Sommes Nous Responsables De Nos Actes

Sujet: Sommes nous maître de nous même? Ce sujet nous propose la possibilité que l'homme soit le dirigeant de son existence mais aussi de ses actes, ainsi que la possibilité qu'un autre facteur puisse le diriger. En effet l'homme contrôle ses paroles mais parfois il se trompe sur l'un des mots: lapsus. Être maître de soi signifie que l'homme a une connaissance de lui même ainsi qu'une connaissance de son existence mais aussi une liberté de ses actes c'est à dire d'agir librement en toute connaissance

première phrase est la thèse de l’auteur ou thèse implicite qu’il veut réfuter Thème du texte : la conscience, le sujet, le moi - On peut reprocher à ce texte : il semble ne pas accorder assez de place à ce qui est intime en nous, c’est comme si nous sommes formé que par le regard des autres - corrélativement : rapport de réciprocité assez évident : idée principale à défendre relation entre ce que les autres disent de moi (influence des autres sur moi) et ce que je pense de moi - l’idée du moi se forme

démontrer que la notion de moralité telle qu’elle est utilisée, ne veut rien dire, puisque chacun vise son propre bien et sa propre conservation. Y a-t-il un bien et un mal objectif qui en découle? Ce qui nous amène à nous demander ce qu’est le bien ? Ne sommes nous pas victime d’une illusion quand nous décidons que tel acte moral est bien ou mal. Pour Nietzsche la morale est subjective autant individuellement que culturellement. On pourra se demander si le bien est vraiment réductible a l’utile de notre

autre pour conduire ses pensées ou ses actes. Le mineur est hétéronome (contraire d'autonome) à partir du moment où c'est un autre que lui-même qui lui dicte sa manière de vivre. On ne naît pas autonome, cela nécessite un apprentissage au cours duquel j'apprends à penser par moi-même. Etre autonome suppose que j'ai conscience d'être l'acteur de mes actes et que mon acte correspond à mes intentions. Conséquence : je porte l'entière responsabilité de mes actes. Etre libre c'est être dirigé par soi-même

le déterminisme psychanalytique se cache en fait la possibilité de dédouaner les hommes de la responsabilité de leurs propres actes : si on affirme qu’il y a en nous des mobiles dont nous ne sommes pas conscients et qui nous amènent à effectuer certaines actions en dehors des décisions de notre volonté, alors on peut considérer que l’on n’est pas responsable de ces actes là. Dès lors, on peut voir dans la psychanalyse une théorie qui remet en question ce qui fait la spécificité de l’homme dans la

nous-même ? Après tout on sait qu’on est nous-même, faute de quoi on n’aurait pas poursuivi notre vie jusqu’ici. Mais qu’est-ce que c’est être soi-même ? Selon Leibniz, si le moi se réduisait à la conscience présente et passée, nous ne serions pas responsables des actes que nous avons oubliés et notre petite enfance ne ferait plus partie de notre identité. Il faut donc reconstituer la continuité du moi en y intégrant les témoignages des autres sur les épisodes oubliés de notre existence. Soi-même renvoie

guide nos actions, quel que soit le contexte géographique et culturel. Elle est portée par l’ensemble du management de l’entreprise. Elle garantit à nos parties prenantes que nos actions sont conformes à nos engagements d’assurer une croissance responsable et durable. Chaque collaborateur du Groupe France Télécom est pleinement et durablement impliqué dans cette démarche. D. Lombard Président Directeur Général nos valeurs cinq valeurs guident nos comportements audace Nous osons penser et

Dissertation : Sujet : Suis – je responsable de mon bonheur ? La responsabilité est le devoir de répondre de ses actes en toutes circonstances et conséquences comprises, c’est-à-dire d’assumer ce que l’on fait, et par la suite voire la sanction lorsque le résultat n’est pas celui qu’on aurait voulu celui ci pouvant nous amener par la suite au malheur. Chaque homme à le droit de mettre en œuvre son bonheur mais tout d’abord le bonheur est un état durable, agréable de satisfaction dont la souffrance

regretter. Ce n’est pas parce que ce sont des besoins, qu’ils sont obligatoirement bons pour nous. De plus, nos idées, nos pensées et nos émotions ne sont pas des objets matériels observables et donc, ils font parti de notre côté émotif que nous sommes les seuls à posséder. Également, l’homme a pour qualité la perfectibilité. Il lui est possible de constamment s’améliorer et c’est ce qu’il tente de faire. Si nous n’étions pas perfectible, comment se fait-il que nous soyons si avancés dans la technologie

pourquoi il est totalement maître de ses actes. Habituellement la liberté est la capacité d’agir sans contrainte, ou encore comme la possibilité d’effectuer des choix sans y être obligé ni forcé. C'est à dire que la liberté serait définie selon les philosophes comme le « libre arbitre » , c’est-à-dire la capacité de se déterminer par soi-même, spontanément et volontairement . Ainsi l'homme libre sait ce qu'il fait et peut donc être tenu pour responsable de ses actes. Etre libre, c’est aussi le pouvoir