Sous le soleil de Satan

d'Orangina débute en 1936. Son concepteur, un docteur espagnol Agustin Trigo baptise alors la boisson « Naranjina » (petite orange en espagnol). Quelques années plus tard le Français Léon Béton rachete la boisson et la commercialise avec succès en Algérie sous le nom d'Orangina. Ce n'est qu'après l'indépendance de l'Algérie en 1962, que les petites bouteilles jaunes commencent à fleurir sur les tables des cafés français. Depuis la petite bouteille ronde a fait beaucoup de chemin, elle est aujourd'hui appréciée

D'AUREVILLY : LES DIABOLIQUES. BAUDELAIRE : LES FLEURS DU MAL ; PETITS POÈMES EN PROSE. BECKETT : EN ATTENDANT GODOT ; FIN DE PARTIE. S. DE BEAUVOIR : MÉMOIRES D'UNE JEUNE FILLE RANGÉE G. BERNANOS : JOURNAL D'UN CURÉ DE CAMPAGNE ; SOUS LE SOLEIL DE SATAN. H. BOSCO : MALICROIX ; LE MAS THÉOTIME. A. BRINK : UNE SAISON BLANCHE ET SÈCHE. C. BRONTE : JANE EYRE. E. BRONTE : LES HAUTS DE HURLEVENT M. BUTOR : LA MODIFICATION ; L'EMPLOI DU TEMPS. D. BUZZATI : LE DÉSERT DES TARTARES ; LE

le mal, le bon et le méchant, Dieu et Satan. Verlaine se veut païen. La réalité qu'il appréhende et craint ne lui fait entrevoir aucun espoir, il apparait comme un être passif sans volonté. Son refus de la réalité le fera évoluer dans la rêverie, là où il n'y a rien de violent, de brutal ou les naufrages sont imaginaires. En se réfugiant dans ce monde prétexte à la nuance et aux impressions Verlaine nous peindre dès lors une réalité reflet de son âme et de sous ses cheminements. 2) Quel est le

16-18XLVII. Harmonie du soir Pages 19-21LVI. Chant d'automne Pages 22-24LXXIV. La Cloche fêlée Pages 25-27LXXXV. L'Horloge Pages 28-30XCIII. À une passante X. L'ennemiMa jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,Traversé çà et là par de brillants soleils ;Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.Voilà que j'ai touché l'automne des idées,Et qu'il faut employer la pelle et les râteauxPour rassembler à neuf les terres inondées,Où l'eau creuse

leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste Qui berce longuement notre esprit enchanté, Et le riche métal de notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! Aux objets répugnants nous trouvons des appas ; Chaque

vécurent. La seconde étape (pages 61 à 67) met en scène la visite au château de Baudouin, le jour de Pâques, de l’ermite qui va exorciser la princesse orientale. Découverte, elle va livrer des explications « de sa vraie voix 3», celle du diable. Satan quitte le corps qu’il occupe et s’enfuit par une fenêtre, emportant un pilier au passage. L’ermite va ensuite porter conseil à Baudouin : « partir voir le pape […] se faire absoudre par lui du péché qu’il avait commis », de son mariage satanique conjuré

vainqueur malgré ce vous néfaste, Dans la gloire aussi des Illustres Époux ! Paul Verlaine Satan Nous voilà donc encore une fois en présence, Lui le tyran divin, moi le vieux révolté. Or je suis la Justice, il n’est que la Puissance ; A qui va, de nous deux, rester l’Humanité ? Ah ! tu comptais sans moi, Divinité funeste, Lorsque tu façonnais le premier couple humain, Et que dans ton Éden, sous ton regard céleste, Tu l’enfermas jadis au sortir de ta main. Je n’eus qu’à le voir là

en fin de segment (de phrase) Canon : « Voir et émouvoir » Anaphore Répétition d’un même mot en début de segment « C’est nouveau, c’est chez confo » Allitération Identité de son qui se fonde sur la répétition d’une même consonne « Sous le soleil de Satan » Assonance Identité de son qui se fonde sur la répétition d’une même voyelle « Quand c’est trop, c’est Tropico » Répétition Effet de « matraquage » facilite la répétition Répéter plusieurs fois une phrase, un mot Cf. approche behavioriste

avez vécu tout seul, Philippe. Pareil à un fanal éclatant, vous êtes resté immobile au bord de l'océan des hommes, et vous avez regardé dans les eaux la réflexion de votre propre lumière ; du fond de votre solitude, vous trouviez l'océan magnifique sous le dais splendide des cieux ; vous ne comptiez pas chaque flot, vous ne jetiez pas la sonde ; vous étiez plein de confiance dans l'ouvrage de de Dieu »). De plus, Musset emploie beaucoup la ponctuation (« , », « ; », « ? », « ! »,...), de façon à obtenir

Baudelaire sait par expérience ce que l’hiver produit de néfaste sur lui. Il exprime ses maléfices : la paralysie des forces de la vie ("  soleil ", "  cœur  "). V7  :le soleil représente le cœur de Baudelaire. Sa glaciation signifie l’astreinte du poète à l’inertie. II. Le chant du bourreauA. La mort en marcheV9  : La phrase d’ouverture de la troisième strophe