Spinoza Traité Des Autorites

au condition de la vie en société de limiter la liberté d’action de tous = empêchement pour garantir à tous une sphère égale de droit, que le Droit vienne limiter la liberté d’action Droit = ensemble de l’appareil juridique mis en place par une autorité publique qui a le pouvoir de punir en cas de non respect des obligations décrétées droit= droit de la personne Quand on a une liberté qui n’est pas encore un droit on a cette liberté aussi longtemps que par chance personne ne nous en empêche

cette doctrine, qui articule une conception et une institution, l’idée de légitimité et l’Etat, qui associe un principe à son application, « la bonne puissance » et l’usage de l’autorité, prospère en Europe extrême-occidentale. 3 4 L. DUGUIT, Traité de Droit constitutionnel, 3e Ed., Paris, Ed. de Boccard, 1927, Tome 1, p.552. Ibid. 5 Cf. la discussion dans CARRE DE MALBERG, Théorie générale de l’Etat, Paris, 1920, (reprint C.N.R.S., 1962), tome 1, chap.II. La souveraineté articule une triple

comme plus profond comme plus vrai que tous les systèmes de droits positifs, existants ou possibles. Du même coup, la notion de nature s’inscrit dans toute philosophie politique. Très tôt surgit la grande interrogation, la Nature est-elle une autorité suprême, à laquelle le droit positif, le droit humain doit faire référence pour avoir de la force et de la valeur, ou bien, la Nature doit-elle s’effacer devant les conventions que les Hommes adoptent pour régir les cités. Ce débat naît en

sens, au moment où Créon a prononcé cet édit, puisque le garde vient d'apprendre la découverte de la transgression. Avant même l'acte d'Antigone, le Coryphée se demandait si les dieux étaient en accord avec l'ordre donné par Créon pour asseoir son autorité. Ce doute soulève la colère de Créon: les dieux se soucieraient-ils de ce mort, qui était venu pour détruire leurs temples et toutes les lois ? Non, "c'est que depuis un moment il y a dans cette ville des hommes qui s'impatientent et qui murmurent

sujet de l’ayahuasca 2.5. Les substances psychédéliques − Classification pharmacologique 2.6. Les « États modifiés de la conscience » 2.7. Gilles Deleuze et Félix Guattari : l'inconscient 2.8. Gilles Deleuze et Félix Guattari : les devenirs 2.9. Spinoza; les affects, la rencontre et la question de la prudence 3. Objectifs et hypothèse………………………………………………………………………… 4. Matériel et méthodes d'analyse……………………………………………………………… 4.1. Matériel 4.2. Méthodes d’analyse 4.3. Le contre-transfert du chercheur 5

presse inspirés par le racisme ou la xénophobie“. Le fait de confier le jugement des délits de presse à la Cour d’assises témoigne de la volonté de protéger la presse des manoeuvres dilatoires que pourraient intenter les personnes, en ce compris les autorités publiques, indisposées par les opinions de la presse. Toutefois, vu la difficulté de mettre sur pied toute une procédure d’assises pour des délits de presse, on en est arrivé à une situation de quasi immunité pénale de la presse3. Responsabilité

➢ Montaigne développe un scepticisme moral au XVI ème siècle ➢ Pascal (XVII ème siècle) hérite de ce scepticisme moral : « La vraie morale se moque de la morale » ➢ Descartes tente de fédérer en créant la morale de la Générosité ➢ Spinoza crée L’Ethique XVIII ème siècle : Les Lumières réussissent à construire une éthique humaniste (qui provient de leurs ancêtres) et qui est universaliste (réuni toutes les religions + les athées) Elle repose sur la liberté et l’égalité > Fondement

Bibliographie (S2), Bacon, La sagesse des Anciens, trad. J.-P. Cavaillé, Paris, Vrin, 1997 Essais, trad. M. Castelain, Paris, Aubier (bilingue), 1964 Du progrès et de la promotion des savoirs, trad. M. Le Doeuff, Paris, Gallimard, 1991 Essai d'un traité sur la justice universelle ou les Sources du droit, trad. J. B. de Vauzelles, Paris, Klincksieck, 1985 Hélène POLITIS, « Kierkegaard lecteur de Hegel et de Feuerbach » Le séminaire sera centré sur la lecture rigoureuse (et passablement difficile)

mœurs ; mais on est tout étonné d'y voir que ces gens qui ont décrit tant de choses, n'ont dit que ce que chacun savait déjà, n'ont su apercevoir à l'autre bout du monde que ce qu'il n'eût tenu qu'à eux de remarquer sans sortir de leur rue, et que ces traits vrais qui distinguent les nations, et qui frappent les yeux faits pour voir, ont presque toujours échappé aux leurs. De là est venu ce bel adage de morale, si rebattu par la tourbe philosophesque, que les hommes sont partout les mêmes, qu'ayant partout

pas ceux que l'on croit ; les concepts qu'il faut en tirer ne sont pas nécessairement transparents aux mots. Si donc les rapports de la justice et de la force sont le sujet du texte, cela ne veut pas dire que le texte définisse l'une et l'autre et traite par là honnêtement son sujet. Les rapports de la justice et de la force servent ici l'établissement du droit, sa fondation. Le véritable sujet du texte est cet établissement. C'est la " raison des effets " du droit qui est ainsi l'objet des préoccupations