Spleen Versification

Ronsard: « Comme on voit sur la branche » Du Bellay: “Heureux qui comme Ulysse....” Etude du sonnet, la versification, les figures de style, le registre lyrique Répondre à des questions de compréhension Etude du sonnet, la versification, les figures de style, le registre lyrique Répondre à des questions de compréhension Louise Labé: “Je vis, je meurs....” Etude du sonnet, la versification, les figures de style, le registre lyrique Répondre à des questions de compréhension Itinéraire 1: Petrarca

Si, le corset brutal emprisonnant tes flancs, Il te fallait glaner ton souper dans nos fanges Et vendre le parfum de tes charmes étranges, L'œil pensif, et suivant, dans nos sales brouillards, Des cocotiers absents les fantômes épars ! Versification : Forme : un poème en alexandrins, aux rimes suivies, sans strophe Rimes : en général riches, mais sans relief particulier Rythme : (1) dans la description, - une grande abondance de mots très brefs (1 ou 2 syllabes), des phrases (ou unités

vitale du poète. Structure de l´œuvre On trouve une structure assez longue : Dans la première partie l´auteur va développer en 80 poèmes la double postulation du poète : le spleen et l´idéal. Pour Baudelaire, le poète cherche avec sa poésie de guérir son âme qui se trouve prisonnière. Le spleen va toujours s´imposer en écrasant l´esprit de poète. L´idéal n´est pas perdurable, il ne dure que quelques instants. Le poète doit alors chercher d´autres sources d´inspiration pour voir si

L'albatros ; Charles Baudelaire Introduction : Ce poème est extrait de "Spleen et idéal", la deuxième partie du recueil Les Fleurs du mal. Cette partie évoque l'homme déchiré entre l'aspiration à l'élévation et l'attirance pour la chute, déchirement à l'origine de l'envie nommé spleen, indissociable de la condition humaine et qui finit par triompher. L'albatros traduit chez Baudelaire la conscience d'être différent des autres. Baudelaire a recours à une image très suggestive pour dépeindre sa

détruit et annonce sa fin. Pour lui, le temps était démesurément long, parce qu’il était un oisif, un velléitaire qui, inlassablement, prenait chaque soir de bonnes résolutions qu'il ne tenait pas le lendemain, un mélancolique qui subissait le poids du spleen, de l'insupportable et maladif ennui, un impuissant incapable de vivre, d’agir, de voyager, de travailler, d’aimer. Aussi fit-il du temps «l'ennemi» (voir le poème de ce titre), le monstre qu'il lui fallait tuer : «Le Temps mange la vie

caractérise la confusion qui saisit Jules Laforgue sous l’effet de la drogue, mais s’oppose également très fortement à la première strophe dépourvue de toute activité. Comme pour renforcer cette idée d’instabilité : le « je » devient « on » et la versification classique du sonnet disparait dans les deux tercets. Mais cette expérience n’est qu’une parenthèse et l’auteur doit rejoindre la réalité « je m’éveille ». Ce retour s’opère doucement « Et puis », le rythme ralentit brusquement dans la dernière

C. Baudelaire, « Un Hémisphère dans une chevelure » (Le Spleen de Paris, 1862) Lecture analytique « Un Hémisphère dans une chevelure », texte de Baudelaire publié en 1862 dans Le Spleen de Paris, est la réécriture en prose d’un poème versifié, « La Chevelure », qui apparaît dans la section « Spleen et idéal » des Fleurs du mal (1857). On trouve dans ces deux poèmes des échos à la vie du poète. Charles Baudelaire (1821-1867) est parisien d’origine mais a séjourné pendant sa jeunesse

compréhensible . De plus, les adjectifs qualificatifs « languissant », « vieux » et funèbre » (v.3) nous donnent l’impression d’un air morne, évoquant peut-être la mort. .On peut aussi distinguer la musicalité du poème par le choix de sa versification .La diversité des rimes, embrassées dans le premier quatrain et croisées dans les trois autres quatrains, ainsi que l’utilisation des allitérations en « -s » renforce cette idée de musique et crée un effet d‘harmonie. De plus le poème est écrit

I – Spleen (« Quand le ciel bas et lourd ») de BaudelaireIntro :· Baudelaire (1821-1867) : poète de la modernité, se situe au carrefour de toutes les influences du 19s (romantisme, symbolisme, parnassien)· Spleen : 1857, poème, extrait du recueil Les Fleurs du Mal (la plus grande œuvre de sa vie, et aussi la plus connue), section Spleen et Idéal, dernier des 4 Spleen, poème angoissant et mélancolique, parle d’une des périodes la plus sombre de la vie du poète (dépression), associe la beauté de son

Est-elle brune, blonde ou rousse ? – Je l’ignore » (v. 9), « Mon rêve familier » de Verlaine « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant / D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime » (v. 1 et 2) (« Mon rêve familier » de Verlaine) Entre « Spleen » et « Élévation » de Baudelaire « Où l’Espérance, comme une chauve-souris, / S’en va battant les murs de son aile timide / Et se cognant la tête à des plafonds pourris » (v. 5 à 7) « Mon esprit, tu te meus avec agilité, / Et comme un bon nageur qui