Sous-espace vectoriel engendré

de contraintes 9.1 Définitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9.2 Coefficient théorique de concentration de contraintes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9.3 Rupture d’une pièce sous l’effet d’une concentration de contraintes . . . . . . . . . . . . . . . 10 Exercices et problèmes 10.1 Rappels mathématiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Notations indicielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

le substrat fixé dans la poche de la chymotrypsine, qui reconnaît en particulier le résidu aromatique dont la liaison peptidique avec le résidu voisin est à rompre, cette liaison est positionnée exactement en face du site catalytique de l'enzyme, sous le résidu sérine n° 195. La fixation du substrat provoque un resserrement de la structure tertiaire de l'enzyme (flexibilité des protéines), ce qui rapproche dans l'espace trois résidus particuliers : l'aspartate 102, l'histidine 57 et la sérine

37 38 39 41 42 43 44 44 46 47 48 49 50 51 LISTE DES TABLEAUX Tab. (III.1) : Tab. (A.1) : Tab. (A.2) : Tab. (B.1) Analyse de l’équation générale de convection-diffusion Les schémas d’interpolation utilisés Les paramètres de sous relaxation utilisés Propriétés physiques de l’air à 1 atm VII 27 56 56 57 NOMENCLATURE Cp Chaleur spécifique à pression constante (J.kg -1 .K-1) D L’épaisseur de la couche épaisse (m) g Accélération de la pesanteur (m

l’ordre de d en général. Cela a des répercussions considérables sur les interactions 10 1. Propriétés des fluides P S S/L L C Fluide L/G S/G T G V Figure 1.2 : diagramme schématique des phases d’un corps simple dans un espace pression (p), température (T ), et volume (V ). entre molécules : pour un gaz, les molécules se rencontrent rarement et interagissent principalement au moment des collisions par des échanges de quantité de mouvement. Pour un liquide, les interactions

Entre autres on peut mentionner le taux de plus en plus élevé des échecs scolaires, la baisse de niveau des apprenants, le manque de supports écrits adaptés. Et un fait nouveau se signale de plus en plus, c’est la mobilité des apprenants dans notre espace au regard des fluctuations de la vie. Or pédagogues et didacticiens, de façon générale, reconnaissent le bien fondé des annales en matière d’enseignement / apprentissage scolaire, entre autres supports. Mais les systèmes éducatifs africains francophones

cinématique E4 : Représenter une solution technologique pour une fonction technique donnée A1 : Définir la frontière d’étude pour un système mécanique A2 : Exprimer les entrées/sorties, fonctions, valeur ajoutée et données de contrôle d’un ensemble ou sous-ensemble à partir d’un outil de description fonctionnelle XII Évaluation 4 A : l’élève a atteint l’objectif entièrement et en autonomie B : l’élève a atteint l’objectif avec l’aide du professeur C : l’élève a atteint l’objectif partiellement ou avec

pluritechnologiques. 1.2. Le contexte des activités professionnelles : Le métier s’exerce, dans les grandes entreprises, sous l’autorité d’un responsable d’études (chef de bureau d’études ou chargé d’affaires) et exige davantage d’autonomie dans les PME-PMI. Dans tous les cas, il s’inscrit dans un cadre collaboratif d’ingénierie concourante, soit au sein de l’entreprise, soit avec des partenaires ou sous-traitants. L’activité de conception est dépendante de l’évolution socio-économique et des exigences attenantes

. . 2.7.3 Les chaînes de caractères : fonctions vs méthodes 2.7.4 Méthodes de test de l’état d’une chaîne . . . . . . 2.7.5 Méthodes retournant une nouvelle chaîne . . . . 2.7.6 Les chaînes de caractères : indexation simple . . 2.7.7 Extraction de sous-chaînes (ou « tranches ») . . . 2.8 Les données binaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.9 Les entrées-sorties . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

l’apprentissage » permettant d’assurer la cohérence d’un projet de conception d’un environnement d’apprentissage en reprenant les trois niveaux décrits dans la première partie. Le projet global de conception peut alors être décrit comme un ensemble de sous-projets qui relèvent de l’ingénierie de formation, du management de projet et de l’ingénierie technique pour ces différents niveaux. Comme le relève lui-même l’auteur, le point de vue qu’il défend a des traits de familiarité avec la théorie des situations

partagée 3.4. Notions de dérivation matricielle Compléments d’analyse statistique multivariée 4.1. La loi normale multivariée 4.2. Fonctions linéaires et quadratiques de variables normales 4.3. Application: calcul de la distribution sous H0 de la statistique t V. Le modèle de régression multiple 5.1. Le modèle et ses hypothèses 5.2. Les estimateurs de moindres carrés 5.3. Moments des estimateurs de moindres carrés 5.4. Le théorème de Gauss-Markov 5.5.