Souffle

gorge, poitrine, ventre) ; notions de respiration active, respiration passive. Notions de colonne d’air, d’instrument à corde. Chercher son diaphragme ; exercice du « Kss kss kss ». Ouverture maximale du larynx : bailler, émettre un son sur les souffle sans forcer, doucement. Notions de résonateurs : faire vibrer ses différents résonateurs, s’aider pour cela de ses mains : - tête (front avec note aiguë, la « voix de tête » avec un son « mmmm ») - nez (son nasal « nnn » et gu-gu-gu »

massétérin n’a pu être effectué. Les cutanés plantaires demeurent en flexion. Du point de vue cardiovasculaire, nous n’avons pu mettre en évidence que les carotides étaient isopulsatiles sans souffles. Il n’y avait pas de souffles sus-pubiens claviculaires et le cœur montrait un rythme cardiaque régulier sans souffle. Toutefois l’artère temporale gauche semblait diminuer mais les artères radiales étaient grossièrement symétriques. Impression clinique : Démence d’Alzheimer possible à probable mais

Androgyne Elle avait ses doigts posés atour de ma nuque. Je sentais un léger souffle chaud s’échapper de ses fines lèvres et caresser agréablement mon cou. Je laissais mes mains parcourir les courbes de son corps tandis que j’inhalais son doux parfum envoûtant. Tout doucement, elle se laissa choir en arrière en m’entrainant dans sa lente chute vers des draps blancs encore immaculés. Nous nous échangeâmes un regard, je me laissais perdre dans ses iris bleutés tandis que ses doigts déboutonnaient

de queue pointue et aiguisée telle une lame prête pour être utilisée à la bataille, ses ailes resplendissaient, de couleur bleue ciel. Donlaegos, aidé par ses frères, encore présents dans la zone, réussit à terrasser le drake rouge, en quelques souffles. Il n'eut pas le temps de retourner à sa méditation qu'un dragon cria aux groupe de le suivre, afin de mener l'assaut. Il s'écria d'une voix bien grave et caverneuse. "Suivez-moi mes frères, nous allons venger la mort de notre père ! Malygos

qu’il nous est impossible de percevoir l’univers dans sa globalité.  Tout d’abord quelques notions globales:  Selon les stoïciens, un souffle, pneuma, anime tout corps animé ou inanimé. La  tension de ce souffle retient les parties de ces corps, les divers degrés de cette  tension expliquent la dureté du fer, la solidité de la pierre. L’univers, le monde  est donc aussi un vivant dont l’âme ou le souffle répandu à travers lui retient ses  parties.  Seuls les corps existent car ce qui existe est capable d’agir et de pâtir

soufflage**, la découverte de la canne du verrier (tige creuse en métal pour souffler le verre). Attribuée au Phéniciens, elle a permis de fabriquer des objets en verre plus facilement, rapidement et à moindre prix. *Le verre moulé : il s’agissait d’objets moulés, l’artisan déposant la matière vitreuse dans un noyau d’argile et de sable puis après séchage le noyau se rétracte et peut être enlevé facilement. **Le verre soufflé : cette technique qui évolua peu jusqu’au XVIIIe siècle consiste à recueillir

inspirant, il redescend, on souffle (pareil avec l’autre bras). Les deux genoux viennent toucher la poitrine tout en inspirant, on les repose en soufflant, puis on prend les genoux avec ses mains et on fait la bascule le dos rond d’avant en arrière. On inspire on souffle… mais rien n’y fait ! « La tortue se change alors en étoile de mer pour rejoindre l’eau ! ». De nouveau allongé, les bras le long du corps, l’étoile écarte doucement ses jambes en inspirant, puis elle souffle en les rapprochant. Pareil

lui, se pencha au-dessus d’elle, pour poser son oreille sur la poitrine de Jeanne. Il avait effleuré de la joue son épaule nue, et en écoutant le cœur de l’enfant, il aurait pu entendre battre le cœur de la mère. Quand il se releva, son souffle rencontra le souffle d’Hélène. » ( Page 17 Ligne 21 à 26 ) « Le docteur, qui ne l’avait point encore regardée, leva les yeux, et ne put s’empêcher de sourire, tant il la trouvait saine et forte. Elle sourit aussi, de son bon sourire tranquille. Sa belle

elle est si belle! » – Enrôlé dans les vignes épineuses de l'amour, son obsession est palpable, il est déroutant au plus haut point. J'en ai le cœur haut. Un château de cartes : il construit en oubliant les fortifications de pierre. Un simple souffle, un minuscule choc pour que tout s'écroule. « 1 aout, Élyse n'arrête pas de se réveiller la nuit, en sueurs et en cris, comme si les démons étaient au seuil de la porte. Cela fait quelques jours qu'elle croit que nous sommes épiés

s’imprimaient tes dents, Et la grotte, fatale aux hôtes imprudents, Où du dragon vaincu dort l’antique semence ?… Ils reviendront, ces dieux que tu pleures toujours ! Le temps va ramener l’ordre des anciens jours ; La terre a tressailli d’un souffle prophétique… Cependant la sibylle au visage latin Est endormie encor sous l’arc de Constantin - Et rien n’a dérangé le sévère portique. Introduction Le poème Delfica s’inscrit dans un décor gréco-romain qui semble appartenir