Spinoza Spinoza La Paix Guerre

Interrogation dans le monde après la 2nde guerre mondiale sur la nature des études juridiques : ne doivent elles être que ce que l’on fait dans les écoles de droit ? Depuis les années 1990, il y a eu un certain enrichissement pour éclairer le droit autrement que par la simple connaissance de la règle. Remarque : Cela va d’abord passé par la création du cours de liberté fondamentale (liberté publique). Réaction du fait que lors de la guerre un certain positivisme a entrainé un aveuglement

l’indifférence, la générosité et même la pitié. 1. Le conflit des consciences Bien de penseurs ont considéré que le conflit est le rapport le plus primitif et le plus authentique entre les hommes. Héraclite, par exemple, enseignait : « Il faut savoir que la guerre est universelle, que la justice est une lutte et que tout arrive à l’existence par la discorde ». Hegel, prenant le contre-pied de Descartes, affirme que la première certitude n’est pas le « Cogito » mais le conflit des consciences. Car, pour lui

ayant des désirs souhaite les satisfaire et serait donc capable de tuer pour y parvenir si aucune restriction n’existe. Cette limitation de l’Etat est nécessaire pour parvenir à une organisation stable de la société, l’état de nature serait un état de guerre perpétuelle, selon lui cet Etat aura cette « puissance commune » et permettra aux individus de « ramener toutes leurs volontés à une seule volonté », ce qui permet une évolution commune des individus. Peut-on permettre à l’Etat

ou nous en empêchent-ils ? " Aimez vous les uns les autres " Autrui peut-il mieux me connaître que je me connais moi-même? Dans le sujet " A quoi servent les autres ?", que pensez vous du plan suivant : l / les autres nous sont néfastes (jugement, guerre, manque de liberté) , 2 / les autres peuvent tout de même nous être bénéfiques mais il faut savoir faire la différence (Autrui) Faut il vivre pour autrui ? Autrui peut il mieux me connaître que je me connais moi-même ? Autrui peut il mieux me connaître

pourtant Maximilien de Robespierre. Décidément, la question n’est pas facile. Deux phrases me reviennent soudain à l’esprit : « L’homme libre ne pense à rien moins qu’à la mort et sa sagesse est une méditation non de la mort mais de la vie » (Spinoza) « Tout condamné aura la tête tranchée » (Article 3 du Code pénal, 1791). Et en écho à cette dernière, la Reine d’Alice au pays des Merveilles, totalement hystérique, avec son « Coupez-lui la tête » Un souvenir d’enfance aussi : dans la cour

exemples récents … P. Braud nous met en garde vis-à-vis d’une logique selon laquelle il ne faudrait considérer comme violence que ce qui n’est pas considéré comme légitime. Il s’agit donc de s’affranchir de tout jugement moral. -Machiavel. -Hobbes, guerre de tous contre tous 2) Typologie - Paul Wilkinson a proposé une typologie de la violence politique afin de délimiter le champ des actes que recouvre ce concept. En s’inspirant des travaux de Samuel Huttington, il propose de qualifier les formes

alimentaire était étonnante : du pain, bien sûr, peu de viande mais du poisson, des légumes et des laitages. Mieux alimenté, le Néerlandais s'avérait plus résistant que ses contemporains aux fléaux des épidémies qui ravagèrent l'Allemagne pendant la guerre de Trente Ans et l'Angleterre dans les années 1660. C'est pourquoi la population crût sensiblement à une époque où l'Ancien Régime démographique équilibrait ailleurs les naissances et les décès. La population globale passa ainsi de 1,5 à 2 millions

écrit en 1927 Être et temps, qui va profondément influencer Sartre puisqu’il publie en 1943 Être et néant. A partir de là, Sartre devient un maître à penser et se développe la philosophie de l’existence : l’existentialisme. En 1945, à la fin de la guerre, il donne une conférence pour clarifier ses explications, qui sont publiées en 1946. 1er § : Sartre définit l’essence : « L’ensemble des […] d’un coupe-papier. » L’essence repose d’abord sur un certain concept que l’on met en place. Il dit qu’il

suffit à lui-même, il est autarcique, indépendant. Il n'a pas besoin de compter sur les autres, ce qui le placerait sous leur dépendance. Il n'a pas besoin non plus de nuire aux autres. Les hommes n'ont donc de raison ni de s'unir ni de se faire la guerre. Mais les facultés de l'homme naturel sont également proportionnées à ses besoins. Se développent seulement les facultés utiles. Dans la nature, seules les facultés utiles à la survie sont nécessaires. Par conséquent, la force, les sens (par exemple

Thomas HOBBES, De Cive et Le Léviathan (*) ✓ Charles de MONTESQUIEU, L’Esprit des lois ✓ Jean Jacques ROUSSEAU : Du Contrat social (*) ✓ John LOCKE, Du gouvernement civil (*) ✓ Baruch de SPINOZA, Tractacus politicus (*) ✓ Emmanuel KANT, Projet de paix perpétuelle (*) ✓ Georg Wilhelm Friedrich HEGEL, Philosophie de l’Histoire ✓ Karl MARX, Le Capital ✓ Alexis de TOCQUEVILLE, De la démocratie en Amérique (*) ✓ Raymond ARON, Démocratie et