Souveraineté populaire

Dissertation La souveraineté dans la définition de l’Etat Introduction : D’après Charles de Gaulle, « la démocratie c’est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave ». L’auteur qui est à l’origine de la notion de la souveraineté est Jean Bodin au XVIe siècle. Pour lui la souveraineté est l’attribut exclusif de l’Etat, alors que pour d’autres auteurs et notamment Jean-Jacques Rousseau, il est totalement contre l’idée de Jean Bodin car il rejette le principe de la représentation

Sujet : La souveraineté à la veille de la Révolution Problématique : Emergence de nouvelles conceptions de la souveraineté à la veille de la Révolution. Va contre la volonté de la monarchie de maintenir sa souveraineté. Quelle conception de la souveraineté prédomine à la veille de la Révolution ? Plan détaillé : I. Le maintien de la souveraineté monarchique A. Le maintien de la conception traditionnelle 1) La souveraineté selon Bodin * « Absolue et perpétuelle », Les

composant l'état démocratique. De ce fait, dans quelles mesures peut-on dire que le droit de vote est intimement lié à la démocratie ? Tout d'abord, il est le fondateur de l'unité et de l'égalité démocratique, mais également le créateur de la souveraineté du peuple et de la légitimité du régime. I) Le droit de vote : créateur d'une unité entre les citoyens Bien que l'universalité des droits eut été le fruit d'une longue expérience, les citoyens des démocraties modernes sont tous électeurs

Une souveraineté populaire Pour Rousseau, la souveraineté désigne l’autorité suprême de l’Etat, c’est le corps politique à l’état actif. En revanche, l’Etat est le corps politique à l’état passif. Rousseau donne un sens assez restreint au mot souverain. Il entend par souverain, l’auteur des lois, c’est une personne morale. Le souverain détient donc la puissance législative, c’est la volonté du corps politique. C’est le pacte social qui donne naissance à la souveraineté. La source de

 Résumé : Du Contrat social de Jean-Jacques Rousseau (1762)   Cet ouvrage est l’exposé des principes politiques de Jean-Jacques Rousseau. À l’époque où il vivait, on croyait généralement que la souveraineté vient de Dieu et que les peuples doivent obéissance au prince, au même titre quo les enfants doivent respect et obéissance à leur père. Le philosophe renversa toutes ces idées. Selon lui, il est arrivé un moment où quelques individus se sont arrogés un droit illusoire sur le coin de

gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». Cette définition de la démocratie extrêmement célèbre, revient à dire que la démocratie est un régime politique dans lequel le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple selon le principe de souveraineté ; et dans le lequel il n’y a pas de distinctions de sexe, d’âge, de richesse, etc. selon le principe d’égalité entre les hommes. Depuis le XVIIIème siècle, dans la plupart des pays occidentaux, la démocratie s’effectue par le biais de représentants

et à relier le grand nombre de croyants. La représentation peut être corrélée au principe de souveraineté nationale introduit au départ par Montesquieu puis repris et complété par Sieyès. Rousseau avait lui développé le concept de souveraineté populaire et s’oppose donc à Montesquieu et à son idée de la représentation, Rousseau considère est à proscrire parce qu’elle exclut le peuple. La souveraineté nationale implique obligatoirement la représentation et l’électorat-fonction. La représentation

le pouvoir souverain. En effet, s’ils sont les détenteurs du pouvoir souverain, ils protègent eux-mêmes leurs droits en les créant, les modifiant, les abrogeant. Ainsi, l’article 3 de la Constitution dispose “La souveraineté nationale appartient au peuple (…)”. Cette notion de souveraineté est la puissance d’un organe, lui permettant d’être producteur de droit. Il semble donc nécessaire que ce pouvoir soit entre les mains du peuple afin d’éviter toute dérive s’il était aux mains d’un seul homme et

organisation sociale "juste" repose sur un pacte garantissant l'égalité et la liberté entre tous les citoyens. Dans le pacte social, chacun renonce à sa liberté naturelle pour gagner une liberté civile. La souveraineté populaire est le principe fondamental du contrat social. L'indivisibilité de cette souveraineté est un autre principe fondamental, par lequel il faut comprendre que le pouvoir du Souverain ne saurait être divisé et il ne peut s'en séparer par intérêt particulier, car l'intérêt particulier est

nation, il doit reuissir à dépasser la vonlonté individuelle pour atteindre la volonté générale. Au 18e siècle apparaissent deux théories : celle de la souveraineté populaire et celle de la souveraineté nationale. La première portée par Rousseau veut que chacun des individus formant le corps social est détenteur d’une partie de la souveraineté et se n’est qu’en consultant tout le monde que l’on peut dégager la volonté de l’ensemble. Il est alors souligné que ce type d’organisation est impossible