Spleen Et Idéal

ses veines dans Spleen III, montrant le mal omniprésent. De plus, dans sa description du Spleen, Baudelaire évoque beaucoup le sujet de la mort et du mal et de la souffrance qu’elle cause. On peut citer le poème « Une Charogne » qui est une description détaillée d’un corps en décomposition. L’angoisse du temps qui passe est le thème du poème « L’Horloge » qui annonce la mort proche. L’angoisse est très présente dans la section « Spleen et Idéal » notamment dans le poème « Spleen » qui dépeint la

pousse : le « mal ». Le poète divise son recueil en six parties : Spleen et idéal, Tableaux parisiens, Le Vin, Fleurs du mal, Révolte et La Mort. Cette construction reflète son cheminement, sa quête : spleen et idéal, tout d'abord, constitue une forme d'exposition ; c'est le constat du monde réel tel que le perçoit l'écrivain. Les 3 sections suivantes en procèdent, dans la mesure où elles sont des tentatives de réponse au spleen, d'atteinte de l'idéal. Baudelaire s'aventure à cette fin dans les

bourgeois qui composent la société, et est plutôt nostalgique des idéaux que la Révolution Française a laissés dans son esprit. Le romantisme est le courant qui colle le mieux à Baudelaire, qui est déchiré entre le plus noir des désespoirs et la recherche de l’idéal. Ses poèmes le Spleen et l’Élévation arborent des représentations antithétiques du monde. Effectivement, le premier est pessimiste et le second, optimiste. Dans son poème Spleen, l’artiste présente une vision pessimiste du monde, où l’espoir

poésie, puis nous traiterons du Spleen dans ce poème. En effet, cette passante représente un Idéale. Face à cette femme d'une rare beauté, Baudelaire est subjugué, on le remarque par le rythme haché des vers 6 et 7 : «  Agile et noble, avec sa jambe de statue/Moi, je buvais, crispé comme un extravagant », l’adjectif « crispé » insiste sur la paralysie qu'à provoqué l'arrivée de cette passante chez Baudelaire. Assurément, le poète la considère comme son idéal de beauté, il en fait l'éloge :

Exemples de questions sur les lectures analytiques de la séquence poésie: Spleen 4 : - Comment le spleen s’exprime-t-il dans ce poème ? - Par quels procédés le poète parvient-il à rendre son mal plus poignant ? - Comment dans ce poème la douleur physique et la douleur morale sont elles évoquées ? - Pourquoi ce poème correspond il bien au titre du recueil (= spleen et idéal !!) dans lequel il s’inscrit ? L’Albatros : - Quelle définition du poète est donnée ici 

Donnez-moi la main. Et quant aux persécutions, ce sont des grandeurs. Le l’incompréhension de la part de ses autres contemporains, et du public. Son œuvre se résume à un seul recueil : Les Fleurs du mal, auquel il faut ajouter les poèmes en prose du Spleen de Paris, des essais ( les paradis artificiels, étude sur les effets du haschich et de l'opium, ses articles de critique et sa correspondance. ⇨ Conclusion : C’est un génie mal compris, en avance sur son temps, dont la vie a été la première

et l'essence de toute une vie. Baudelaire divise son recueil en six parties : Spleen et idéal : Spleen (= solitude, mélancolie, mal être). C'est le constat du monde réel tel que le perçoit le poète (comment il voit le monde réel). Les trois sections suivantes sont des tentatives de réponse au spleen, des essais pour atteindre l'idéal. L'ennui est à la fois la source et le moteur du spleen. Il tente d'échapper au spleen tout d'abord par l'art, puis par l'amour (cette sous-partie est une sorte d'album

par Baudelaire.  Il est formé de 6 parties (avec des ajouts notamment en 1866 avec « Les Épaves » et en 1868 avec « Apport de la troisième édition) évoquant les 6 grands thèmes principaux : le poète ; la femme ; la nature ; le temps ; le mal ; le spleen. I) L'auteur : Charles-Pierre Baudelaire naît à Paris le 9 Avril 1821 et meurt en 1867, il a donc vécu la Monarchie de Juillet (1830-1848), la IInde République (1848-1852) ainsi que le IInd Empire (1852-1870). Il naît et grandit dans le Romantisme

une troisième voie, celle de la modernité en poésie. Il explore des thèmes nouveaux comme la ville au contraire des romantiques qui puisent leur inspiration dans la nature. Il fait entrer la laideur dans la poésie, mélange le beau et le trivial, le spleen et l’idéal. Il évoque l’ivresse, le voyage, les paradis perdus. Son père décède lorsqu’il a 5 ans, ainsi il grandi avec sa mère et son beau-père le général Jaques Aupick avec lequel il ne s’entend pas car il incarne selon lui, des valeurs militaires

RÊVEDémarche individualiste : présenter sa vision PERSONNELLE de son tempsSymbolisme = premier courant littéraire de la modernité.Beatrix Beata, ROSSETTI, huile sur toile, 1872,Tate Brittain Museum*Charles Baudelaire (1821-1867)Poète (Les fleurs du mal, Le spleen de Paris)Critique d’art (Écrits esthétiques)Traducteur (Edgar Allan Poe)*La figure du Dandy :Opposition au conformisme bourgeoisRefus du culte du travail, de l’efficacité, du capitalismePromotion de la vie de bohèmeExpériences des « paradis artificiels »