Spiritualité

PRATIQUE SOIGNANTE & PRATIQUES RELIGIEUSES Aumôneries des Hôpitaux Universitaires de Genève 9me édition revue et corrigée – juin 2010 1 / 22 Octobre 2010 SOMMAIRE Religion, spiritualité et question de santé I. Eglises chrétiennes Eglise Adventiste Eglise Anglicane Eglise Apostolique Arménienne Eglise Catholique chrétienne Eglise Catholique romaine Eglise Orthodoxe Eglise Protestante II. Grandes religions Baha'i Bouddhisme Hindouisme Islam Judaïsme III. Autres communautés religieuses Animisme

Dieu. - L’obsession pour la méthode dans la prière va aboutir à une spiritualité excessivement intellectuelle. Dans le souci de trouver des méthodes diverses, on est tombé parfois dans un « devotionalisme » très sentimental, peu intellectuel et contraire au dogme chrétien. - En insistant sur la distinction entre action et contemplation, la sainteté et la vie se sont alors vues incompatibles. 2. La découverte de la spiritualité laïcale : Toute cette déroute va donc obscurcir l’appel universel

réflexion : Le patrimoine historique qu’est le Mont Saint Michel Réalisation d’une fiche de travail pour répondre à la problématique : « Quels éléments du paysage traduisent la spiritualité ou la religiosité du site du Mont Saint Michel ? » Résultats du brainstorming : L'isolement est propice à la spiritualité et le Mont est un îlot isolé à marée haute, La mer symbolise le danger de se perdre, de se noyer, danger de quitter la terre ferme pour rejoindre le mont par des sables mouvants,

permet à l'esprit de s'insérer dans la réalité. {draw:rect} Spiritualité Du latin spiritus, esprit. D'un point de vue théologique, la spiritualité est ce qui concerne la vie spirituelle, par opposition à ce qui est matériel. Elle est fondée sur la croyance à l'existence d'une réalité de l'esprit de nature différente de celle du corps, c'est-à-dire de la réalité matérielle de la vie. Dans ce sens là, il peut y avoir spiritualité sans religion, car ni les dogmes, ni les rites, ni le caractère

exprime aussi le besoin de la Nature dans la vie de l'homme. Au vers 1, la métaphore que "la Nature est un temple" donne une connotation religieuse à la Nature, et qu'elle correspond a l'homme par spiritualité. Pour ajouter à ceci, au vers 14, "l'esprit" et "sens" représentent aussi cette spiritualité entre l'homme et la Nature. La Nature est comparée à l'homme par son esprit, et Baudelaire montre non seulement la corrélation entre l'homme et la Nature, mais aussi entre l'humanité en marquant que

obéissance envers les professeurs : "révère tes précepteurs", on reconnaît le précepte évangélique : aimer son prochain comme soi-même se méfier des tentations du monde : "abus du monde" et mauvaises fréquentations :"fuis la compagnie..." IV- Spiritualité et humanisme Cette partie reprend des éléments déjà pris en compte dans les parties précédentes. Je la rajoute au cas où la problématique à l'oral du bac porterait davantage sur cette dimension morale Auquel cas il faudrait faire un plan associant

autres. D’autre part, en pénétrant dans le Temple, nous sommes tous égaux, car nous avons pris le soin, de laisser à la porte du Temple, tout ce qui nous différencie les uns des autres, tout ce qui peut faire obstacle à notre introspection, notre spiritualité ; notre Education, notre Culture, nos croyances, notre formation. Avec pour finalité, faire émerger, l’existence de notre essence. C’est en laissant les métaux à la porte du Temple, que nous pouvons également prendre la pleine mesure de la

foi, ou l’acte de croire, se situe toujours en excès par rapport aux croyances, doctrines et rites. D’autre part, la foi, ou l’acte de croire, s’incarne, se concrétise dans des croyances, doctrines et rites. Quand le premier pôle l’emporte, la spiritualité domine dans la religion, lorsque le deuxième pôle éclipse le premier, alors c’est la superstition qui prévaut. Une remarque sur le vocabulaire. J’utilise trois termes (superstition, religion et foi) aux sens très variables selon les contextes

recherches et des techniques : la conquête de la lune (documents 1 et 2), la progression des recherches et des savoirs (documents 3, 4, 5). Les motivations irrationnelles : les mythes anciens et modernes (documents 3, 4, 5), les nouvelles formes de spiritualité (documents 3 et 4), la croyance dans le progrès (document 3), le goût humain pour le sensationnel et le spectaculaire (document 4). Les causes plus rationnelles : motivations scientifiques, économiques et militaires (documents 4 et 5). Les causes

de Goldmund : l'homme n'avait-il pas un obscur besoin de sang, une tendance au péché, au plaisir, au désespoir? et n'était-il pas trop facile de se tenir à l’écart des tentations? À la fin, Golmund lui dit ne pas croire qu’il puisse arriver à la spiritualité par la sagesse, sans avoir aimé, en brûlant les étapes. Mais comment veux-tu mourir un jour, Narcisse, puisque tu n'as point de mère ? Sans mère, on ne peut pas aimer, sans mère on ne peut pas mourir. En prononçant ces mots avant de mourir, il