Spéculation boursière

économiques. Par la suite, l'économie est stimulée par la baisse des prix et par l'inflation. Les pâtes et papiers, l'hydroélectricité, les mines et l'automobile sont les secteurs industriels en expansion. Beaucoup d'Américains possèdent des valeurs boursières, persuadés de réaliser facilement d'énormes gains ,la classe moyenne (la « middle class ») américaine finance sa frénésie d’achats en spéculant à la bourse : l’indice boursier est multiplié par quatre en neuf ans. L’explosion du crédit permet

investit mais il est conservé sous forme de liquidité. Cela empêche l’égalité entre l’offre et la demande  crises de surproduction. C’est ce qui conduit Keynes à préconiser « l’euthanasie des rentiers ». La crise de 1929 obéit à ce schéma. La spéculation des petits épargnants motivée par des intérêts à court terme à conduit à une insuffisance des investissements car l’argent de l’épargne était retiré du circuit économique. Avec la crise, la demande globale a chutée et on est arrivé à une crise de

apparaître une baisse de la demande, sur le marché de l’art, et ce notamment de la part des acheteurs japonais. La baisse a touché tous les secteurs mais plus fortement le marché de l’art contemporain où l’offre est structurellement abondante et la spéculation fréquente. Le marché est le lieu de rencontre des offres et des demandes de biens ou de titres (dans le cas de la Bourse). C’est donc là que se fixe, si les conditions de la libre concurrence sont respectées, le prix d’équilibre des produits.

secteur bancaire qui va pouvoir financer la croissance des industries. Pour créer des industries on va avoir recours à des capitaux → création d’un système de société anonyme qui vont permettre d’apporter beaucoup d’argent au secteur financier ↘ spéculation au 16ème il y a eu la 1ère crise économique pour les tulipes en Hollande Les banques vont alors facilitées l’ouverture de l’épargne La croissance est donc liée à la productivité ↘ on produit plus vite et moins cher grâce à la technologie (ordinateur :

de 1929 aux Etats-Unis La crise a commencée le Jeudi 24 Octobre 1929. Il se passe un krach c'est-à-dire un effondrement de tous les cours boursiers. Cette crise commence donc par une crise boursière. Elle se propage dans le monde entier et se distingue par sa gravité et sa durée. 1.1) De la crise boursière à la crise bancaire En économie, il existe trois prix : * P : Taux d’inflation (croissance du NPG c’est-à-dire du niveau général des prix) * I : Taux d’intérêts (prix du capital)

l'intérêt direct des options comme outils de spéculation et de couverture du risque, la théorie des options offre une vision rénovée de la structure financière et ouvre des perspectives pour évaluer l'entreprise, les dettes financières risquées ou encore les financements complexes tels que les obligations convertibles. A. Structure financière et théorie des options: En début d'année, la société Augros présente un bilan avec une capitalisation boursière CP0 égale à 1 000 et une dette financière (évaluée

il est plus grave dans un pays produisant massivement des biens industriels qui ne sont pas immédiatement indispensables (voitures, radios...).  D'autre part ce danger est de plus en plus masqué par le recours au crédit. - Une folle spéculation boursière, liée à la prospérité et au climat d'euphorie. On achète sans aucune prudence et à crédit des actions dont le cours s'envole. Le prix moyen des actions double de 1926 à 1929. Les cours n'ont plus de rapport avec la réalité.  

est un phénomène de surproduction. L’ouverture de la Russie va stimuler le crédit des banques pour investir en Russie. La crise de 1825 : C’est une crise qui est surtout anglo-américaine. Pas un crise classique, mais une crise de spéculation. Entre 1818 et 1825, les récoltes agricoles sont à nouveau bonnes, l’Angleterre exporte du blé et le pays dégage des excédents commerciaux. Ces excédents cherchent à s’investir quelque part, et à cette époque, c’est en Amérique du Sud et en particulier

également que les produits dérivés peuvent être un important facteur d’instabilité. D’une part, parce qu’ils représentent l’un des principaux leviers à la disposition des spéculateurs, comme l’a bien montré George Soros, par exemple, à l’occasion de sa spéculation victorieuse contre la Livre sterling en 1992 ; d’autre part, et surtout, ces instruments peuvent conduire à de nouvelles formes d’instabilité, de nature systémique. Le cas des dérivés de crédit fournit une illustration de ce problème. Au cours de

Roaring Twenties, période faste pour la production industrielle américaine, dopée par la généralisation du travail à la chaîne et un loyer de l’argent modéré. Comme en 2008, tous ces éléments contribuent à favoriser un intense mouvement de spéculation boursière, assise progressivement sur une pyramide de dettes. Le crédit abondant entraîne un rythme d’inflation plus élevé. Le krach boursier débute avec un évènement qui diminue la confiance des investisseurs : des faillites (la Lehman Brothers, banque