sait rien. Il s’oppose alors

demander s'il est possible de bien penser. Néanmoins, vouspouvez remarquer que bien souvent, lorsque nous jugeons, nous sommes prisonniers d'une culture, d'une manière de voir le monde. Ici, vous pouvez vous reporter à la critique que Lévi Strauss fait de l'ethnocentrisme à propos de la barbarie. Penser sanspréjuger consisterait alors à penser en mettant entre parenthèse nos croyances, nos habitudes, nos certitudes. Ici, vous pouvez penser à la figure de Socrate qui commence par affirmer qu'il ne sait

signification. Le symbolisme est très faillible, en ce qu’il peut induire des actes, des sensations, des émotions et des croyances à propos de choses qui ne sont que des notions qui ne se traduisent par aucune de ces formes d’existence dans le monde que le symbolisme nous conduit à présupposer. Le symbolisme est un facteur essentiel dans la façon dont nous agissons en tant que nous sommes le produit de notre connaissance directe. Le mot est un symbole, et sa signification est constituée par les idées

toujours d’actualité? D’une certaine façon, en effet : 1. Liberté: aujourd'hui, on entend beaucoup parler de prisonniers politiques, arrêtés pour avoir dit publiquement ce qu'il pensaient. C'est une entrave à la liberté d'expression, ce que condamnait déjà les Lumières à l'époque. (tu aura plusieurs exemple sur le site d'amnesty international, qui se bat pour la liberté de prisonniers d'opinions: http://www.amnesty.asso.fr/ )2. Tolérance: D'après Voltaire, on doit respecter la liberté et les opinions