Sourire

galere comme un reverbere, on a tous la rage mais trop de choses la contienne, nos espoirs sont des détritus et notre mélancolie joue les concierges, jai trop levé la tete o ciel, attendre un signe jusko point de bruler mes rétines au soleil, keske le sourire de ma mere a coté de l'oseille ? Jprendrai soin de mes proches juska la fin juska mon dernier sommeil .. R :

n’est qu’un concept oublié si tant est qu’il ait un jour existé voilà le thème de la pièce de Courteline, Amour noir. J'ai trouvé que cette pièce comportait de nombreuses qualités. En effet cette representation est rempli d'humour, et m'a laissé un sourire sur le coin des lèvre durant l'intergralité de celle-ci. Courteline a eu le génie de «dépeindre les mœurs en riant», d'épingler le ridicule et les mesquineries de personnages qui nous sont étrangement familiers, Pour le moins caricaturaux, ils dépassent

un lieu où l’onexprime de nombreux sentiments. Les spectateurs rient, amusés devant une situation où un personnage de la pièce. Il existe différents moyens du registre : comique de situation, de geste, de mot et decaractère. Ceux-ci déclenchent un sourire sur le visage du spectateur. Prenons pour exemple, Louis de Funès un acteur qui nous fait rire avec ses gesticulations très amusantes. Au théâtre, le metteur enscène cherche lus ou moins, selon son envie et selon la pièce, à mettre en avant le registre

desderniers, rédiger durant son exile, est L’homme qui rit. Il engage le lecteur à une réflexion sur un monstre : Gwynplaine. Gwynplaine est le fils d’un Lord dans l’Angleterre du XIIème siècle, il estenlevé par des brigands et est défiguré : il a un sourire permanent taillé au couteau. A l’aide de l’extrait à étudier nous allons chercher quel sont les conséquences que provoque le rire communicatifsur Gwynplaine ? Le rire est tout d’abord inéluctable pour le public mais aussi pour son auteur et son infirmité

situation, j’en avais conscience. Pourtant, aussi terrifiée que je fusse, je n’arrivais pas à regretter ma décision. Quand la vie vous a fait don d’un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin. Ce fut avec un sourire aimable et tranquille que le chasseur s’approcha pour me tuer. -4- 1 PREMIÈRE RENCONTRE Ma mère me conduisit à l’aéroport toutes fenêtres ouvertes. La température, à Phœnix, frôlait les vingt et un degrés, le ciel était d’un bleu éclatant

situation, j'en avais conscience. Pourtant, aussi terrifiée que je fusse, je n'arrivais pas à regretter ma décision. Quand la vie vous a fait don d'un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin. Ce fut avec un sourire aimable et tranquille que le chasseur s'approcha pour me tuer. 1. PREMIÈRE RENCONTRE Ma mère me conduisit à l'aéroport toutes fenêtres ouvertes. La température, à Phoenix, frôlait les vingt et un degrés, le ciel était d'un bleu éclatant. En guise

plante Aussi tremblante qu'un oiseau Aussi chaude aussi vivante que l'été Nous pouvons tous les deux Aller et revenir Nous pouvons oublier Et puis nous rendormir Nous réveiller souffrir vieillir Nous endormir encore Rêver à la mort Nous éveiller sourire et rire Et rajeunir Notre amour reste là Têtu comme une bourrique Vivant comme le désir Cruel comme la mémoire Bête comme les regrets Tendre comme le souvenir Froid comme le marbre Beau comme le jour Fragile comme un enfant Il nous regarde en souriant

trouver sa place dans un monde complexe. Or le côté mécanique ôte l’aspect social et communicatif du rire. Il perd son but premier. On retrouve cette idée dans le texte de Veronique Servais « Autour du chat du Cheshire et de son sourire. Approche comparative du rire et du sourire », qui insiste sur la fonction première du rire, qui est de créer des liens, dans un contexte social. Rire de manière mécanique est donc associé à une connotation péjorative liée au côté non naturel et imposé de ce rire. Cependant

alexandrins. Elle met en scène des personnages aux caractères variés, mais possédant quasiment tous un travers particulier. Ainsi, nous pouvons nous demander si la comédie, L’école des femmes, de Molière n’a pour but que de faire rire ou sourire le lecteur-spectateur. Dans un premier temps, nous verrons que cette comédie utilise tous les connecteurs permettant le rire. Puis, nous montrerons que cette comédie sert aussi à dénoncer la société ou des faits graves. Le comique

tout ce que tu veux. Pose ce couteau …. nous devons discuter » Il se pencha vers elle et dans un sourire épanoui frappa 39 fois en répétant à chaque fois « j'ai été ton pire cauchemar ». Le sang giclait partout mais il continuait. Il posa Chucky sur la table et retira le cœur. Ensuite, il trépana Tracy et détacha le cerveau. Ses gestes étaient nets, presque ceux d'un chirurgien. Alors, un dernier sourire à sa poupée, une phrase « je t'avais bien dit que j'y arriverai « puis il se mit à dévorer les