Sparadrap

alors je versai la Bétadine dermique dans une partie du set stérile, puis dans l'autre partie du set je versai du Sérum physiologique. Je préparais aussi le matériel que j'allais utiliser pour la réfection du pansement, donc je sortis : une bande de sparadrap autoadhésif Méfix, des compresses stériles, un stylet stérile, deux paquets de mèches Urgosorb, un bout de tulle gras Jelonet, une seringue stérile. Je m'occupais des plaies une par une mais avec une vitesse inhabituelle car j’avais envie de finir

Des produits : antiseptique, hémostatique, sérum physiologique en uni-dose, paracétamol. Des pommades : contre les brûlures, piqûres, hématomes. Pour les soins : coton, pansements, sparadraps de type «micropore», compresses stériles et purifiées, bandes de gaze, tampons alcoolisés, sutures adhésives, sparadrap ordinaire. La sécurité incendie dans les étages L'incendie est une combustion qui se développe sans contrôle dans

avoir décontaminé mon chariot de soin, cette décontamination permet de travailler avec asepsie, et évite l’apport de germes au malade. Je m’assure d’avoir tout le matériel nécessaire : bétadine scrub, dermique, eau stérile compresses stérile , sha, sparadrap, sac pour déchets domestique et déchets dasri, conteneur à objet tranchant et piquant gant à usage unique et un cathéter, le but de mon organisation est d’éviter de faire des vas et viens de la chambre de la patiente à la salle de soin pour une efficacité

machine... d'où l'utilité des filtres antibactériens - masques laryngés : pas de problème ! - médicaments dans vials : décapsuler le vial pour prélever et/ou injecter dans le vial - seringues: seules les seringues Terumo ont un piston sans latex - sparadrap : pour pansements de perfusion et chirurgicaux : Opsite, Tegaderm, Duoderm Transpore (= plastique transparent) Durapore Steristrips pour fixer le tube ET: cordon en tissu - cathéters IV : pas de problème mais ballonnet de Swan-Ganz et de Fogarty

re-résection iléo-caecale en 2009… Elle a également des antécédents d’hypertension artérielle traitée, d’hypercholestérolémie familiale traitée. Sa sœur est décédée à 59 ans d’un IDM. C’est une patiente souffrant d’hypoacousie sévère, d’une allergie au sparadrap, ayant un abord veineux difficile. Enfin c’est une patiente non sevrée en tabac qui est à 50 PA. Madame Dr. fait 48 kg pour 1m60 soit un IMC de 18,8, qui traduit une corpulence normale. Madame Dr. a une mutuelle et est couverte à 100% par l’assurance

veine et en essayant de la retrouver, je me rends compte que j’ai oublié de remettre mon garrot. Je pose une compresse de betadine alcoolisée et retire le cathéter, que je jette dans la boite opct. Je place une compresse seche sur la zone et pose un sparadrap dessus, puis jette la compresse contenant du sang. Je m’excuse auprès de la patiente et lui explique que je vais devoir la repiquer à cause de mon erreur. Elle comprend mais demande si une infirmière pourrait lui faire à ma place. Je pars donc chercher

Évacuer les déchets en respectant le circuit propre/sale. Remarques: Changer l’étui pénien tous les jours après la toilette. Ne pas arracher l’étui pénien pour le retirer. Le dérouler avec douceur. Ne jamais mettre de sparadrap pour maintenir l’étui. Agir avec tact, expliquer les actions. Surveillances : Surveiller l’état cutané de la verge à la recherche d’une érosion ou d’une allergie. En cas de lésion, avertir l’IDE avant de poser un nouvel étui. Surveiller

Il faut : Une prise murale blanche = source d’oxygène Un manomètre Une rallonge pour pouvoir se déplacer Un barboteur (eau stérile qui va permettre d’humidifier les muqueuses). On le met entre la manomètre et la tubulure. Sparadrap pour fixer les tubulures, des compresses. A domicile, les patients ont des cuves d’oxygène liquide. En ambulatoire, ils ont une bombonne d’oxygène gazeux. Si on utilise les lunettes, on les met pour les débits inférieurs à 3L par minute.

le tube que j’avais en main pour éviter l’AES . Je retire le garrot en laissant en place mon aiguille tout en l’appelant par son nom. L’IDE qui m’avait entendu est venue de suite . J’ai enlevé mon aiguille en la rétractant . Je lui ai posé le sparadrap avec la compresse . La patiente a repris confiance . L’IDE est partie ensuite chercher le tensiomètre qui était devant la porte puis lui à poser des questions sur comment elle sentait actuellement et si elle sait a quoi le malaise . La patiente

de l’objet de ma visite afin de recueillir son consentement qu’elle m’accorde volontiers, je remarque que son pansement est souillé et humide de sa douche précédemment prise et qu’il n’est plus en contact avec la plaie ne tenant plus que par un sparadrap collé dans les cheveux. J’administre à Madame ses 2 pulvérisations de Pecfent en prévention de la douleur occasionnée par le nettoyage de sa plaie et sachant l’arrivée imminente de l’infirmière de la HAD je décide de retirer le pansement que madame