Sommes Nous Toujours Libres De Nos Choix

- PLANCHE- bm Le déterminisme génétique et la liberté de choix Est-ce que nous sommes libres de choisir ou de créer notre comportement (ce qui suppose un libre arbitre) ? Ou est-ce que nos comportements sont dictés par les lois de la nature (c’est le déterminisme) ? Tous les êtres vivants possèdent de l’ADN, c’est le support de l’information génétique qui différencie chaque humain. L’homme n’est d’abord rien. Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait. Ou tel que la

pouvons penser que le mal existera toujours, qu'il s'agit d'une réalité humaine. Il y aura obligatoirement des individus qui menaceront la vie des autres ou l'équilibre de la société. Dans ce cas la il est préférables d’appliquer des lois pour énoncer les règles communes et ce qu'encourent ceux qui les violent. De plus, les lois sont obligatoires. Elles doivent être respecter puisqu'elles sont crées dans la perspectives d'être juste. A première vu il faut donc toujours obéir à la loi. Mais alors, que

....................................................... 6 Liberté et contrainte .................................................................... 7 Liberté et société.......................................................................... 8 Choix et liberté .......................................................................... 10 La liberté comme libération ...................................................... 12 Liberté et déterminisme ................................................

bon nous semble, nous prenons de bonnes décisions, des fois de mauvaises, nous faisons des choix qui plaisent à certains et souvent ne plaisent pas à d’autre. Des gens deviennent criminels, se retrouvent en prison, d’autres respectent les lois à la lettre. Les humains se croient libres, tout au long de notre vie, on nous répète sans cesse que nous somme libre et que nous sommes maître de nos choix. Sommes-nous vraiment libre? On nous impose des lois, des barèmes à suivre, si nous ne suivons pas ces

variés. Ils nous interpellent tous encore de nos jours, en particulier nous les fidèles appartenant aux religions fondées sur le monothéisme biblique.Ce soir, à travers les textes que je serai amené à citer, je serai nécessairement obligé de faire des choix. Je m’en tiendrai pour l’essentiel à ceux faisant partie du canon biblique selon la tradition juive. Ils seront complétés par des citations provenant de la tradition orale, Michna, Talmud ou auteurs juifs. Le thème général proposé pour ce cycle de

ses agissements. De plus, tant que nous sommes conscients, nous sommes libres et responsables. Qualifier une personne d’inconsciente c’est lui ôter sa liberté. Etre humain c’est vivre consciemment chacun de ses choix et des ses actes, donc injurier quelqu’un d’inconscient c’est le résumer à être un animal. Le philosophe Kant a dit « La conscience élève l’homme au dessus de tous les autres êtres » cela veut bien dire que sans conscience, nous ne sommes rien d’autre que des animaux dans une jungle

que je pouvais toujours m'y soustraire, par le suicide ou la désertion : ces possibles ultimes sont ceux qui doivent toujours nous être présents lorsqu'il s'agit d'envisager une situation. Faute de m'y être soustrait, je l'ai choisie ; ce peut être par veulerie, par lâcheté devant l'opinion publique, parce que je préfère certaines valeurs à celle du refus même de faire la guerre (l'estime de mes proches, l'honneur de la famille, etc.). De toute façon, il s'agit d'un choix. Ce choix sera réitéré par

ou le sot sont plus libres que le sage – ou si au contraire ma liberté culmine dans la lucidité et l'obéissance à la raison... 2. La liberté de vouloir Outre la liberté de penser, il y a la liberté de vouloir. Le stoïciens disent ainsi que ma liberté fondamentale réside en mon esprit : je suis libre de vouloir telle ou telle chose, d'accorder de la valeur à telle ou telle chose. Or toute action découle de ma volonté. Par conséquent mon action est, elle aussi, toujours parfaitement libre :

« Soyez donc résolus à ne plus servir et vous serez libres ». Telle était la vision d’Etienne de la Boétie dans le Discours de la Servitude Volontaire. Cet ouvrage publié en 1549 a pour but d’analyser le lien entre des esclaves et leur tyran. Pour cet auteur, si l’on ne veut plus être soumis à quelqu’un, il suffit d’en avoir la volonté. Il est inconcevable qu’un peuple se laisse dominer et cela parait tellement improbable, que pour La Boétie, c’est un choix. Si l’on considère que les lois sont des règles

être le désir pour que se pose la question de notre responsabilité ? Etre responsable, c'est pouvoir répondre de ce que l'on fait ou de ce que l'on dit. En ce qui concerne nos désirs, nous pourrions être amenés à penser qu'ils ne relèvent d'aucun choix de notre part. Je ne décide pas de désirer telle ou telle chose ou telle ou telle personne. Dans ces conditions comment en être responsable ? En effet, on pourrait penser qu’on est responsable de ce qu’on contrôle, de ce qu’on peut maîtriser, de ce