Souffrances Morales Des Poilus

commentaire : Acte IV, scène 14 - Caligula Dédoublement du personnage Personne qui se dédouble et qui s'adresse à son reflet Le reflet est le signe de son échec Thèmes récurrents du monologue Thème de la culpabilité Thème de la souffrance du personnage Incohérence du discours : thème de la folie Signification philosophique Extrait du commentaire composé Cette scène est le dénouement de la pièce Caligula. Il tente de se substituer’se mettre a la place au destin en tuant

structuration entre l’enfer, le purgatoire et le paradis. L’école fait une consommation considérable de ces images pieuses. J’évoquais le planisphère, mais on pourrait multiplier les exemples pour constater que l’image est souvent utilisée à l’édification morale (les bons points). [pic] [pic] [pic] Les images ont un pouvoir important qui sont de trois grands types : le pouvoir d’enveloppement, le pouvoir de transformation et le pouvoir de confusion. Le pouvoir d’enveloppement

considérée comme une ‘ville-martyre’. [pic] C’est ainsi que les soldats ont été traumatisé  par la violence des combats, notamment les bombardements dans les tranchées. Ces hommes sont confrontés à la saleté, à la fatigue, à la boue, à la souffrance morale, à la mort : ils sont presque coupés du monde. Le long du front, les destructions matérielles sont considérables. 10 III PARTIE RECHERCHE PERSONNELLE Les conséquences [pic] 11 Les conséquences de la guerre sont beaucoup de

l’ordre militaire qui motive les combattants. En effet les mutineries de l’année 1917 ne sont pas des représailles pacifistes mais une manifestation contre les attaques inutiles et très meurtrières. (Offensive du Chemin des Dames, Avril 1917, 40 mille poilus se mutilent, sur les 629 condamnés à mort, 75 sont exécutés pour l’exemple, Nivelle est remplacé par Pétain) B- Verdun, une bataille d’une violence inédite VERDUN, UNE BATAILLE D’UNE VIOLENCE INEDITE Doc. 1 : Les lieux de la bataille

espagnol massacré, opprimé et terrifié. Les femmes représentées hurlent leur douleur et leur terreur. -Celle de droite implore le ciel, au milieu des flammes, les bras tendus en l’air et la bouche grande ouverte pour exprimer sa souffrance -Celle de gauche tient son enfant mort dans les bras, enfant symbole de l’innocence massacrée .Ses yeux sont en forme de larmes ; son cou tendu, sa bouche ouverte et sa langue pointue traduisent la douleur et l’horreur de toutes

Pourquoi une exposition sur les monuments aux morts ? Les monuments aux morts de la Grande Guerre constituent aujourd’hui un élément banal dans le paysage urbain de la France. L’éloignement chronologique de la Guerre, la disparition des derniers « poilus » expliquent sans doute la banalisation de ces monuments auxquels nous ne prêtons plus aucun regard, tout en sachant qu’ils font partie de notre cadre quotidien. La faible originalité de la plupart des monuments aux morts (dans la Corrèze comme ailleurs)

forme d’un divertissement. La représentation est longue, elle peut durer de 6 à 25 jours sur la place publique. Une centaine d’acteurs sont nécessaires, sans compter les figurants. Le mystère traite de la vie des saints. Des diables cornus, griffus, poilus, qui entraînent les méchants dans la gueule de l’enfer, effraient les spectateurs. Ils détendent aussi l’atmosphère par leurs pitreries. Le souci de réalisme n’est pas sans danger. En 1548, un arrêt du parlement de Paris fait interdire les mystères

mortification, comme macération aussi d'ailleurs, implique une souffrance physique que l'on s'impose dans une intention spirituelle ou morale. A la place de La mort amoureuse des roses offerte à Lou, les nouveaux lecteurs se trouvent donc devant un dernier vers Mortification des roses dont les résonances sont spirituelles, religieuses. Ils comprennent que si la mortification de la chair mène au salut de l'âme, les souffrances de l'armée doivent mener au salut, à la renaissance de la France

milions de mobilisés; 1,4 milions de morts. -“gueulees cassées”: soldats qui ont survécus avec des blessures “attroce” (ex: livre “chambres des officiers”: réparer les visages détruits) -conditions de vie qui usent les corps, déchicté Paroles de poilus: lettres et carnets du front 1914-1918: racontent les conditions de vies dans lesquels ils vivaient: rats, poux, vermines, froid, nourriture, boue → L’hiver est froid et rude dans le nord de la France. Ils ne peuvent pas se laver → Boue → Nourriture:

Tenues → à partir de 1915, les soldats français sont désormais vêtus de la fameuse tenue « bleu horizon » et équipés d’un casque → mieux protégés qu’en 1914. • L’encadrement militaire tolère que les soldats ne soient pas rasés, d’où le surnom de « poilus ». • Vie quotidienne organisée dans ce contexte de tranchées : Corvées de soupe, de jus (café), de Pinard… Circulation de brancardiers… • C’est tout un univers qui apparait ici, bien différent de celui des casernes et des combats classiques → la