Sommes Nous Responsables De Nos Actes

et ses actes. La sagesse se base aussi sur la connaissance et ce, qu'elle soit la connaissance de soi ou du monde. Cependant, le terme de sagesse a évolué avec le temps et avec la société. Nous associons maintenant la sagesse à l'ancienneté ainsi qu'à l'expérience de la vie même si elle conserve son objectif d'idéal. Il est d'autant plus difficile d'avoir pour objectif la sagesse car nous sommes tous les jours confrontés à nos désirs dans cette société de consommations. De plus, nous sommes dans

la conscience du monde. Pourtant cette identité apparente semble voler en éclats dans des situations où l'affectif domine et brise la prétention de la volonté à une autonomie. Je me sens alors étranger à moi-même, je ne me reconnais plus dans mes actes; j'ai le sentiment qu'un autre agit à ma place. Toutefois, même pris dans le tourbillon de l'affectif, je suis encore moi. Mon identité n'apparaît peut-être plus de manière flagrante mais cette manière de céder à l'affectif et à ses emportements est

jugement des valeurs de ses propres actes. Mais aussi une intuition plus ou moins claire qu’à l’esprit de ces états et actes. Socrate a dit « connaît-toi toi-même » La notion de la conscience ne peut que nous renvoyer à la notion de l’inconscience qui est un concept psychologique qui désigne l’activité psychique se déroulant hors de la sphère consciente dans l’esprit d’un individu. Nous sommes dans un pays libre, on a donc une liberté des actes mais certains actes sont réprimés par les lois. Cela nous

dépend de nous. Etymologiquement, le terme de « bonheur » vient du latin augarium, qui signifie, en français ancien, « heur », c’est-à-dire « bonne fortune », ou « chance ». A ce titre, le bonheur ne serait-il pas lié au hasard ? Sommes-nous, par conséquent, réellement responsables de notre propre bonheur, comme de notre propre malheur, si l’un et et l’autre dépendent du hasard, s’ils sont aléatoires ? Le hasard ne saurait cependant justifier intégralement la qualité d’une existence. Il semble que certains

[pic] • Est-on responsable de nos erreurs ? CHEGROUN KACI TERMINALE A PHILOSOPHIE | | | | | | |

troisième partie nous mettrons en relation le thème de la liberté avec le libre arbitre et le sujet. 
 De prime a bord il nous semble évident que chacun de nous pense et que par conséquent l’ensemble de nos pensées nous appartiennent et que nous en sommes l’auteur. ainsi, lorsque je pense, c’est moi meme qui réalise l’action et mes pensées, qui ne sont autres que les fruits de ce travail. J’interagie avec mes pensées et cela signifie qu’elles m’appartiennent. je les fais miennes car instinctivement

de se connaître et d’agir en pleine conscience de ses actes. D'où vient alors que parfois nous refusons de nous reconnaître dans ce que nous faisons et déclarons ne pas en être responsables ? Pour Alain, l'inconscient ne peut servir d'excuse ni de prétexte pour une quelconque déresponsabilisation. Il nous faut, en effet, admettre que la conscience est toujours capable de dédoublement et que nous pouvons toujours juger clairement de nos actes et donc être moraux. Le texte progresse en partant de

défaitistes, nous sommes tous tributaires d’un nombre considérable d’éléments extérieurs sur lesquels nous n’avons aucune prise et qui nous empêchent d’être heureux malgré notre enthousiasme. De plus, nous ne sommes pas maîtres de ce que nous sommes. La manière dont nous vivons les différentes situations bonnes ou mauvaises qui se présentent à nous, dépend beaucoup de notre caractère. Notre sensation de bonheur ou de malheur est liée à la façon dont nous vivons les évènements et nous ne sommes pas responsables

L'existentialisme : est un courant philosophique et littéraire du XXe siècle, qui sollicite que l'être humain est défini par ses propres actes. Jean-Paul Sartre l'explique par sa formule : "L'existence précède l'essence", ce qui signifie que l'Homme existe finalement par ses actions, dont il est pleinement responsable et qu’il a choisies. (L’homme et libre et responsable de ses actes) l'homme existe d'abord, il se rencontre, surgit dans le monde, et se définit après. L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se

que nous sommes dans un bateau chargé de marchandises ; une tempête commence, et à moins de jeter les marchandises par-dessus bord en vue d’alléger le bateau, celui-ci menace de couler. On est contraints de jeter les marchandises. Et on les jette. Cette action est volontaire ; pourtant peut-on dire qu’elle est libre ? De même pour un spectateur qui finira par s’interposer ; il se sent obligé d’intervenir et agit de façon volontaire. Est-il libre pour autant ? - Agir de façon responsable ? [liberté