Sommes Nous Responsables De Nos Désirs

troisième partie nous mettrons en relation le thème de la liberté avec le libre arbitre et le sujet. 
 De prime a bord il nous semble évident que chacun de nous pense et que par conséquent l’ensemble de nos pensées nous appartiennent et que nous en sommes l’auteur. ainsi, lorsque je pense, c’est moi meme qui réalise l’action et mes pensées, qui ne sont autres que les fruits de ce travail. J’interagie avec mes pensées et cela signifie qu’elles m’appartiennent. je les fais miennes car instinctivement

matin jusqu'à ce qu’il veut faire de sa vie. Toute chose dans la vie commence par un choix. L’homme est-il responsable de ses actes et ses choix ou est-il influencer par d’autres facteurs. Est-ce qu’il est le seul créateur de sa vie. Deux philosophes étudies le sujet dont Jean-Paul Sartre qui dit que l’homme est libre de faire c’est choix et Sigmund Freud qui dit qu’il refoule ses désirs et est contrôler par deux personnalités le moi et le surmoi alors chacun d’eux ont leur théorie sur le sujet

Une personne est responsable (du latin respondere, répondre) lorsqu'elle a la capacité de répondre de ses actes et d'en être garant, mais aussi d'en assumer les conséquences. La notion de responsabilité est directement liée à celle de conscience, notamment morale, puisque c'est grâce à celle-ci que nous sommes aptes à prendre une décision, et par conséquent à en assumer les événements qui en découlent. On peut également noter que l'on n'est pas toujours seulement responsable des ses actes, mais

réaliser une volonté grâce à l'intention. Elle résulte d'un choix. L'homme agit en vue d'une fin. La fin ultime de l'action est la satisfaction des désirs de celui qui agit. (Je cite le sujet mot pour mot:) Mais à quelles conditions puis-je dire d'une action qu'elle est la mienne? (Je définis les autres termes du sujet:) Par mienne, on comprendra responsable. Il faut pour cela se pencher sur les différentes formes qu'une action peut prendre. Nous nous demanderons donc si nous pouvons

se sentir libre pour être libre ? Être libre, es ce ne rencontrer aucun obstacle ? Obs propose une définition non rationnelle et matérialiste de la liberté. C'est une délibération non rationnelle au sens où elle repose sur nos appétits, nos désirs. Est libre le désir qui s'impose en dernier lieu. Pour Obs, le choix c'est le désir qui s'impose en dernier lieu. Conséquence → la liberté consiste quant à nos désir, a ne pas être empêcher par quelque chose. Le dernier désir en acte est ce qu'il

veut », faire ce que bon nous semble, ce qu’il nous plaît ou encore le fait d’assouvir ses désirs sans contraintes. Cependant, être libre, c'est aussi pouvoir se déterminer par soi-même sans subir de contraintes, avoir le choix, faire usage de son libre arbitre. Nous nous poserons donc la question suivante : Le fait d’être un homme libre, c'est pouvoir faire des choix rationnels ou être esclave de ses désirs ? En d’autres termes, être libre, est-ce faire ce que l’on veut ? Dans un premier temps, nous

Suis-je responsable de ce dont je n’ai pas conscience ? Introduction : La notion de responsabilité semble être très importante pour la vie en société. En effet, lorsqu’un incident se produit, la plupart des gens cherchent avant tout à savoir qui est le responsable. Il est parfois difficile de répondre à cette question dans la mesure où l’homme peut-avoir commis un acte sous l’influence de la colère, de la drogue, de l’alcool etc... Ce problème nous amène à nous poser la question suivante :

Disserte : Faut-il changer ses désirs plutôt que l'ordre du monde ? >> 1° partie : les raisons de changer ses désirs >> 2° partie : est-ce que c'est de l'ordre de la soumission / idée de maîtrise INTRO Le fait de vouloir changer ses désirs impliquent des raisons et des facteurs qui ont fait qu'on souhaite prendre cette décision. Il s'agit de se demander s'il vaut mieux changer une part de nos envies ainsi

esclavage, puisque rien n’empêche un individu de décider de priver tous les autres de leur liberté, si tel est son désir et s’il a la capacité d’y parvenir. « Faire tout ce que l’on veut » pourrait alors s’entendre comme le fait de satisfaire ses moindres désirs ; sans distinction et sans considération de l’autre, ce qui pourrait faire de certains les esclaves des autres, et nous rendre captifs de nos propres penchants naturels. Il paraîtrait alors plus pertinent de retenir la définition de liberté comme

attendent un coup de chance. Pourrions-nous dès lors en déduire que la satisfaction de nos désirs n’est que résultat de notre motivation, sans aucune incidence d'autres facteurs? Cette question mérite d’être débattue. Quelle que soit notre bonne volonté, notre vie est jalonnée de joies et peines et nous ne pouvons échapper à notre destin. Que nous soyons, fatalistes ou battants, optimistes ou défaitistes, nous sommes tous tributaires d’un nombre considérable d’éléments extérieurs sur lesquels nous n’avons