Souvenir Odeurs

Fiche – lecture analytique : « Une Charogne », Les Fleurs du mal (1857), C. Baudelaire Notes introductives : situé dans la section « Spleen et Idéal », dans une série de poèmes lyriques célébrant l’amour, le désir et le corps féminin ; le titre « Une charogne » produit une rupture. Poème de 12 quatrains d’alexandrins alternés avec des octosyllabes, aux rimes croisées, qui commence comme un poème lyrique amoureux et évoque un cadavre pourrissant. Une reprise ironique du motif du memento

celui de la statrégie marketing des parfums qui fonctionne tel un miroir des passions : elle fait totalement disparaître la senteur pour la remplacer par les désirs profonds des consommateurs. Cette stratégie explique comment le marketing associe odeurs et marques au sein des points de vente pour influencer à leur insu les acheteurs. Enfin, nous nous intéresserons aux paradoxes et failles du marketing de luxe, ciblé sur les parfums. I- Fonctionnement de la communication mondiale d’un produit de

L'odorat réveille des souvenirs affectifs, que ce soit par l'évocation d'une odeur ou le fait de sentir un parfum. Dans les images mentales évoquées au moment où l'on pense à une odeur il y est souvent question de la compagnie de quelqu'un d'important affectivement. Il est à remarquer que les grands parents ont régulièrement une place. La nature est aussi un élément qui revient souvent avec quelquefois des impressions de liberté et de mystère. Une circonstance, un évènement dans les temps, une rentrée

substituer à [lui] » (gradation). => L'ordre gendarme révèle qu'il n'est pas loin de la vérité : « il m'a dit de me taire » - Meursault exprime un sentiment tragique d'impuissance : impression que son destin lui échappe (« j'ai été assailli des souvenirs d'une vie qui ne m'appartenait plus ». => malaise (« vertige ») et comparaison : « j'ai eu impression que tout devenait comme une eau incolore » => impression de se vider de sa substance. B - Le manque d'intérêt de Meursault pour son procès

aussi l’influence de la couleur - les yeux sur la perception gustative de l’aliment. Hervé This parle à ce propos « d’illusion sensorielle ») Par voie directe (flairage) = Résultant de l’approche de l’aliment vers le nez, permettent d’apprécier les odeurs provoquées par l’évaporation de molécules odorantes de l’aliment. Le cerveau perçoit des informations qu’il traduit en image plaisante ou déplaisante. Il s’ensuit alors soit un rejet pur et définitif du produit (ex : ammoniaque) ou un acceptation

VIème siècle connue en Sicile Lieux du roman : ceux de l’enfance de l’auteur, de sa famille - Palerme et ses palais - Donnafugata, inspiré de Santa Margharita Souvenirs de chasse, promenade à l’aube avec Don Ciccio, p.98-99 Considérations sur les chiens, leur préséance à la chasse, renvoyant à des souvenirs personnels de chasse, à l’aube. Nombreuses notations réalistes sur la pauvreté et la saleté de la Sicile - en ville : p.192 : « la misère, la vétusté, la saleté des rues

ado ateu de l’E fe . XXXVIII. LE FANTOME I. Les ténèbres.Il semble décrire son tat d’esp it très sombre et disgracieux, ui s’ lai e e vo a t sa fe e. II. Le parfum. L’auteu i te pelle le lecteur sur les sensations relatives à l’odo at. Ces odeu s pa ti uli es u’il décrit, semblent caractériser sa femme. III. Le cadre. Il fait un parallèle entre le cadre qui embellit un tableau et les objets qui entourent sa femme. Ceux-ci font ressortir sa beauté. IV. Le portrait. L’auteu se le

rapport à nos croyances. Crédibilité de la source : Niveau d’expertise, inspire confiance, attractivité… - La rétention : Une mémoire illimitée ? Le réseau de liens mémoriels (idées, odeurs, goûts…). Le nombre de liens mémoriels et leur force dépend de la répétition des expositions, du travail cognitif effectué, des souvenirs reconstruits ?

en décembre 2007, précisant que le rêve n'est autre qu'une activité psychique que nous ne maîtrisons pas et qui se traduit par des images, des bruitset quelques fois des odeurs; pour lui le rêve relève d'une activité cérébrale nocturne correspondant à la phase de soLes rêves, ces parenthèses nocturnes, aux images et aux souvenirs pas toujours très précis, pas toujours très nets, souvent confus, comme le met en scène le dramaturge Evguéni Grichkovets, sont,depuis toujours, sources de questionnements

intéressante mais aussi parce que grâce a un voyage au Maroc j’ai eu un premier contact avec le monde arabe, le monde maghrébin. Une première visite en janvier 2010 et ensuite une deuxième en mars, m’ont permis de m’enivrer avec les aromes et les odeurs des thés marocains, négocier au souk, danser sur les rythmes des tarija et  darbouka , porter les babouches sur la corniche de Casablanca où sur les petits ruelles de Marrakech, rester impatiente devant un plat creux et rond traditionnel, en terre