Souffrance

tout ce qui irrite plaît à l’infecte gale des corps, je ne dirais pas autrement que la souffrance et la peine ne sont un plaisir pour ces âmes dans lesquelles les passions ont bourgeonné comme de mauvais ulcères. Sunt enim quaedam quae corpus quoque nostrum cum quodam dolore delectent, ut versare se et mutare nondum fessum latus et alio atque alio positu ventilari. => Il y a en effet certaines souffrances qui charment aussi notre corps avec la douleur comme se tourner et son côté non encore

avec la satisfaction cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin ; sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. Or c'est une entreprise difficile d'obtenir, de conquérir un bien quelconque ; pas

qui vit sans travailler, sans activité permanente. Séraphins (147) : esprit céleste, ange. Axe de lecture : la solitude et la souffrance du poète Après la lecture des deux premières strophes, on voit directement que le poète semble triste et seul. Au contraire la muse paraît gaie. En effet, Malgré qu’elle ne soit pas la seule, la solitude est sa principale souffrance. Elle est si oppressante que le poète va même jusqu'à avoir des hallucinations, on peut en relever au vers 8 et 9 « J'ai cru qu'une

ainsi que l’ouie dans le vers 26 : « Ne frappe t-on pas à ma porte » et vers 30 : « Qui vient ? Qui m’appelle ? -Personne » expriment la solitude. Il y a aussi différentes souffrances qui marquent la solitude, la souffrance physique qui nous est montré au vers 30 : « tout mon corps frissonne » et aussi une souffrance morale que l’on voit grâce aux exclamatives de la douleur au vers 33 : « Ô solitude ! Ô pauvreté ! » . On voit aussi au vers 9 : « Flottait là-bas sur la forêt » et au vers 12

juste apres la mort de jean-Baptiste -aucune source biblique => En quoi Apollinaire peint-il ici un aspect inédit du mythe de Salomé en la representant sous les traits d'une femme amoureuse, en détresse, sombrant dans la folie? la souffrance amoureuse de Salomé A)le desespoir de salomé apres la mort de Jean-Baptiste -existende du prophete remis au passé (imparfait / passé-simple / passé-composé) -au début: Priere de Salomé "pour que sourie" (> proposition circontanciele de but +

moderne nous ont fourni des expériences sentimentales où les personnages désirent aimer et être aimés. On citera à cet égard la citation suivante : « plus que l’amour heureux, c’est l’amour malheureux qui inspire les artistes et les écrivains ». La souffrance causée par un amour malheureux est-elle donc la principale source d’inspiration et de création artistique ? Il est vrai que les expériences amoureuses tristes et décevantes inspirent les artistes et les grands écrivains. En effet, les plus beaux

combats, dans lesquels on trouvera des hyperboles, des phrases longues et complexes et de nombreuses références à l'antiquité. Le registre pathétique (du grec ancien: pathos, qui signifie souffrance) exprime une situation vécue comme douloureuse. On y retrouve les champs lexicaux de la douleur, de la souffrance. L'auteur qui utilise ce registre cherche à provoquer chez le lecteur de la compassion et de l'émotion. Le registre tragique est un registre qui apparaît dans la tragédie (genre théâtral)

pour avoir été coupable d'avoir soutenu les crimes, avec le renforcement par l'anaphore de « que »). On remarque le champ lexicale de la guerre, du combat (« ennemi », « soldats », « vainqueurs », « généraux », « cadavres »...) ; de la souffrance (« souffrance », « tressailles », « saigne », « douleur », « tortures »...) ; des armes (« couteau », « sabre », « feu », « guillotine », « hache »...). Ces champs lexicaux sont ceux du champ lexical de l'épopée. La succession d'allégories (« l'Idée »

sentencieusement Hamm : « Loin tu serais mort. […] Loin de moi, c’est la mort ». 2°) … occupé par des êtres en souffrance … - souffrance physique : les quatre pers. ont des handicaps (rappel rapide), st marqués par la dégradation (Nagg vient de perdre sa dernière dent ; Hamm constate « […]mais nous changeons ! Nous perdons nos cheveux, nos dents ! Notre fraîcheur ! ») - souffrance morale : difficulté à communiquer, rapports sado-masochistes entre Hamm et Clov : « HAMM (outré).- Je ne t’ai

volonté et le courage de Pauline sont très vite freinés par divers intervenants. Tout d'abord par son mari, qui craint que la souffrance qu'il endure ne freine l'ambition de sa femme de mettre fin à ses jours: « il craignit que ses souffrances n'abattissent le courage de sa femme ». La vue de la mort pourrait donc être un premier obstacle aux décisions prises par Pauline, la souffrance que son mari traverse et dont elle est spectatrice pourrait entraver ses ambitions. Mais ce qui la freinera réellement