Souveraineté Populaire Rousseau

hommes appartenant aux autres groupements nationaux - Souveraineté : caractère suprême du pouvoir étatique - Souveraineté populaire : Souveraineté dont le titulaire est le peuple considéré comme la totalité concrète des citoyens, qui en détiennent chacun une fraction. Conception formulée par J.J Rousseau dans le contrat social et dont les consequences sont le suffrage-droit et la démocratie direct - Souveraineté nationale : Souveraineté dont le titutulaire est la nation entité collective indivisible

n’en existera jamais. Il est contre l’ordre naturel que le grand nombre gouverne et le petit soit gouverné. S’il y avait un peuple de Dieu il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait en convient pas à des hommes. » Jean-Jacques Rousseau. La démocratie doit être assortie d’un régime représentatif, d’où l’idée qu’un plus grand nombre remets le pouvoir à des représentants (élus ou non élus). Et la Constitution est le système qui organise ce système. Le grand représentant de ce régime

institutions La souveraineté peut-elle se partager ? La souveraineté est la manifestation concrète du pouvoir démocratique. C’est le pouvoir suprême puisque le titulaire de la souveraineté est le seul apte à déterminer ce que les juristes appellent « la compétence de la compétence », cela sous entend le fait que celui –ci puisse dire que telle entité ou personne ait telle compétence. Ce concept de souveraineté apparaît avec Jean Bodin en 1576. Pour lui la souveraineté sert de pilier à l'analyse

de leurs droits (notamment le droit de propriété) mais il arrive que ceux-ci soient violés. Dans ce cas, plutôt que de se rendre justice eux-mêmes, les Hommes décident d’abandonner l’état de nature pour faire appel à une tierce personne. Pour Rousseau, les Hommes dans l’état de nature sont «de bons sauvages» qui vivent heureux et libres : 1762, Du contrat social. Les rapports vont se dégrader à cause des inégalités entre les Hommes. Ainsi pour vivre de nouveau heureux ils concluent un contrat

écrivain issu du siècle des lumières, Jean-Jacques Rousseau à dit ; « Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle, ce n'est point une loi. » Pour lui, la démocratie se devait d'être populaire, et respecter le principe de souveraineté du peuple. Selon lui, elle devait même en référer au peuple pour toute décision importante. Ainsi nous verrons dans une première partie que le référendum est un procédé légitime face à la souveraineté populaire (I) notamment grâce aux différents outils de

Théorie de la souveraineté populaire. (jean jacques Rousseau) Deux théories : l H est naturellement mauvais, L’H est naturellement bon, c’est la société qui le pervertie, car l’état de nature, les rapports entre individus, sont fondé sur la force « loi du plus fort ». à IL FAUDRAIT DONC PASSER D’UN ETAT DE NATURE A UN ETAT CIVILE ( CIVILISE) : comment ? En passant le contrat sociale, sous forme d’aliénation : abandonner les rapport de forces, lors de différent et avoir recours au droit.

base : Etat (sources origines,...) Souveraineté (état nations, souverains,...) aucun rapport avec la monarchie fédéralisme (Allemagne Autriche Inde, USA, Europe, Espagne ,...) suffrage république parlement Recours à l'histoire : l'étude des règles constitutionnelles n'a de sens que dans l'origine, les sources : pourquoi ? (sénat ? Assemblée nationale ? … Correspondances entre états ? Théories des grands penseurs mises en pratique :: John Locke, JJ Rousseau, Montesquieu, B. Constant, Voltaire

contre l’État. Pour les libéraux, la liberté est considérée comme déjà existante pour tous. Elle est existante car elle est antérieure à l’État. C'est un principe de base est non un principe a instauré. On distingue la démocratie libérales et populaire : Populaire : d'origine politique direct, il ne laisse pas la décision à leur représentant dans la démocratie marxiste la société civile n'est pas quelque chose à protéger au contraire l’État doit protéger la société ; Il n'y a pas de véritable liberté

« A l’instant qu’un peuple se donne des représentants, il n’est plus libre, il n’est plus » : Selon Jean-Jacques ROUSSEAU, l’idéal démocratique ne peut s’accomplir que si les individus exercent directement leur souveraineté : Toute délégation est illégitime et dangereuse, car la volonté d’un groupe se substitue alors à l’impersonnelle volonté générale. Cette intransigeance vis-à-vis du concept de la représentativité a sans nul doute une origine historique. En 1789, la France sort en effet de

pureté de la religion chrétienne qui est alors dominante. A partir du 18eme siècle, un renversement s'opère au sein de opinions éclairées. On commence à remettre en cause les certitudes de la vieille Europe en la confrontant avec d'autres peuples. Rousseau dénonce l'ethnocentrisme dont font preuve les philosophes. Selon lui, on ne peut connaître l'homme qu'en le comparant avec ses semblables. Pour être féconde, cette comparaison doit se faire avec les peuples les plus éloignés. La raison vient de ce