Sommes Nous Responsables De Nos Actes

dans une seconde partie nous allons tenter de nuancer la position précédente en montrant que la liberté ne peut être un fardeau, c’est un droit, un luxe, dont on ne peut se passer. Enfin dans une troisième partie nous allons nous demander si nous sommes vraiment libre et les conséquences que cela amène. Dans une première partie, nous allons montrer que la liberté est un fardeau car cela entraine trop de responsabilités, responsabilités que l’on refuse d’assumer comme le met en avant Dostoïevski

comme des bégaiements , des blocages , des phobies. Le conscient, aurait donc en lui une part active qui lui échappe, comme un autre moi malgré moi, en moi on serait deux, mon moi conscient et mon autre moi mais inconscient. Chez les hommes, certains actes agissent sans contrôle, ces actions échappent complètement à la conscience, comme lorsqu’on rêve ou lorsqu’on dit le contraire de ce qu’on voulait dire. De manière encore plus immédiate, une conscience peut avoir des idées dont l’origine est méconnu

introductive Mise en situation actuelle : 30 avril 2007, Ludovic Bouchard, 23 ans, agresse une jeune déficiente, avec un complice. Devons-nous penser que Ludovic est responsable de son acte? Oui, disent les rationalistes. Pourquoi : - Tout homme est doté de raison → ce qui amène la liberté. L’homme est libre et donc responsable de ce qu’il fait de sa liberté. - Raison permet de juger en vue de l’action. - Raison permet de contrôler nos passions, nos pulsions → sont bonnes, si utiliser sans

moins responsables de la souffrance de la victime. Cette grande obéissance a tenté d'être expliquée par le sadisme des individus testés ou encore le fait que les individus ne pensent pas faire mal à la victime mais ces explications ne sont pas vraies. Selon Milgram, il existe 2 catégories d'états psychologiques, l'état d' « autonomie » et l'état d' « agent ». Les premiers se sentent responsables de leurs actes alors que les seconds considèrent l'autorité comme responsable de leurs actes. Certains

précède le moment où la patient décide consciemment de ce qu’elle va faire. La délibération n’est pas encore finie dans la conscience que l’action est déjà commencée, cela voudrait donc dire que la conscience et la volonté n’ont pas d’effet sur nos actes, ils ne sont qu’une illusion de causalité de l’action. Ce qui se traduit chez Spinoza : « L’homme n’est pas un empire dans un empire », c’est à dire que l’homme n’est pas une monde à part dans le monde. (voir sujet de Bac « L’homme est-il une exception

à fait innocente , » écrit Racine. Cette phrase souligne parfaitement le caractère paradoxal et ambivalent de la responsabilité de l'homme face à ces désirs. En effet, l'homme, semble bien incapable de résister à ses désirs, il ne se sent pas responsable de cette sensation, qui le dépasse en tout point. Le désir est cette tension constante, qui le pousse sans cesse vers ce qu'il estime bon pour lui. L'objet du désir est quand à lui toujours issu d'un manque, il renvoie à un objet absent, qui peut

difficulté d'en définir le terme même, puisqu'elle touche à des domaines pour le moins différents : liberté d'agir, liberté de penser, "liberté d'expression" revendiquent certains, "nous voulons être libres" affirment les Résistants pour lesquels leurs actes ne sont dits dictés que par cette valeur qu'ils appellent "liberté". Le problème qui se pose ici est donc de savoir dans quelle mesure la liberté d'un homme est induite par sa conscience ? Puisque la conscience est accordée directement à l'être humain

Avant toute considération plus approfondie, il faut simplement rappeler que l’ignorance n’est rien de plus que l’absence de connaissance. Si on s’en tient là, on peut effectivement prétexter l’ignorance pour ne pas être jugé responsable des actes dont l’issue nous surprend, aussi dramatiques soient-ils. Par définition, on ne peut définir comme volontaires des conséquences dont on n’avait absolument aucune idée. Par exemple, en Mars 1977, sur l’aéroport de Ténérife, un Boeing 747 en plein décollage

d’être soi-même quand on a tous les droits. Problème : Cette question pose le problème suivant, soit on considère que nous sommes définis avant d’exister à la manière d’un objet et dans ce cas, il s’agit seulement d’être et d’actualiser une essence déjà donnée, soit on considère que c’est notre existence qui définit notre essence et cela sans guide, ni excuse, parce que nous sommes des sujets. Ou il ya une nature individuelle, ou simplement une condition individuelle. Essentialisme/substantialisme (

jeune fille qui se fait violer dans sa jeunesse peut changer son orientation sexuelle inconsciemment par contre chaque humain est totalement conscient de ce qu’il fait ce qui le rend responsable de ses actes. Deuxièmement, pour la liberté dans la conception chrétienne, il est vrai que nous sommes responsables de nos actes, car nous savons ce qui est bien et mal, puis il est vrai que l’église montre ce qui est bien et le mal, car elle nous enseigne les 7 péchés capitaux, c’est-à-dire, la luxure, la