Spéculation boursière

* la crise a montré l’effet déstabilisateur pour l’économie des mouvements de capitaux liés aux spéculations permettrait de freiner les mouvements de capitaux et de les stabiliser, selon les partisans de la taxe * la rémunération excessive des acteurs de la finance Selon le rapport Landau, les taxes sur les transactions financières ne constitueraient pas un moyen de lutte contre la spéculation, mais surtout une option de financement. Le niveau de la taxe serait assez faible pour ne pas perturber

sur la gestion de l'économie réelle dans un contexte de changes flexibles. La proposition de Tobin visait à taxer exclusivement les transactions sur les devises afin de limiter la volatilité des taux de change ce qui par conséquent, limiterait la spéculation à court terme. Enfin, tous les fonds récoltés pourraient servir à contribuer au développement du Tiers Monde. Quels sont les principes de bases de la Taxe Tobin ? L'assiette et le taux seraient identiques dans tous les pays. Collectée et

Jones. Pendant la Première Guerre Mondiale, la NYSE propose la vente des bons du trésor pour aider à l’effort de guerre. II/ Les causes de la crise et son déroulement La crise de 1929, tristement célèbre, fut tout d'abord une véritable crise boursière qui part de multiples réactions en chaîne s 'étendit à d'autres secteurs, ainsi qu'à d'autres pays. Car en effet l'épicentre se trouvait à la bourse de New York le 23 octobre 1929, mais il eu des répercussions dans les mois et années à venir sur

répondre à cette question, nous verrons que les marchés financiers évitent la sclérose de l’économie en participant au financement et au progrès de celle-ci puis nous verrons que les marchés financiers sont à l’origine de certaines crises dû à la spéculation et à la rupture sphère réelle/ sphère économique. I. Les marchés financiers évitent l'inertie de l'économie Les marchés financiers sont utiles à l’économie au sens où ils lui permettent son financement et sa progression. A. Les marchés financiers

certain état des marchés 3 - Crise et spéculation boursière Mouvements récurrents de spéculation sur les marchés financiers. La logique spéculative s'articule autour de trois phases : - Identification d'un nouveau domaine de placement apparemment très rentable qui suscite une "bulle spéculative" généralement nourrie par le crédit (on va emprunter pour réaliser des placements et on considère qu’on va pouvoir rembourser grâce aux gains permis par la spéculation) : on va avoir des investissements importants

marquée de la production agricole. De plus, la guerre et les dépenses militaires qu’elle engendre ont pour conséquence de priver le gouvernement de millions de dollars qui pourraient être investis dans le secteur agro-alimentaire. Enfin, la spéculation boursière sur les aliments de base (maïs, riz, etc.) est des plus néfastes pour les populations des pays du Sud, puisqu’elle peut contribuer à faire augmenter drastiquement et en très peu de temps le coût de ces ressources. Prenons l’exemple de la crise

La crise de 1929 Les causes de la crise - Une spéculation boursière excessive : tout le monde cherche à faire du profit en achetant (souvent à crédit) et en vendant des actions. - Cette folle activité boursière cache une crise de la production : on produit trop par rapport à ce que les américains peuvent consommer. La demande ne suit plus l’offre.  - En conséquence il y a de plus en plus d’actionnaires qui veulent vendre au plus vite. Diffusion de la crise vers l'Europe et le reste du monde

|Crise |Marchés financiers en cause |Mécanismes en jeu | |1637 |Tulipomanie |Marché à terme |En février 1637, après plusieurs années de spéculation sur le cours des bulbes de | | | | |tulipes aux Pays-Bas, les prix s'effondrent brusquement provoquant la ruine de | | | |

l est vrai que la crise de 1929 a été également mondiale, après avoir trouvé son origine aux Etats-Unis, déclenchée par une spéculation boursière s’appuyant sur un crédit bancaire abondant et une économie florissante, en partie artificiellement, car prolongeant la période de reconstruction qui avait suivi la première guerre mondiale. L’inversion des anticipations à la suite du « jeudi noir » (24 octobre 1929) entraîna un effondrement boursier, comme en 2008, mais dans des proportions encore plus

adaptées aux non initiés aux techniques boursières, pour lesquels elles constituent un portefeuille de sécurité bien réparti. Les S.I.C.A.V-actions : Les SICAV-actions se composent à hauteur d’au moins 60% d’actions. 15 Les S.I.C.A.V-obligations : Le portefeuille des SICAV-obligations se compose à hauteur d’au moins 90% d’obligations. La nature des obligations proposées (à taux fixe ou à taux variable), permet de miser sur la sécurité ou sur la spéculation. Les S.I.C.A.V monétaires : elles sont