Spinoza Si Donc Personne Ne Peut Renoncer

classique (Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur

meme et entre moi et monde. l'homme seul est dotte de conscience. Elle fait de lui une singularite, un individu responsible, maitre de son destin, et non plus reduit a etre le joue des circostances exterieures la conscience est donc ce qui permet la conscience en soi et donc la construction de soi de son idenetite   a. Une presence a soi meme l'introspection est (platon) "la dialogue de l'ame avec elle meme" qu'elle aie la capacite a faire retour sur soi a explore nos etats interieures a fin

ou d’une autre, ce qui va dans le sens de ce que nous croyons être notre intérêt individuel ou collectif, ou encore l’intérêt d’êtres qui revêtent pour nous de l’importance (ce qui peut aller jusqu’à l’humanité entière). Mais cela ne garantit en rien la légitimité de ce que nous espérons (par exemple une personne peut espérer la mort prochaine d’une autre dont elle a acheté le bien en viager…). D’autre part, comme tout sentiment, l’espoir se caractérise par l’absence de maîtrise que nous avons sur

Peut-on être plus ou moins libre ? Tout d'abord, la liberté est perçue différemment selon l'individu. Il peut choisir s'il veut être « plus ou moins libre », expression peu claire certes, mais il y a des degrés à celle-ci. Être libre signifie la faculté d'agir selon la volonté de l'Homme en fonction des moyens dont il dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Il est libre lorsqu'il agit à sa guise dans ses faits et gestes. La liberté serait le résultat d'un travail individuel ou collectif

EST-CE UNE BONNE RÈGLE DE VIE ? Pour définir le désir le plus simplement possible, nous pourrions nous reporter aux propos de Platon qui affirme que : « Le désir est l'expression d'un manque ». Exemple : je ne peux désirer une deuxième télévision si j’en ai déjà une qui me satisfait.   Le désir devient alors synonyme de souffrance et impose au sujet de combler ce dernier. Le désir, c'est ce qui anime principalement la vie quotidienne de l'Homme. Celui-ci s'efforce ainsi, sans relâche d'assouvir

(Sénèque, Epictète, Marc-Aurèle) 6 a. Distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas 6 b. Modifier nos désirs 7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher

déterminée, par une quelconque affection d'elle même, à faire quelque chose » ce sont les mots du philosophe Spinoza. Le désir est toujours désir de quelque chose. Il est d'abord la prise de conscience d'un manque, qu'il soit vital ou non. Ainsi, le désir pourrait se définir par l'attirance et la recherche de quelque chose de désirable, que celui-ci soit le plaisir, un objet, une personne ou d'autres sujets désirants. Obtenir ce que l'on désir conduirait à la satisfaction, à la plénitude, à l’apaisement

appliqué généralement par quelqu’un de supérieur à soi ou par une personne plus vieille. Comment liée l’idée de liberté et la necessité d’obéir ? En quoi obéir nous ferait renoncer à notre liberté ? La liberté est une volonté d’indépendance par rapport au monde extérieur, quant à l’obéissance c’est obéir à des règles imposées. On peut donc s’interroger sur le fait de savoir si l’obéissance est compatible avec la liberté ou si la liberté est l’absence d’obéissance. La liberté signifie t-elle

conscience ? Personne, dit JS MILL dans ce texte extrait de L'Utilitarisme . Plus généralement ce texte invite à réfléchir au problème que pose le rapport entre d'une part l'idéal du bonheur partagé par tous, et d'autre part les idéaux intellectuels et moraux recherchés par quelques-uns. L'intelligence, la connaissance et la conscience morale sont-elles des obstacles à l'atteinte du bonheur ? On peut le penser. Mais même si l'on en est persuadé, MILL affirme dans un premier temps que personne ne renoncera

connaissance et la conscience morale sont-elles des obstacles à l'atteinte du bonheur ? On peut le penser. MILL affirme dans un premier temps que l'intelligent insatisfait de mène une existence valorisante. Mais alors, comment atteindre le bonheur sans être satisfait de soi-même? Et dans un second temps qu'au contraire l'imbécile satisfait de lui-même possède une existence bien moins valorisante. Quel sens de satisfaction peut se donner l'imbécile heureux ? La thèse de John Stuart MILL selon laquelle l'intelligent