Spectroscopie RMN

nouveaux objets d’études (grandes centrales et plates-formes de nanotechnologie, synthèse chimique de nanostructures auto-organisées, fonctionnalisation de nanostructures pour la biologie), d’analyse et de caractérisation (imageries, microscopies et spectroscopies à très haute résolution) et de modélisation et simulation numériques (centres de calculs). Le rassemblement de ces moyens sur le plateau de Saclay en fait un acteur essentiel du projet NanoInnov de fédération des compétences et des moyens. Favoriser

......................................................... 168 173 182 193 206 214 222 Pages Bac : exercices et TP ..................................................................... 227 COMPLÉMENTS Complément au chapitre 4 : Spectroscopie UV-visible, IR et de RMN .... 233 Complément au chapitre 8 : La relativité restreinte ................................ 240 Évaluation des incertitudes de mesure ................................................... 253 Couverture : Pierre-Antoine Rambaud

hebdomadaires et non plus trois comme en Seconde et Première S ; le contenu est donc considérablement accru, de par toutes ses composantes : l’aspect documentaire, mais aussi l’aspect calculatoire (notamment dans la partie mécanique) et l’aspect conceptuel (RMN, mécanismes en chimie organique…). Le maître mot de ce programme nous a semblé être l’autonomie de l’élève. Le manuel Nouveau Microméga est ainsi conçu avec cette idée d’autonomie et d’acquisition de méthodes. Avant-propos • 5 Découpage en

fonctionnelle Université Claude Bernard Lyon 1 2008-2009 Etude de l’interaction de la protéine de capside du virus de l’hépatite C avec les phospholipides. Romain FRAGNOUD Institut de Biologie et Chimie des Protéines, laboratoire « Bioinformatique et RMN structurales » Responsable de stage : LAVERGNE Jean-Pierre L’interaction de la protéine de capside du virus de l’hépatite C (VHC) avec les gouttelettes lipidiques (GL) est une étape cruciale dans la formation de virions dans un modèle infectieux

souvent exprimé en inverse du centimètre (cm−1 ), et la transmittance en ordonnée, en pourcentage. Voici quelques extraits de spectre qui illustrent les formes de raies rencontrées en général : A = ǫ·ℓ·c 100 Transmittance (%) A = k·c 500 Spectroscopie IR En raison de vibrations de résonance des liaisons des molécules, ces dernières absorbent de l’énergie dans différentes bandes de fréquences en lumière IR, bandes qui sont par conséquent caractéristiques de la présence de tel ou tel type de liaison

désignation d’imagerie médicale sera aussi donnée. Les listes de brevets cités dans ce document ont été établie à l’aide des mots clés : «MEDICAL IMAGING», «RM IMAGING», «X-RAY IMAGING», «TOMOGRAPHY», «PET», «OCT», «CONTRAST AGENT», «ULTRASOUND», «RMN», «IRM» et «MEDICAL IMAGER» à partir de la base de données QPat de la Société Questel avec comme restriction un dépôt depuis 1990 et le nom du déposant désiré (ex : CNRS ou Centre National de la Recherche Scientifique même si QPat ne fait pas de différence

exprimé en inverse du centimètre (cm−1 ), et la transmittance en ordonnée, en pourcentage. Voici quelques extraits de spectre qui illustrent les formes de raies rencontrées en général : A = ǫ·ℓ·c 100 Transmittance (%) A = k·c 500 Spectroscopie IR En raison de vibrations de résonance des liaisons des molécules, ces dernières absorbent de l’énergie dans différentes bandes de fréquences en lumière IR, bandes qui sont par conséquent caractéristiques de la présence de tel ou tel type de

phosphatidyl glycérol PI : phosphatidyl inositol PPP : voie des pentoses phosphates PR (protéine) : protéine associée à la pathogenèse PS : phosphatidyl sérine ORF : cadre ouvert de lecture Q-PCR : amplification en chaîne par polymérase quantitative RMN : résonance magnétique nucléaire ROS : espèce activée de l‟oxygène SD : déviation standard SDR : déshydrogénase à chaîne courte UDP-GlcNAc : Uridine-5′-diphosphate-N-acetylglucosamine UV : ultra violet T6P : tréhalose-6-phosphate T6PS: tréhalose-6-phosphate

méthodes de la cristallographie. Ses méthodes de recherche se basent essentiellement sur les phénomènes de diffraction, que ce soit par rayons X, radiation synchrotronique, électrons ou neutrons. Mais la microscopie optique, la calorimétrie, la spectroscopie de RMN ou la topographie de rayons X sont aussi souvent utilisées. Les échantillons peuvent être sous forme de poudres ou de monocristaux. L'évolution de cette branche s'est particulièrement accélérée au cours des dernières décennies grâce à plusieurs

manipulation. Le système n’évoluait donc plus au-delà de cette durée. b. Pour améliorer la précision de cette mesure on pourrait : – augmenter le nombre de prélèvements en les resserrant dans le temps ; – utiliser d’autres techniques d’analyse (spectroscopie IR ou de RMN). 6 La durée d’une réaction chimique est le temps nécessaire à la consommation totale du réactif limitant. Suivi temporel d’une réaction par spectrophotométrie (p. 233) Matériel et produits – – – – – – – Un erlenmeyer rl de 150 mL ; des