Splendeurs Et Misères Des Courtisanes

conflit des besognes vulgaires, Et sur vos vanités plates; et si naguères On le vit au milieu des hommes, épousant Leurs querelles, pleurant avec eux, les poussant Aux guerres, célébrant l'orgueil des Républiques Et l'éclat militaire et les splendeurs auliques. Sur la kitare, sur la harpe et sur le luth, S'il honorait parfois le présent d'un salut Et daignait consentir à ce rôle de prêtre D'aimer et de bénir, et s'il voulait bien être La voix qui rit ou pleure alors qu'on pleure ou rit,

tambourins, qu’une étrange harmonie, Et de rouges habits un superbe appareil. Du courtisans in les Regrets sonnet 81 Marcher d’un pas grave, et d’un grave sourci (…) voilà de cette cour la plus vertu Dont[1] souvent mal monté[2] mal sain[3], et mal vêtu, Sans barbe[4] et sans argent, on s’en retourne en France Autre portrait satirique : sonnet 86 : de retour en France face aux mêmes courtisans Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil Ces vieux singes de cour, qui ne

Et ils appellent cela être en progrès ! dit mademoiselle des Touches, je voudrais savoir où est le progrès. − Ah ! le voici, dit madame de Nucingen. Autrefois une femme pouvait avoir une voix de harengère, une démarche de grenadier, un front de courtisane audacieuse, les cheveux plantés en arrière, le pied gros, la main épaisse, elle était néanmoins une grande dame ; mais aujourd'hui, fût−elle une Montmorency, si les demoiselles de Montmorency pouvaient jamais être ainsi, elle ne serait pas une femme

touché les petits bronzes des dossiers. Est-ce assez doux comme patine ? Mais non, à pleines mains, touchez-les bien. - Ah ! si Madame Verdurin commence à peloter les bronzes, nous n’entendrons pas de musique ce soir, dit le peintre." • Les courtisans, les avocats et les professions en général : dans le Mariage de Figaro, Beaumarchais dénonce le formalisme ridicule des gens de justice ; dans Dom Juan, Molière s’en prend aux médecins • Les hypocrites et les flatteurs : Les regrets de Du Bellay

que Dieu est la lumière immuable. Chapitre VIII. Alypius entraîné aux sanglants spectacles du cirque. Vaines prédictions des astrologues. Chapitre IX. 79 Chapitre VII. Son ami Alypius. 95 Chapitre VIII. 78 Chapitre VI. Misère de l’ambition. Ses doutes sur l’origine du mal. Chapitre VII. Chapitre V. Nécessité de croire ce que l’on ne comprend pas encore. 95 Chapitre VI. 76 Chapitre IV. Assiduité d’Augustin aux sermons d’Ambroise. Dieu étant le

chef-d’œuvre de l’art, avec Salammbô[footnoteRef:5], ou Le Vicomte de Bragelonne[footnoteRef:6]. [2: Citation erronée mais l’idée est fidèle à Baudelaire] [3: Héros du roman de Balzac Splendeurs et misères des courtisanes] [4: Peintre hollandais du XVIème siècle] [5: Roman historique oriental de Flaubert] [6: Roman de Dumas, troisième tome d’une trilogie débutée avec Les Trois mousquetaires ] CYRIL : Réprouverais-tu donc

l’amant que tu ne connaîtras pas ; les fleurs monstrueuses ; les parfums qui font délirer ; les chats qui se pâment sur les pianos et qui gémissent comme les femmes, d’une voix rauque et douce ! « Et tu seras aimée de mes amants, courtisée par mes courtisans. Tu seras la reine des hommes aux yeux verts dont j’ai serré aussi la gorge dans mes caresses nocturnes ; de ceuxlà qui aiment la mer, la mer immense, tumultueuse et verte, l’eau informe et multiforme, le lieu où ils ne sont pas, la femme qu’ils

est peu d’entre nous qui ne leur doive ce qu’il fut, ce qu’il est ou ce qu’il sera. En ce temps-là, je vivais seul, le cœur débordant de sentiments comprimés, de poésie trompée, tantôt à Paris, noyé dans cette foule où l’on ne coudoyait que des courtisans ou des soldats ; tantôt à Rome, où l’on n’entendait d’autre bruit que celui des pierres qui tombaient une à une dans le désert de ses rues abandonnées ; tantôt à Naples, où le ciel tiède, la mer bleue, la terre embaumée, m’enivraient sans m’assoupir

vis comme je, veux, et je doute que beaucoup de ceux qui revêtent la pourpre puissent en dire autant. Assez de gens ambitionnent les faveurs du trône ; les rois ne s'apercevront pas du vide, si moi et deux ou trois de ma trempe manquons parmi les courtisans. Alors, je pris ainsi la parole - Il est évident, Raphaël, que vous ne cherchez ni la fortune, ni le pouvoir, et, quant à moi, je n'ai pas moins d'admiration et d'estime pour un homme tel que vous que pour celui qui est à la tête d'un empire. Cependant

roman, mais il est intéressant de regarder qui a un avenir, et lequel. – CORENTIN : ce sont les débuts du policier, agent secret. Il a 22 ans et passe pour le fils naturel de Fouché. On le retrouvera dans Une ténébreuse affaire, puis Splendeurs et misères des courtisanes et Les Petits Bourgeois. – Comtesse DU GUA : aventurière royaliste au passé tumultueux. Surnommé « La grande garce » et « La jument de Charrette » par les Chouans. Est réemployée dans Madame du Vissard, roman inachevé. – HULOT (futur