Sommes Nous Responsables De Nos Actes

est construit sur le même modèle de l’espèce humain, mais pourtant il est unique, particulier. Parce que mon corps n’est pas séparable en plusieurs parties sans que l’on me tue, il envoie à l’homme un sentiment de continuité et d’individualité. Nous sommes donc autonomes, notre corps fonctionne de manière interne en incluant toute les pulsions vitales à l’homme (se nourrir par exemple). Donc cette unité biologique induit une image du corps qui forme un tout et est donc à la base de toute conscience

temps ». Dans notre société  où la connaissance des choses est primordiale, « est-il possible de ne pas savoir ce que l’on fait ? » Que signifie « savoir ce que l’on fait » ? Ne sommes nous pas des êtres conscients ? Nos actions sont-elles toujours réfléchies ? Suffit-il d’être conscient de ces actes pour en être responsables ? Nous devrons nous demander dans un premier temps si l’homme à le contrôle de lui-même ? Et dans un deuxième temps si nous avons le droit par rapport aux autres, si nous avons

nous-mêmes, de nos faits et gestes, l’homme est gouverneur de son corps ainsi de son existence, lorsque l’homme se reconnait en tant qu’auteur de son existence il se sent directement libre, maître de ses actes et de ses pensées. C’est donc par sa conscience que l’homme est responsable de ses actes et de ses pensées. Par exemple, le fait de décider d’aller boire de l’eau, de sortir… nous procure une certaine liberté.Dans une première partie, nous avons vu que la liberté signifie l’absence de contrainte

l‘accomplissement d‘une tâche ? L’intention donne t elle une valeur morale à l’action ? Nous pouvons également poser le problème de la responsabilité. Sommes-nous responsable des conséquences de notre action alors qu’elles n’étaient pas souhaitées ? Les conséquences de ce que l’on fait excèdent toujours nos intentions initiales. Donc est-on responsables des conséquences auxquelles on ne s’attendait pas ? Nous verrons que l’intention dépend de la conscience morale car c’est elle qui guide nos action

dommage). La victime doit prouver qu’elle a un dommage en lien avec la faute causée par autrui. Après cette preuve, elle doit faire une réclamation. Elle ne doit rien avoir à sa charge et être entièrement indemnisée. Article 1383 : «  Chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait mais encore par sa négligence ou par son imprudence. » Du fait de notre vie privée, notre responsabilité peut être engagée, on peut par imprudence ou par négligence causer un dommage à autrui

Introduction: Pourquoi certains savent vivre seul et d'autres ont besoin d'un groupe d' "amis" pour cela? Pourquoi avons nous ce besoin de s'identifier à un groupe? A quel point nous laissons-nous influencer? Qu'est ce que le conformisme et en sommes-nous soumis? Sommes-nous conscient d'être soumis à différentes autorités? Où je me situes, moi, en tant qu'être individuel, dans mon identité personnelle? Tels ont été mes questionnements suite au module "La personne et le groupe dans la société." Je ne

existe deux sortes de moi : celui ontologique, c’est-à-dire, un être immuable et non passager auquel chaque sujet rapporterait ses états, ses actes mais qui existerait indépendamment de ces-derniers, c’est ce que Descartes appelle la « chose pensante » ; et celui psychologique, soit, une conscience complexe, mouvante que j’ai de moi dans mes pensées ou dans mes actes. Le moi désigne l’objet auquel pense le sujet qui se pense lui-même, l’objet du « je » qui se pense. Nous possédons une expérience constante

multitude d’expériences qui lui arrivent mais aussi de son identité qu’importe ses changements. On a également le Je sujet moral c'est-à-dire la mesure dans laquelle l’Homme est conscience de soi et donc sujet moral. Il faut pour cela qu’il soit responsable de ses actes et donc qu’il puisse se représenter lui-même comme un sujet unique et permanent. Cette unité de la personne humaine résultant de la conscience de soi, explique que Kant puisse affirmer de l’homme qu’il est : « un être entièrement différent

Depuis Aubry et Rau, nous sommes habitués à reconnaitre à chaque personne un patrimoine composé d’un actif et d’un passif ; et inversement, nous devons rattacher tout patrimoine à une personne. Pour maintenir la cohérence et l’efficacité de notre système juridique, le juge puis le législateur ont été conduits à consacrer la personnalité morale des sociétés, car autrement, comment expliquer le fait que l’entreprise puisse avoir un patrimoine propre, distinct de ceux des membres qui la compose ? Malgré

condition ou obstacle à la connaissance de soi ? Objet : c’est un être soumis ç un déterminisme physique, biologique et sociologique (Durkheim : le suicide) En philosophie, on considère l’homme comme un sujet. On est conscient de ses pensées et de ses actes : on est maître de soi-même, libre. La philosophie cherche à comprendre l’homme et non à l’expliquer. Mœurs : opinion : comme si indubitable (absolument vrai) vérité : moindre doute, trompant quelquefois : comme si absolument faux. Doute hyperbolique