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deux personnes passe à55% par les éléments non verbaux, et seulement à 7% par les mots. Le langage non verbal permet la communication entre personnes de langues différentes : le rire et l’expression de la douleur sont les expressions non verbales les plus universelles. Mais ces signaux ne sont pas universels et ils doivent être interprétés en fonction du contexte. La signification d’un geste dépend de la situation, de l'émetteur, du récepteur, de la culture, de la religion. Exemple : les vêtements blancs

nationale de marque… Apparition consommateur moderne. • Phase 2 : 1950-1970 : consommateur de masse démocratisation : généralisation des produits de consommation dans tous les groupes de la société. Apparition de la notion de plaisir (et non plus seulement des besoins). Age de l’individualisation et psychologisation de masse. Hédonisme de masse combiné avec la propagation de nouveaux biens durables (TVA, voiture, confort) Privatisation de la vie. • Phase 3 : 1970 à nos jours. Société

Democracy”, écrit par Michael Minkenberg, l’auteur part du constat qu’il existe un enracinement chrétien de la démocratie, et en regardant les autres religions (notamment l’Islam), il observe que ces pays n’ont pas atteint un même niveau de démocratie. De plus, il existe de nombreuses polémiques sur la question de la gestion des pluralismes culturels, qui posent aux problèmes aux démocraties modernes (débat post 9/11, sur le foulard et la burqua….). En se basant sur ces constats, l’écrivain amorce une recherche

Dakhlia est chercheur associé au laboratoire Communication et Politique. Il est aussi Maître de conférences en Sciences de l'Information et de la Communication à l'Université de Nancy 2. Il a notamment faire un Master de gestion de l'information et des médias à l'École Supérieure de Commerce de Paris et un doctorat en histoire du présent à l'École des Hautes Études en Science sociale. Ses spécialités sont : l'histoire et la sociologie de la presse écrite populaire (journaux de programme et magazines

. » -Les auteurs de la séquence sur l'humanisme repondent-t-il a cette definition de l’intellectuel ? Le terme intellectuel selon Alain Minc désigne une personne dont l’activité repose sur l’exercice de l’intelligence , qui s’engage dans la sphere publique pour faire part de ses points de vue ou pour défendre des valeurs en etant engagé dans une bagarre d’où la metaphore des « armes » pour les idées,et qui dispose une forme d’autorité. Ce terme n’existait pas lors de l’époque des auteurs de

tels que nous les présente sans fard Machiavel dans son manuel du pouvoir, Le Prince. Avec l’invention et la généralisation de l’imprimerie, le savoir s’est répandu largement dans la société. Des figures nouvelles accèdent à l’action d’influencer le plus grand nombre : intellectuels, libres-penseurs, hommes politiques, entrent alors en concurrence avec les dogmes officiels des pouvoirs temporels et spirituels. C’est au XVIIIe siècle que l’influence moderne prend forme avec l’émergence d’une presse

l'impossibilité de critiquer la télévision à la télévision d'où l'intitulé de son livre. Quelques mois plus tard il publie ce livre dans le but d'exposer les différentes contraintes imposées par les médias et plus précisément la télévision qui est la cause d'une censure dite invisible c'est-à-dire qui n'est pas visible par les auditeurs. II) Thème, thèse, structure Ce livre aborde le thème des médias et plus précisément la télévision et le journalisme. Le livre débute par un avant-propos et se divise

particulièrement proche du monde la science fiction, une expression qui suscite intérêt et questionnement, cette expression est « théorie du complot ». Est-ce un gros mot ? Est-ce un tabou dans une société sur-médiatisée ou la réponse divine est donnée par les médias ? Qui croit en ces théorie ? En janvier dernier, les attentats de Paris ont ravivé la flamme de ce cierge nommé « Théories du complot ». Et ce cierge est resté longtemps allumé, il s’est consumé pendant bien des jours, voire des semaines, pour certains

A l’ère de la sur-médiatisation, on voit apparaitre des critiques de plus en plus nombreuses à propos de ce que certain appellent aujourd’hui « l’industrie du mensonge », et qui concerne principalement les techniques de manipulations politiques et économiques. Ce mouvement contestataire remet en cause la morale des dirigeants politiques, et engendre un désir de réforme du système. C’est le manque de véracité qui leur est principalement reproché. A partir de là, on pourrait se poser la question suivante

L'humour en politique La politique n'intéresse plus l'ensemble de la société. Et les hommes qui l'incarnent n'ont plus le soutien de la population. Une désinvolture certaine alliée à un amusement a progressivement conquis la place publique. Les structures politiques semblent de plus archaïques quand elles ne sont pas altérées. Et c'est pourquoi l'on plaisante beaucoup de la politique, de ses personnages, de ses pseudo débats. C'est pour beaucoup un monde à part qui prête à rire. Il faut