Spéculation boursière

boursier est donc occulte car il est lié à une sorte de magie et à des signes qui ne renvoient à aucune valeur concrète, dès lors, on peut assimiler les valeurs immatérielles des actions boursières à des « bulles de savon » qui crèvent au moindre choc, montrant qu’elle ne contenait que du vent. La spéculation boursière se fonde donc sur une valeur incertaine qui dépend des fluctuations du marché. La valeur en bourse est chimérique car elle fonctionne par un jeu d’écriture et de signature mensonges et

esthétique que l’œuvre suscite et laisse place à un véritable jugement esthétique. D’où cette analogie avec le monde de la finance qui rappelle que c’est le résultat qui, après coup précisément, garantie du succès d’une idée ou d’une initiative, boursière ou commerciale. Si la création artistique n’a rien à partager avec la finance, cette transition permet à Bergson tout de même de revenir à un élément incontournable qui entre dans la création artistique, à savoir l’artiste lui-même. Car s’il est

se met à stagner. Tout ceux qui spéculent en empruntant sont obligés de vendre pour payer leurs emprunts . La vente des actions précipite les cours vers le bas et la boule de neige est enclenchée (5) … On peut donc dire que cette folle activité boursière cache une crise de la production : on produit trop par rapport à ce que les américains peuvent consommer, la demande ne suit plus l’offre. (6) Suite à la crise de 1929, des mesures ultra protectionnistes ont étées prise afin de limiter les dégats

Article « Crises boursières, bulles spéculatives et raitionalité économique » Marie-Christine Adam et Ariane Szafarz Études internationales, vol. 20, n° 4, 1989, p. 781-790. Pour citer la version numérique de cet article, utiliser l'adresse suivante : http://id.erudit.org/iderudit/702578ar Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir. Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services

techniques. La gestion d’actifs connaît un développement sans précédent favorisé par l’apparition de nouveaux produits financiers toujours plus adaptés aux besoins des investisseurs, initiés par les ingénieurs financiers. De plus, la concurrence, la spéculation et le mécanisme d’arbitrage de plus en plus importants sur les marchés les rendent quasiment efficients et permettent aux cours des titres de refléter leur valeur intrinsèque. Ceci est également favorisé par une meilleure circulation de l’information

toute fascinant... 1. Généralités 1.1 - Le Rôle de la Bourse Il faut tout d'abord démystifier la Bourse : de même que la nature a horreur du vide, l'économie n'apprécie pas l'inutile. Ne croyez pas que la Bourse n'est qu'un lieu de spéculation, la spéculation est la face immergée de l'iceberg, car la Bourse a avant tout un rôle économique de premier ordre. Pour se financer, les entreprises ont deux solutions : soit emprunter de l'argent, soit émettre des actions. Lorsqu'elles choisissent cette

en moins, 16 millions d'actions sont a nouveau mis en vente le 29 octobre. C'est ce qu'on appelle un krach boursier. Autre raison : le marché intérieur est saturé, il y a trop de crédits et les marchés extérieurs se ferment. *Faits : La crise boursière entraîne une crise économique. Les entreprises licencient, sa crée une crise sociale avec du chômage. Aux Etats-Unis, 24% de la population active est au chômage puisqu'il n'y a plus d'argent pour les employés. *Conséquences : Les Etats-Unis n'importent

plus d’acquéreurs ou très peu, les ventes de l’actif ne se réalisent pas, les spéculateurs sont alors ruinés. Mais ceux qui leur ont prêté le sont tout autant. 3 La contagion à l’ensemble de la finance C’est à ce moment que de simple crise de spéculation, la crise devient financière. Ceux qui ont prêté aux spéculateurs ne sont eux-mêmes plus remboursés, ou alors avec des actifs qui ne valent plus rien. Mais l’histoire se complique : - les prêteurs étaient souvent eux-mêmes des emprunteurs auprès

inflation. Les néoclassiques quand à eux ont mis en œuvre l’existence d’un effet d’accélération financière qui explique que lorsque les cours boursiers augmentent, la prime de risque bancaire diminue et l’offre de crédit se développe au profit de la spéculation. Cette théorie d’accélérateur financier fait désormais l’objet d’un relatif consensus : les postkeynésiens l’ont adaptée tandis que la plupart des économistes proches de l’école des nouveaux classique comme SCHWARTZ (2002), l’ont finalement admise

dettes. Cela contraint les états à rendre leurs finances publiques plus saines et mettre une politique de rigueur afin de conserver une bonne note. MARCHE PRIMAIRE : achat de titres d’obligation ou d’action NEUVE. MARCHE SECONDAIRE : MARCHE DE SPECULATION assure la liquidité des titres cotés ainsi que sa valorisation. Rachat ou vente d’obligation ou d’action OCCASION. État est en besoins de financement depuis 2009 avec le plan de relance (Sarkozy). ACF : Agent à Capacité Financières (ménages/banques)