Sortie Du Fordisme

étaient autrefois fermés. La fin du fordisme La troisième révolution industrielle qui se déroule aujourd’hui montre la fin du fordisme, c’est-à-dire à la fin de ce modèle basé sur la hausse des salaires et la productivité. Ce contrat social a permis un enrichissement de la classe ouvrière dont les salaires ont suivi l’augmentation de la production. Ce changement peut être la recomposition de l’idée de travail tout comme l’avait été le passage au fordisme ou alors le début d’une exclusion pour

surproduire, plus on va créer de chômage. Si chô, pas de D → entreprises baissent On est dans un système qui socialise les pertes et qui privatise les bénéfices; Effet boomerang du système, d'où régulation. 4. Crise de la consommation de masse, du fordisme et du keynésianisme Consommation de masse = démocratisation de la consommation. A partir du moment où les revenus augmentent, les consommateurs vont diversifier leur consommation. FOURASTIÉ « 30G » évolution de la consommation depuis XIX. Au

ouvriers Les conditions de travail du monde ouvrier sont particulièrement difficiles. La durée quotidienne de travail dépasse 10 heures, sans jour de congés payés ni de repos hebdomadaires, pour un travail dangereux et éprouvant. L’apparition du fordisme qui organise le travail à la chaîne rend le travail abrutissant et répétitif. De plus, les salaires sont misérables et permettent à peine de survivre : les 3/4 du salaire sont ainsi consacrés à la nourriture, pour une famille où même les enfants

par les autorités européennes lors de l’Union Monétaire. Le capitalisme français connaît actuellement un bouleversement sans précédent (comme pour beaucoup d’autres pays industrialisés). A partir des années 1970 on observe un essoufflement du fordisme avec un ralentissement de la croissance et une montée de l’inflation. On observe une baisse de la productivité et une forte déstabilisation monétaire internationale (passage à un régime de change flexible). Une séparation va s’effectuer alors entre

qualifié de posttaylorien. La réponse se limite le plus souvent à reconnaître l’évidence de cette nouvelle The way by which the concept of client has been put to the fore raises the question to know if we are living the end of the taylorism and the fordism or if we live the emergence of a new organizing model qualified as « post-taylorist ». The answer is mostly limited to the evidence of transversalities in new organizations as a sufficient proof. configuration organisationnnelle sur la base de

Standardisation des méthodes. Production de masse. Taylorisme « organisation scientifique de travail → meilleure rentabilité) = étude des processus, réduction temps de trav (étude gestes inutiles) Réorganisation du travail → prod + intenses Fordisme : application éléments Taylorisme. Ligne de montage, Instauration trav à la chaîne (limiter déplacements ouvriers – pertes de temps + amélioration conditions de trav) utilisation de pièces identiques (=interchangeables) → F importé en fr par Citroën

voyages. Deux facteurs vont contribuer à son développement : le revêtement progressif des routes en ville puis en campagne afin de faciliter l'usage des bicyclettes et des voitures, et le développement de nouvelles méthodes de production (taylorisme, fordisme), qui mènent à la première voiture de grande série, la Ford T. Celle-ci pose définitivement l'empreinte de l'automobile sur la société duxxe siècle. Les innovations se succèdent ensuite, mais sans changement fondamental conceptuel. Les grandes lignes

deux types de croissance : la croissance extensive résultant de la hausse des moyens de production et la croissance intensive qui est due à la hausse de la productivité des facteurs. On peut observer cette corrélation dans les faits avec l'apogée du Fordisme pendant les Trente Glorieuses où la productivité du travail étant plus importante, on a pu dégager des gains de productivité et donc augmenter la production, la consommation et la croissance économique. La productivité du travail ne suffit pas

l’économie américaine est en pleine expansion : elle est boostée par les spéculations boursières (comportements risqués anticipant les futures valeurs des actions afin de dégager la plus grande plus-value) et les gains de productivité réalisés grâce au fordisme qui projettent les États-Unis dans la consommation et la production de masse. Le marché financier est le lieu d’échange des capitaux (actions et obligations) à long terme. L’économie mondiale se retrouve plongée dans une crise durable de surproduction

Ainsi ces trois perspectives complémentaires situent l’étude de la famille dans une perspective dynamique. L’idéal type de la famille
 • La famille est une cellule de base dans ses fondements. (construit a partir de l’aire conditionnel, ils sont sortie de l’Église. Ils ont été le fondement de la famille moderne et postmoderne et a évoluer avec le temps)
 • Elle est une structure hiérarchisée (Père est le chef de famille et qui gère le patrimoine, ensuite c’est le fils, il reprend le statut du père