Souviens-toi... l'été dernier

Edward allongé sur mon lit comme à son habitude, personne. Je regardais ma montre il était 18 heures, je filais dans la salle de bain, laissant l'eau chaude détendre chacun de mes muscles, je me regardait dans la glace j'avais pris des couleurs durant l'été mais pas au point d'être bronzée. Je laissais mes cheveux détachés, dans le tiroir de ma commode je pris un débardeur noir et mon jean préféré, mit le collier que Jacob m'avait offert et me regardait dans la glace, ce collier était vraiment beau la

cela provenait, et au grand amusement du cocher, notre ami. Ma sœur Denise est née en 1892 et mon frère Jean en 1895. Mon père, qui, comme je l’ai dit, exerçait la profession de diamantaire, avait son bureau 56 rue Taitbout, et je me souviens encore, vaguement à vrai dire, des quelques visites que je lui faisais. Vers 1894, il abandonna ce métier pour entrer dans une maison de Bourse dirigée par son cousin Oscar Barasch. Celui-ci était d’un caractère soupçonneux, tatillon. Au fond, le

apportées, de l’organisation du texte, du lexique employé. Que remarquez-vous ? b) Le point de vue est-il le même ?   3. Page 35 « Au petit matin… » à 36 « …on recommence ». a) A quoi Adrien est-il particulièrement sensible ? Pourquoi ? b)  Dans le dernier paragraphe, relevez les verbes et leurs sujets. Que remarquez-vous ? c) Faites l’analyse grammaticale des phrases suivantes : Au petit matin, l’infirmière qui penche sa tête sur moi a de grands yeux bleu marine. Lorsqu’elle réalise finalement que

recueil : la mort, le péché, la religion... Il est composé de 10 quatrains. Les deux premiers montrent la faiblesse de l’homme en proie aux péchés, sa faiblesse physique et morale. Les 5 suivants montrent l’influence de Satan, la beauté du mal. Les 3 derniers montrent la place importante qu’occupe le spleen, cette mélancolie. Le poème est composé de dix quatrains avec des vers en alexandrins. Les rimes sont embrassées et on retrouve une alternance rimes féminine et masculines. Quatrains 1-2 : faiblesse

récupérer un petit peu d’argent de poche. Il arrivait que maman pète un plomb. Elle nous frappait avec une cuillère en bois qui parfois se brisait. Je devais alors sortir en acheter une autre, comme si c’était ma faute qu’elle frappe aussi fort. Je me souviens d’un jour en particulier. Pendant que j’étais au centre aéré, j’ai jeté une brique qui, je ne sais comment, rebondit et cassa un carreau. Quand maman l’apprit, elle sortit de ses gonds. Tout ce qui coûtait de l’argent la rendait folle et elle me

la saison des beaux jours ; Mais sa voix n'a plus rien de tendre, Il ne chante plus ses amours. Ainsi je touche encor ma lyre Qui n'obéit plus à mes doigts ; Ainsi j'essaie encor ma voix Au moment même qu'elle expire. "Je veux dans mes derniers adieux, Disait Tibulle à son amante, Attacher mes yeux sur tes yeux, Te presser de ma main mourante." Mais quand on sent qu'on va passer, Quand l'âme fuit avec la vie, A-t-on des yeux pour voir Délie, Et des mains pour la caresser ? Dans

le temps, non, mais nous nous en allons, Et tôt seront étendus sous la lame ! Et des amours desquelles nous parlons, Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle, Pour c’aimez-moi cependant qu’êtes belle. Pier re de Ron sard DERNIERS VERS Je n’ai plus que les os, un squelette je semble, Décharné, dénervé, démusclé, dépulpé, Que le trait de la Mort sans pardon a frappé; Je n’ose voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon et son fils, deux grands maîtres ensemble

et celle-ci c'est deux ans après, là c'est moi qui ai trouvé ça dégoûtant quand tu as voulu qu'on dorme ensemble. Au verso Philip reprend la parole et pointe une autre image. — Et un an plus tard à la fin de cette soirée, si je m'en souviens bien, tu ne trouvais plus ça dégoûtant du tout. Chaque feuillet de celluloïd marque un temps de leur enfance complice. Elle l'arrête. — Tu as sauté six mois, il n'y a pas de photo de l'enterrement de mes parents ? Pourtant je crois

qu'ils ont besoin. Le climat  Il fait chaud au Maroc en été, mais quelquefois moins chaud que l'on croit. Le ressenti de cette chaleur est différent et plus agréable qu'en France car les soirées sont souvent très douces. Il ne pleut quasiment pas l'été et malgré la chaleur l’air est plus fraiche on sent le petit vent qui rafraichi en dessous du soleil brillant. Le temps est vraiment diffèrent de celui de la France ou en été on pourrait se croire en hiver. L’esprit de famille  Ils accordent une

secours ! » de toutes mes forces. Dans la cave mal éclairée, mon père agrippait ma mère par les épaules, ou le cou. Dans son autre main, il tenait la serpe à couper le bois qu'il avait arrachée du billot où elle était ordinairement plantée. Je ne me souviens plus ici que de sanglots et de cris. Ensuite, nous nous trouvons de nouveau tous les trois dans la cuisine. Mon père est assis près de la fenêtre, ma mère est restée debout près de la cuisinière et je suis assise au bas de l'escalier. Je pleure sans