Spéculation boursière

La crise financière un phénomène mondial Sans remonter à la grande spéculation sur les bulbes de tulipes dans la Hollande au 17éme siècle, force est de constater que les crises financières ont une longue histoire que l’actualité tout comme la complexité des mécanismes à l’œuvre font souvent perdre de vue. Leur nature et leur fréquence ont en effet de la mondialisation financière. Le processus de libéralisation des mouvements de capitaux et les innovations financière qui l’accompagnent modifient

de l’activité dans les pays) donc une chute des échanges internationaux (40% de recul), donc augmentation du chômage. La crise de 1929 est précédée par une crise de surproduction industrielle. Elle démarre aux Etats-Unis par le biais d’une crise boursière qui entrainera une crise bancaire qui s’étendra très rapidement dans toute l’Europe. Les banques les plus endettées seront les premières victimes du krach dès octobre 1929. L’augmentation du chômage va entrainer des famines. Contrairement à d’habitude

achat d’obligations, échanges commerciaux, etc.) les banques et les bourses des pays européens se sont trouvées très vite affectées. La raison qui a déclenchée la crise de 1929 est la spéculation boursière. Les spéculateurs tentaient de s’enrichir en achetant à crédit et en vendant des actions. Cette spéculation était favorisée par le crédit bancaire qui finançait 100% du bien immobilier ; voire au-delà. En 1929, ce sont les fermiers qui étaient privilégiés dans l’octroi des crédits sans garanties

croissance apparaissent de plus en plus fragiles en raison de la surproduction industrielle, de la spéculation boursière, du recours trop important au crédit, et de la persistance de la crise de l’agriculture. À l’annonce de la baisse des prix et des bénéfices industriels, à la mi-octobre 1929, certains spéculateurs décident de vendre leurs actions pour empocher une plus-value au moment où les cotations boursières de Wall Street (New York) sont encore à un niveau élevé. Le cours des actions diminue rapidement

de la demande Surproduction ( hausse des stocks) Baisse des prix Baisse des salaires Baisse des revenus des entreprises Faillites/Licenciements (Crise sociale) Surproduction Krach boursier Spéculation boursière

dernière puis nous ferons une comparaison avec la crise économique actuelle. Sans doute l’une des plus grandes crises économiques que le monde capitaliste ait connu, la crise de 1929 était le résultat d’une hausse des valeurs liée à une spéculation boursière excessive s’appuyant sur un crédit bancaire abondant. Le krach de la bourse de New York le 24 octobre 1929 a été le déclic de la crise et il s’est poursuivi jusqu’en 1932. A ce jour, 19 millions d’actions ont été mises en vente contre 4 millions

brutale récession (chute de 50 % de l’économie) apparaît en 1929 et dure jusque 1932 • DES ORIGINES PROFONDES (TEXTE 3 P 24 À COMMENTER !) - Une spéculation boursière effrénée : des actions dont la valeur a presque quadruplé entre 26 et 29 alors que la production n’augmente que de 25%... Une spéculation de grande ampleur (1,4 million de personnes) et des pratiques dangereuses (le recours au crédit pour 600000 spéculateurs, l’emploi des fonds de roulement des entreprises,

Le modèle IS/LM en économie fermée On raisonne en économie fermée. 1929 : Crise Boursière. Jeudi Noir. Théorie néo classique. On laisse faire le marché. On pense qu’il va s’ajuster automatiquement ; Les USA s’enfonce dans la récession. Il faut mettre en œuvre une politique de grand travaux. Donc, réorientation de la recherche car on s’aperçoit des limites du modèle néo classique. Théorie Keynésienne Rupture de Keynes avec les néoclassique. Keynes considère que les prix sont fixes dans

aussi simples: l'estimation des dividendes futurs est frappée d'incertitude, de même que la valeur finale à la revente, et le taux d'actualisation retenu est arbitraire. De plus, il intervient une part de spéculation dans le choix de vendre ou non une action. a) Valeur économique et spéculation : Dans l'analyse de la valeur d'une action, on voit que les gains apportés par les deux termes sont de nature très différente. Les dividendes correspondent à de l'argent effectivement transféré de l'entreprise

NetScape, qui commercialise à l'époque le premier navigateur web, entre en Bourse. La jeune société voit le cours de son action exploser en une journée de 28 à 75 dollars. En quelques heures, elle atteint 2 milliards de dollars de capitalisation boursière, preuve de l'intérêt énorme des financiers pour les valeurs technologiques. Dès lors, toute arrivée d’actions de start-up sur le marché Internet est accompagnée d’une forte confiance dans le potentiel de croissance. Tout le monde rêve du succès