Spinoza Et Humanisme

d’invention Les genres littéraires - Poésie (le sonnet, la fable, le pantoum, etc….) - Théâtre (la farce, la comédie, la tragédie, le drame) - Roman - Vocabulaire de la critique littéraire Etude d’oeuvres - Moyen-Age (épopée……) - Renaissance et humanisme Baroque et Classicisme - Siècle des lumières - XIXème (Romantisme, Réalisme, Symbolisme) - XXème (Surréalisme) - Epoque contemporaine (le Nouveau Roman – théâtre de l’absurde) - Etude d’une œuvre intégrale (choisie en fonction de l’actualité littéraire)

serait publié qu’en 1911 et qui témoignait de sa haine de la « sottise bourgeoise ». L’œuvre de FLAUBERT annonce une nouvelle étape d’évolution réaliste. Elle se base sur de nouveaux principes esthéhiques. Cette dernière remonte au panthéisme de SPINOZA, un philosophe hollandais du XVIIe siècle. Ce therme (le panthéisme) se compose d’un élément du grec : « pan » - « pantos » = « tout » et d’un substantif grec « theos » = « dieu ». Le panthéisme c’est une doctrine méthaphysique selon laquelle Dieu

sacrés. - La biologie métaphysique. - La commémoration. - Les prétendues sociétés animales. - Politique théologique. Sociologie positive. - L'état théologique. - La Grèce et Rome. - Le monothéisme. - La féodalité. - Réhabilitation du Moyen Âge. Spinoza. - État métaphysique. -Le régime Positif. - Le Positivisme constructeur IV. L'ESPRIT POSITIF. - La mathématique. - Le préjugé déductif. Képler mystique. - Cours populaire d'astronomie. - Curiosités astronomiques. - La morale. - Discipline

aux valeurs Olympiques ? - Quelles valeurs des performances sportives Echenoz met-il en œuvre ? - Le corps sportif de Zatopek (entrainement, endurance) - Reconstruction de l’athlète - Marchandisage ? Notions : Ascèse Dépassement Effort sportif Humanisme stoïcien Idole Mythe Activités : Lecture cursive Analyser publicité sponsoring Débat, les enjeux du sponsoring... Séance 4 : Bilan Les mobilisations du CIO. B.O : Les débats actuels sur le sport offrent un reflet de nos espoirs et de nos peurs quant

Flammarion, 2005, chapitre I, 87b. « Nous percevons bien des choses, et formons des notions universelles à partir des singuliers, qui se représentent à nous par le moyen des sens de manière mutilée, confuse, et sans ordre pour l’intellect. » Baruch Spinoza, Éthique, 2e partie, proposition XL, scolie II, Paris, Seuil, « Points Essais », 1999, p. 169. La perception « n’est point une vision, ni un attouchement, ni une imagination [...] mais une inspection de l’esprit, laquelle peut être imparfaite et confuse

l’athéisme, l’épicurisme et autres écoles philosophiques païennes. Or tout cela ne fait pas un athée – motif pour lequel on le met à mort –, mais plus probablement un genre de panthéiste éclectique. De toute façon hérétique parce qu’hétérodoxe... Spinoza, panthéiste lui aussi – et avec une intelligence inégalée –, se voit également condamné pour athéisme, autant dire : défaut d’orthodoxie juive. Le 27 juillet 1656, les parnassim siégeant au mahamad – les autorités juives d’Amsterdam – lisent en

c’est l’histoire du premier renversement du théologico-politique (Spinoza désigne le pouvoir politique qui s’appuie sur une théologie, une religion ; ex : théocratie c’est une monarchie de droits divins), après la période chrétienne (du 5ème – 6ème siècles au 18ème siècle), après la reprise de la domination politique du religieux, la modernité recommence. L’appellation athénienne est pléthore de référence hellénisante (humanisme, renaissance, on traduit Platon, révolutionnarisme). Pour la modernité

la nature et Dieu furent une seule entièreté » ; « nulle part n’existe un Dieu pour écouter nos prières » (La Voie du retour à la Nature, p. 299 et 298). Masanobu Fukuoka prêche aussi, d’une manière qui apparaît proche ici, le Deus sive natura de Spinoza : « Quand je dis : « La nature est Dieu », ce que j’entends par là c’est que par essence même, la nature et Dieu sont comme les deux faces opposées d’une seule et unique réalité » (La Voie du retour à la Nature, p. 269. Voir aussi les pages 269-285)

principes qui opposent l’éthique de la relation et l’éthique de l’excellence. En effet, comme l’explique Fabre, ces deux éthiques renvoient à des conceptions irréductibles de l’humanisme, à savoir : « un humanisme de la transcendance de l’œuvre qui trouve sa plus haute expression chez Heidegger, et un humanisme de la transcendance de l’Autre qui s’élabore chez Lévinas » (p. 32). Cependant, il nous semble que le fait de devoir favoriser la primauté de l’une de ces deux conceptions de l’humanité dans l’homme

part entière, parce que nous croyons à l’inachèvement de l’homme, ces politiques de médias continuent à nous disqualifier. Ces jouisseurs de la bureaucratie imposent à l’école une division sociale du travail complètement rétro. Sous couvert d’une humanisme de façade, ils ont détruit le projet de faire de la pédagogie une science humaine. Occupant des postes clés dans l’appareil d’Etat, tous les partisans de cette pédagogie de la déshumanisation ont infantilisé les futurs enseignants, et mis l’école